Quatrième chapitre

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     Lorsque j'entre je te trouve entrain d'enlever ta robe. Tu la laissais glisser le long de ton corps. Je m'attarde sur ton dos avant de suivre le mouvement de ta robe, arrivant à tes pieds en laissant enfin voir les fesses que j'avais imaginé. Non... Elles étaient mieux. Semblaient rebondis, rondes, fermes...

- Putain qu'est-ce tu fous ! Hurle tu en te couvrant de ta robe rapidement, t'étais entrain de me matter !!

Je repris rapidement connaissance.

- Arrête de te la péter. J'ai pas envie de voir ça.

- Alors casse toi.

- Le démaquillant est là.

Je posais le produit sur la table devant moi et m'en alla. Je t'entendais rouspéter de ne pas avoir entendu que la porte s'ouvrait derrière toi et cela me fit rire car en vérité je ne l'avais même pas fermer. En gros tu étais pratiquement entrain de te déshabiller devant le reste du monde.

Et bien que cela m'amusais de te voir rougir de rage et de gêne, la simple idée que tu étais entrain de faire des heureux en te mettant à poils devant eux sans le savoir m'énervait.

Pourquoi. Je m'en fous non ?

- Alors mon démaquillant il t'a été utile ?

- Encore là toi. Dis-je en la regardant

J'étais adosser au mur devant ma chambre.

- Qu'est-ce que tu fais au faite ? Tout le monde te cherche pour jouer à notre petit jeux favoris d'emmerder les premières années, se mit-elle à rire

Et bien que ce jeux était en réalité très drôle la simple idée que ce soit un autre mec qui soit obligé de venir pour te voir toi me fit repousser l'envie.

- J'ai un plan cul ce soir désolé.

Elle sembla ne pas me croire et fronça les sourcils.

- Dans ta chambre ?.

- Quoi ? Non personne-

- Hayden tu peux venir !

J'ouvris de grand yeux et Ashley se renfrogna d'autant plus.

- Ah ouais et c'est qui elle alors ?!

Alors qu'elle allait porter la main à la poignée je l'arrêta d'un geste.

- N'y pense même pas. Dégage.

- Tu te moque de moi ?.

- Dégage. Je te rends ta merde plus tard ok.

Je ne pris pas la peine d'attendre plus longtemps et je rentra dans la pièce. Je referma la porte immédiatement et la verouilla.

- Qu'est-ce qui se passe ? Me demande tu paniquer

- Je veux pas que des débiles pensent que ma chambre est un centre de baise. Et toi qu'est-

Je me retournais et resta sans voix. Si au début tes cheveux bouclés formaient des vagues parfaites, avec le temps et la chaleur ils étaient entrain de s'applatir. Il ne me manqua pas de remarquer qu'une mèche te pendait désagréablement sur le front.

Je ne sais pas pourquoi je le fais mais j'approche ma main de ton visage et d'un doigt je repoussa la mèche, sous mon contact délicat je te vois te mordre la lèvre inférieure et je fixe un moment cette bouche avant de remarquer que bien que tu t'étais démaquiller en faite la différence était minime. À part tes traits d'eye linear noir sous les yeux et ton mascara qui faisait ressortir la couleur magnifiquement verte de tes yeux tu n'avais rien fait d'autre.

All and nothingOù les histoires vivent. Découvrez maintenant