Une cigarette au bec et adossé contre un grand portail en bois blanc se trouvais Alessandro Fernand. Malgré la neige et le froid il préférais rester dehors plutôt que de rentrer dans cette maison qu'il ne supportait plus. Il parlait bien évidemment de la luxueuse demeure des Fernand. Elle avait été une ferme autre fois et appartenais à sa famille depuis plusieurs générations. La propriété était immense et spacieuse tout comme le terrain autours. Cela là rendais idéal pour organiser des fêtes pendant l'été. Comme celle qui avait été organisé au mois de juin l'année dernière...Mais nous y reviendrons.
Le jeune homme tira une bouffé de fumé dont la douce chaleur envahissait ses organes internes. Malgré tout il tremblait dans son épaisse doudoune. Il avait rabattu la capuche sur sa tête cachant ainsi sa chevelure sombre et ses yeux verts pale. Cela lui donnait une allure pas commode. Son regard était tourné vers sa valise près de lui qui se faisait recouvrir de flocon de neige. Parfois il sentais comme elle. Comme si il ne pouvais pas bouger et qu'il devait se laisser submerger par toute ses choses, tout ses problèmes inutile. Il n'était pas allé au lycée aujourd'hui car il venait juste d'atterrir de ses "vacances". Son père l'avait fait interné dans un service de désintoxication pour adolescent alors que lui et le reste de sa famille était réuni pour les fêtes en Egypte. C'est vrai que il avait toujours consommé des mauvaises herbes mais n'avait jamais été accro à ce genre de saleté comme ces derniers temps. Il ne voulait pas être un junkie. Il voulait juste se sentir bien l'espace d'une seconde. Il s'était longtemps scarifié. D'abord avec un compas, une lame de rasoir puis un cutter mais avait arrêter quand il s'était rendu compte que sa peau était devenu insensible avec le temps. Ses cicatrices étaient dur comme une semelle de chaussure. Le fait de voir couler son sang lui donner l'illusion d'expier son mal hors de lui.
Malgré le fait qu'il puisse haïr Claudia, sa belle mère et Sacha, son demi frère comme il aimait le précisé, il se sentait blessé de ne pas avoir été invité. Entre nous même si on lui avait proposé d'aller aussi au soleil il aurait sûrement refusé. Sa mère, Félicita Sanchez, lui avait promis de venir le voir si il allait en cure mais elle ne s'était jamais présenté. Elle l'avait appelé avant hier pour lui dire que c'était finalement impossible. Il lui a dit que ce n'était pas grave mais dés qu'elle avait raccroché il avait fondu en larme et s'était roulé en position fœtale sur son lit. Pendant toute les vacances il n'avait pas pu dormir paisiblement de peur de la rater. Il voulait voulait revoir son jolie visage lui sourire, pouvoir passer ses doigts dans ses cheveux jais et qu'elle le borde comme quand il était petit. Elle et lui se ressemblait beaucoup physiquement et psychologiquement. Ils partageaient tout deux cette beauté féline et sombre ainsi qu'un tempérament calme mais impulsif. En gros ils en imposaient. Ils avaient aussi tendance à être secret et on ne savait pas toujours ce qu'ils pouvaient penser. La premiére fois que son père a rencontré sa mère il a dit qu'elle sentais le sexe mélangé à un parfum suavement dangereux et indescriptible.
Sans doute leurs origines latine.
Ce qui le rendais si exité était le fait que il ne l'avait pas vu Félicita depuis une éternité. Depuis un an et demi en réalité. Quand il avait 4 ans ses parents se sont séparé. Cela l'avait énormément perturbé. Il ne comprenait pas pourquoi les deux personnes qu'il amait le plus au monde ne voulait plus vivre ensemble. Il pensait secrètement que c'était sa faute, qu'il n'avait pas été assez sage. Bien sur c'était faux. La vérité était que Félicita avait découvert que son mari était le père du fils de la nounou. Sa mère s'était remarié peu de temps après la rupture avec un banquier grec et alla s'installer à New York. Son père lui épousa la mère de son autre enfant, Claudia. Alessandro suivit Félicita tout allait pour mieux jusqu'à ce que sa mère le renvoie en France. Il faut dire que le petit garçon était turbulent et pas facile a gérer tout les jours. Il collectionnais les mauvaise notes, les renvoies de plusieurs école privé ainsi que les mauvaise fréquentation. Il finit par redoubler l'équivalent de la 3 eme. C'en était trop pour son beau père qui le mît à la porte. C'était un homme froid et dur mais étant donné qu'il était sa seul figure masculine on pouvait dire qu'il avait appris à l'apprécier. Sur ce coup sa mère qui avait toujours été laxiste et protectrice avec lui ne pu rien faire pour le défendre. Elle du se résoudre à le laisser partir.
De retour en France, il avait du mal à communiquer avec son père. Ils n'arrivaient pas à se comprendre et étaient comme des inconnus l'un pour l'autre puisque il ne s'étaient jamais revue. Sa vie New Yorkaise était totalement différente et très règlementé mais bon il était rebel et en contournait pas mal. Il ne se sentais pas à sa place ici. C'était un peu comme être en famille d'accueil. Il voyait bien que son père adorait Sacha et le considerais comme son fils prodigue. Ayant vécu un peu avec lui il ne le trouvais pas si extraordinaire bien au contraire. Selon lui Son demi frére était un prétentieux indécis et vicieux. Il était sur qu'un jour il ferait une faute qui lui permettrais de le démasquer. Et puis sa belle mère l'énervait à vouloir toujours aller vers lui et tenter un rapprochement.
Une Mercedes noir luisante s'avança devant le portail. Quand la vitre se baissa Alessandro découvrit justement Claudia.
Encore une louve !
- Tu ne rentre pas ? Il fait froid ici, dit t'elle d'une voie douce, vous savez ce genre de voie parfois agaçante que aime prendre les mamans.
Alessandro l'ignora et détourna le regard. Il jeta sa cigarette sur le sol. La papier s'humidifia immédiatement. Il enfonça ses mains nue et gelé au fond de ses poches. Elles étaient toute rouge à cause du temps et il ne pouvait plus sentir les bouts de ses doigts.
Claudia souffla d'un air lasse et caressa le rang de perle qui ornais son cou de cygne. Alessandro et elle s'entendaient si bien quand il était petit. Elle l'avait toujours adoré depuis qu'elle l'avait rencontré nourrisson et s'était réjoui de pourvoir le revoir. Mais pas lui apparemment. Il ne le savais pas mais c'était elle qui avait fait pression à son perd pour qu'il accepte de le reprendre alors qu'il pensait que ce n'était pas une bonne idée. Ce n'était pas parce qu'ils formaient une famille recomposée qu'ils devais pas être heureux.
- Je suis vraiment désolé pour les vacances. Ton père m'a dit que ta mère n'était pas...
- Ne parle pas de ma mère coupla s'il te plait le coupa t'elle sèchement.
De quel droit elle pouvais se permettre. N'avait t'elle pas honte. Elle avait brisé le foyer de cette dernière et tenté de prendre sa place tout comme Sacha avait tenté de prendre la sienne.
Elle a bien réussi en tout cas, pensa le jeune homme en se mordant la lèvre inférieur.
Ce n'est pas pas parce que maintenant elle voulais jouer le rôle de belle mère aimante que ça allait changer quelque chose. Il ne tomberais pas dans le panneau, il ne trahirait pas sa mère. Non, il n'allait pas lui faire ça. Alessandro senti une rage incontrôlable monter en lui. Ce sentiment qu'il n'arrivait jamais à exprimer correctement et à expulser totalement. Il détestait Claudia comme il détestait Sacha. Sacha, ce petit bâtard qui n'aurait jamais du naître et qu'il devait appeler frère.
- Alessandro, je veux que tu sache que si tu as envi de parler je suis là. Bon, j'espère que ce soir tu voudra bien dîner avec nous ce soir. J'ai acheté de quoi cuisiner ton plat préféré, une bonne tortilla. Je me rappel que quand tu était petit tu adorais ça.
La vitre fumée de la voiture remonta et le portail s'ouvrie. Une fois que sa belle mère au loin le jeune homme sorti un peu d'herbe pour se rouler un pétard. Il en avais acheté à un dileur de la banlieue chaude en périphérie de la ville.
Vous croyez vraiment qu'il avait décroché ?
- Je suis grand maintenants, dit t'il en fumant une taffe.
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Vilains secrets et compagnie
Teen FictionHé les amis vous savez qui c'est ?...Non, juré ? Ce n'est pas grave car moi je vous connais et très bien même. Manon j'espère que tu ne comptais pas échapper à ce que tu as fait juste en quittant Paris. Nicole franchement je te savais méchante mais...