Sélénite : nom et adjectif.
Habitants autrefois présumés de la lune.
Parce qu'aux yeux d'Iwaizumi, Oikawa était un extra-terrestre arrogant et calculateur qu'il ne comprenait pas toujours mais qu'il aimait de tout son cœur.
Parce que peu importe les...
Bon, alors... J'avoue que j'ai un peu triché pour celui-ci x) J'avais pas mal de trucs à faire aujourd'hui et comme j'avais cet os dans mes brouillons qui correspond parfaitement au thème je me suis dit que ça ferait l'affaire :)
Bon par contre il est triste pardon 😭 C'est une histoire de vampire, et avant de me recevoir des remarques, je précise que ceux-là ne craignent pas les rayons du soleil :) Sur ce, j'espère que l'os vous plaira !
Résumé : Bokuto et Kuroo ont eu beau le mettre en garde, il était déjà trop tard. Oikawa s'est épris d'un mortel, et il ne tardera pas à se faire consumer par sa passion. C'est sa punition pour avoir écouté son cœurplutôt que sa raison, car tous savent qu'une histoire d'amour entre un humain et un vampire ne peut ne peut que mal se terminer...
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La nuit est tombée, le cimetière est fermé. Pourtant, une âme égarée y circule encore, à la recherche de son amant disparu.
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— Pourquoi tu ne vas pas lui demander son nom ? demanda Kuroo derrière l'épaule droite d'Oikawa.
— C'est bizarre, t'es pas aussi timide d'habitude, renchérit Bokuto, qui surgit derrière son épaule gauche. C'est tout l'inverse même ! Depuis quand tu considères les humains comme nos égaux ? Je croyais qu'ils n'étaient que du bétail à tes yeux. Où est passé le terrible Oikawa Tooru, le comte vampirique tant redouté ?
Oikawa se mordit la lèvre. Du sang ne tarda pas à s'en échapper, ses canines pointues étaient aussi coupantes que la lame d'une épée.
— Taisez-vous, il va vous entendre ! s'exclama-t-il en appuyant sur leurs têtes pour les abaisser à sa hauteur. Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'il n'est pas comme les autres. Je ne sais pas pourquoi, mais on dirait qu'il irradie de lumière. Il est... spécial.
— Bof.
Bokuto se reçut un coup de griffe qui le fit couiner de douleur. La blessure ne mit pas longtemps avant de cicatriser d'elle-même, et les traces rouges que les ongles d'Oikawa avaient laissées disparurent aussi rapidement qu'elles étaient apparues.
— Ça remonte à quand, la dernière fois que tu t'es pas coupé les ongles ?! Tu fais super mal !
— Mais baisse d'un ton je te dis, il va nous repérer !
— Si je puis me permettre, murmura Kuroo, nous sommes cachés derrière un vulgaire buisson. Ton humain est à moins de cinq mètres de nous, et l'envergure du buisson est à peine assez grande pour dissimuler ne serait-ce que l'un d'entre nous. Il est évident qu'il nous a remarqué, crétin ! Pourquoi tu ne te fonds pas dans les ombres de sa chambre pour l'observer ? Y a quand même des avantages à être un vampire sacrebleu.
