Une affaire à réglée ? Non ... Deux

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Pdv Livai

J'étais avec Hanji dans les couloirs. Alena mangeait alors j'en avais profité pour aller entraîner les autres gamins.

L'entraînement avait été comme d'habitude, Jaeger et Kirstein s'étaient encore engueulé. Ils étaient tous un peu stressés avec l'expédition qui approchait à grands pas.

Deux semaines s'étaient déroulées depuis notre discussion avec la gamine dans le lit. Tout les matins, je l'a retrouvais à essayer de rééduquer sa jambe seule malgré mes interdictions avec celles d'Hanji.

《 Je pourrais me déplacer en béquilles si je me rétablie vite, m'avait-elle sortie comme excuse. 》

Juste à cause de ça je radotais à la bigleuse mes préoccupations :

- Tch ... quelle tête de mule.

Elle pouffa :

- Je peux savoir ce qui te fait marrer ?

- Oui, c'est ironique que tu l'as traite de ce nom.

- Et pourquoi ça ?

- Parce que tu es pire, elle partie en fou rire toute seule.

- Tch ...

Nous passons à côté d'un groupe de soldat que je reconnus immédiatement, les trois imbéciles qui avait frappé la gamine dès le premier jour. Un nom dans leur discussion m'interpella :

- ... cette idiote de Tokutsu va devoir rester ici. Je parie qu'elle s'est arrangée avec son kidnappeur pour rater l'expédition.

- En plus, c'était son père. C'était un proche du roi.

- Le caporal veut garder un œil sur elle, c'est pour ça qu'elle dort dans sa chambre.

- Où bien c'est juste sa pute.

Ils éclatèrent de rire. Sans m'en rendre compte je m'étais arrêté après cette dernière phrase. Hanji avait aussi entendue la conversation et elle tenta de continuer son chemin en me tirant par les épaules :

- Livai, dit-elle en chuchotant, ça sert à rien de les fra...

Elle se stoppa, son sourire gêné disparu laissant place à une expression effrayée sur le visage. J'avais envie de les frapper à mort. Je m'avançais vers eux. L'un d'eux me vit et pâlit en tremblant :

- Ca ... caporal Livai ...

Ses compères se tournèrent vers moi aussi pâle que lui :

- ...

- ...

Je serrais les dents :

- Répétez votre dernière phrase ...

- Quelle ... dernière phr... ouch !!!

- LIVAI !!! S'écria la bigleuse.

J'avais donné un coup de pieds dans les parties de l'un et fracasser les deux autres contre le mur.

Ils étaient tout les trois à terre en j'en profitais pour leurs exploser le nez à chacun :

‐ Je vous avais prévenu. Parlez encore une fois d'elle comme ça, fourrer encore une fois votre nez, ou du moins ce qu'il en reste dans sa vie et mes affaires, y a pas que votre nez que j'éclaterais, mais votre gueule entière. Soyez heureux que l'expédition approche, je ne vous aurais pas épargné autrement.

D'autres soldats accouraient pour les amenés à l'infirmerie :

- Tch ... je vais dans mon bureau.

Mon Caporal (Livai X OC) [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant