7 ans plus tôt

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Hopital de St Michel....

"Pamela: docteur, je suis un de ses proches...

Médécin: d'accord vous pouvez entrer, mais je vous laisse juste 10 minutes (en sortant de la chambre)

Pamela: merci docteur, ça sera suffisant. Je veux juste le voir. MR Moulio, même au bord de la mort, tu es toujours aussi beau (en lui caressant le visage)... dommage que ce soit elle qui ai l'occasion de t'avoir.

(Il reprend conscience...) aaah tu es encore en vie!! Quel miracle... Gabe je te veux pour moi, toute seule!

Gabe: qui êtes-vous?

Pamela: le choc a dû étre très brutale... je suis l'amour de ta vie Gabyy, ta petite femme...

Gabe: je ne vous connais pas!!

Pamela: C'est le choc mais bientot tu te souviendras de tout ... et je pourrai enfin prendre soin de toi!

Médécin: il s'est reveillé? Oooh sa mère et sa copine meurent d'envie de le voir... je les appelle.

Pamela: sa copine? Dayanna est là??

Médécin: oui Mlle Noah est là, bon elle est allée s'acheter de quoi manger, mais elle n'a pas quitté son chevet depuis qu'il a été admis ici.

Pamela: ça ne fait que 2 jours, faut pas exagérer!

Médécin: euh oui... je vais les appeler...

Pamela: euh attendez Docteur, (en le saisissant par l'avant bras)... vous êtes docteur ou infirmier dites moi?

Médécin: infirmier. Vous pouvez me lacher svp.

Pamela: infirmier ... Robert (en lisant sur sa blouse)... vous avez besoin d'argent?

Médécin: pardon?

Pamela: vous avez besoin d'argent et moi j'ai besoin de ce malade.

Médécin: besoin de lui? Vous voulez l'enlever?!

Pamela: pas besoin de crier... je vous propose 20 millions pour le faire passer pour mort d'ici demain... si vous le faites plus vite vous aurez droit à un supplément... voici ma carte!"

De nos jours...
Une semaine est passée depuis le théâtre qui s'était passé chez Cayden, et toujours aucune nouvelle de Gabe ou de mes enfants. J'avais décidé de renoncer à cette quête de réponses introuvables. Je m'étais mise dans des sales draps avec Pamela, et je n'avais pas envie de risquer ma vie pour des amours impossibles, certainement déjà passés de l'autre côté.

Chaque soir, après ma prière, je leur adressais des mots doux : « Gaby je t'aime tu le sais, où que tu sois prends soin de nos gabynou... je vous aime »... en espérant qu'un jour ces mots leur parviennent.

Inutile (tome 2)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant