Chapitre 5 : Manon est la reine des neiges ( Mise à jour )

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Désolé la suite du chapitre 5 s'était détaché quand je l'ai copié collé. La voici et merci à vous de votre compréhension.

Une fois dans la voiture Manon reçut un baisé sur le front de la par de son père. Elle grimaça en sentant sa barbe la piqué. Il aimait trop la prendre pour un bébé selon elle. Il devait comprendre elle qu'elle était presque une femme. Mais bon elle était habitué. Dans sa famille c'était lui qui restait à la maison et sa mère qui travaillais. Il avait prit un congé quand elle était née puis n'était jamais retourné au bureau. Elle, elle était agent immobilier et avait été muté ici. C'était la raison pour laquelle ils avaient déménagé.

L'une des raisons.

- Tu as l'air frigorifié et trempé, lui dit t'il. Ça va au moins ? Ne me dit pas qu'on t'a bizuté ?

- Mais non papa, marmonna la jeune fille en roulant des yeux. On a juste fait une bataille de neige.

- Donc tu t'intègre ? Tant mieux.

Ils restèrent tout les deux silencieux un instant. Elle détestait l'odeur que dégageait le mini sapin accroché au rétroviseur. Ça lui filait toujours des hauts le cœur. Son père observait Jonas et ses amis pendant qu'il s'en allait. Manon se demandait pourquoi il ne démarrait pas. Ça devenait gênant là.

- A propos de ce qui s'est passé à Paris je voulais te dire que, reprit t'il.

- Papa, la coupa t'elle immédiatement. Je t'ai dis que je ne voulais jamais en reparler. Démarre et rentrons à la maison.

Elle souffla d'un air agacé en laissant tomber sa tête contre la vitre.

Son père hocha la tête nerveux en réhaussant ses lunettes de vue.

- Très bien, si c'est ce que tu veux, dit t'il en allumant le contacte.

Manon sentit son quelque chose vibrer dans la poche arrière de son pantalon. Elle s'était encore assise sur son portable. Elle sortie son vieux BlackBerry dont l'écran était traversé d'une cassure. Malgré tout elle ne pouvait se résoudre à s'en débarrasser.

- Oui, dit elle au combiné.

- Je sais tout à propos de Paris, lui ai je répondu avant de raccrocher.

L'adolescente ne sembla pas comprendre. Ses sourcils se froncèrent pendant qu'elle se demandait qui avait pu l'appelé. C'était un numéro masqué.

- C'était ta mère ? Demanda son père en sortant la place où il était garé. Elle avait dit qu'elle t'appellerais à la fin de tes cours.

- Faux numéro, répondit t'elle. Enfin je crois...

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