Sélénite : nom et adjectif.
Habitants autrefois présumés de la lune.
Parce qu'aux yeux d'Iwaizumi, Oikawa était un extra-terrestre arrogant et calculateur qu'il ne comprenait pas toujours mais qu'il aimait de tout son cœur.
Parce que peu importe les...
Comme l'os d'hier était triste à mort j'ai voulu vous remonter un peu le moral avec un os fluff et comique sans prise de tête, sans scénario compliqué, juste avec Oikawa et Iwaizumi en crush l'un sur l'autre. Vous l'aurez compris, le thème que j'ai choisi est donc crush mutuel !
Résumé :
Juste l'histoire de deux mecs en crush l'un sur l'autre, saupoudrée d'une pincée de tagada, de quelques gouttes de café et d'un soupçon de conseils d'amis foireux.
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— Regardez-le il est beaucoup trop beau ! En plus il m'a jeté un regard ténébreux la dernière fois qu'on s'est croisés, j'en ai encore des frissons ! s'exclama Oikawa en serrant son portable contre son torse.
Il venait de montrer une photo du dos de son crush, Iwaizumi Hajime, sans doute prise en scred dans le tramway. Kuroo et Bokuto levèrent les yeux au ciel. Ça faisait des semaines que leur ami avait craqué sur ce mec, des semaines qu'il leur racontait la moindre interaction qu'il avait avec lui, comme lorsqu'ils s'étaient assis à la même rangée lors d'un cours en amphithéâtre ou lorsqu'ils s'étaient salués en se croisant dans un couloir — vous vous rendez compte il m'a dit salut ! à moi ! — et Kuroo et Bokuto en avaient ras le bol.
— C'est l'homme de ma vie, je le sens.
Kuroo et Bokuto se jetèrent un regard de détresse, l'air de se dire " gros, il faut absolument changer de sujet ou c'est reparti pour un tour ". Oikawa était venu squatter leur colocation comme il en avait pris l'habitude, et même si nos deux compères étaient saoulés de ses histoires, ils n'étaient pas sans-cœur au point de le mettre dehors juste pour avoir la paix.
— Oh et attendez ! J'ai réussi à avoir une photo de son boule, l'autre fois à l'arrêt de tram, faut absolument que je vous la montre !
Quoique. Tandis qu'Oikawa continuait de parler, allongé sur le lit de Bokuto, les deux colocataires étaient assis sur des poufs et grignotaient des fraises Tagada pour faire passer le temps. Oikawa était leur ami, mais un ami qui pouvait vite devenir envahissant et particulièrement relou si on ne lui mettait pas de stop. Après avoir entendu parler une énième fois du regard mystérieux et du boule qui chamboule de son crush, Kuroo décida enfin de prendre les devants sous le regard gratifiant de Bokuto.
— Si tu le kiffes autant, pourquoi tu vas pas le voir ?
Oikawa s'arrêta enfin de parler, Bokuto eut l'impression de revivre, comme si tous les bruits extérieurs couverts par le blabla Oikawa venaient de revenir d'un seul coup. Oikawa roula sur le côté pour les regarder en face.
— Je, j'ai le trac, avoua-t-il en détournant les yeux.
— Pardon ?
— Ça va, ça arrive à tout le monde ! Et puis il est super intimidant, je perds toujours mes moyens quand je me retrouve en face d'un mec canon !
