Chapitre 20

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On se regardait toujours dans le blanc des yeux,c'est comme si on se découvrait pour la première fois jusqu'à ce que moi je ressens un courant qui a pu touché mon âme et qu'à cause de ce courant le rythme de mon cœur s'est amplifié,d'où Jésus aidez moi,moi amoureuse d'un blanc,moi amoureuse de l'un de nos oppresseurs. Je ne peux pas cela ne peut pas m'arriver. Dès lors je me sens perdue et décide de laisser ce bureau, avant que je devienne folle,en courant sans qu'il n'ait le temps de me retenir. En ouvrant la porte je suis tombée sur l'une des esclaves,son regard se pavanait sur ma robe déchirée et j'ai pu lire de la pitié dans ses yeux,elle pense que je viens de me faire agresser par le maître alors que non,j'ai aimé le fait qu'il m'a touché,j'aime le fait qu'il soit attiré par moi,qu'à tout bout de champs qu'il capture mes lèvres,mes tétons entre ses lèvres, sauvagement. Elle devrait avoir pitié pour moi du fait que je sois tombée amoureuse de la mauvaise personne,j'ai pitié de moi. Mais le sentiment est déjà là et il devient de plus en plus fort à chaque fois que son visage me vient en tête il y a mon cœur qui n'arrête pas de s'exciter.
Je marchais toujours pendant que j'essayais d'avoir une réponse ou une solution à ce problème,à mon problème. Lorsque je me suis reprise je me trouvais dans la forêt qui se trouve derrière le fort et j'entends d'où je suis le chant de la rivière,une douce chanson qui apaise mon cœur lorsque la rivière se trouve dans mon champ de vision,là le souvenir quand il m'avait fait l'amour sauvagement auprès de la rivière me revient en tête et là le rythme de mon cœur s'amplifie encore,j'en peux plus de ça et mes larmes commencent à tracer une route sur mon visage,pourquoi une telle chose m'arrive?? Je l'aime mon Dieu et cet amour ne me portera rien de bien. Je restais là et mon esprit s'est mis à jouer avec moi, mes yeux tombent sur l'espace où j'étais installé et lui sur moi,entrain de m'embrasser tout me revenait. Je fermais les yeux et laisse ce souvenir prendre possession de tout mon être.

PDV de Jacques

Je n'ai pas eu le temps de la retenir car au moment où nos yeux se sont croisés je me suis senti étrange je l'ai mis sur le fait que je me suis privé d'elle trop de temps mais au fond de mon être je sais que ce n'est pas cela et si je continue cette analyse,je ne vais pas aimer le résultat. Sacre bleu tu m'as fait quoi Catherine?? Pourquoi à chaque fois quand je vois une femme c'est ton image qui me vient en tête?? J'ai mis fin à ses questions mal placées car c'est la colère qui parle. Là,le petit français me vient en tête,je me décide de sortir de mon bureau car Catherine vient justement de sortir et si le français y était toujours,ils sont sûrement entrain d'avoir une conversation.
À ma surprise il n y a personne,il y avait l'une des esclaves domestiques qui passait je l'appelle et demande pour Catherine.

L'esclave: Maître, Catherine ne se trouve pas dans le fort,à ma sortie de la cuisine je l'ai vue sortir dans la porte derrière du fort.

Après sa réponse,je sais où je devrais la trouver au bord de la rivière mais je n'irais pas car ce qui avait commencé dans mon bureau peut se terminer au bord de cette rivière.
Mais il y a une force qui me pousse à m'y rendre, j'aime suivre mon instinct donc je me suis mis en route vers la rivière alors que j'avançais au fin fond de la forêt,je n'étais pas trop loin de la rivière il y avait un silence qui était apaisant mais un cri vient le briser et ce cri n'est qu'un cri d'une femme au premier abord c'est peut-être qui voulait s'échapper et son maître l'a retrouvée avant donc celui-ci lui inflige une punition. Je continuais mon chemin mais les pleures venaient où je voulais me rendre, et là une chose en moi me dit d'accélérer ce que je dis et lorsque je suis arrivée à ma destination ce que j'ai vu, a terminé de faire le travail de Catherine, celui de réveiller la partie sombre en moi, une partie que je ne souhaite à personne de voir.

PDV de Catherine

J'avais les yeux fermés pour revivre le dernier moment que j'ai passé dans les bras de Jacques quand j'entendis un bruit derrière moi, le rythme de mon cœur s'accéléra encore car je pensais que c'était Jacques mais la personne s'est mis dans la même position que moi à savoir les genoux par terre derrière moi. Je rêvais que ce soit Jacques mais lorsque la personne passe sa main devant pour me serrer le cou pour que mon dos puisse être coller à son torse, approche sa bouche pour me chuchoter ses paroles:

-Enfin seules ma belle, je vais donc pouvoir te retirer dans ma tête juste après t'avoir fait des choses inoubliables.

Après ces mots je me suis mise à faire des mouvements pour me libérer de sa prise mais hélas, il me tenait tellement fort qu'il m'est impossible d'absorber la quantité d'oxygène qu'il me faut. Le petit français tout à l'heure commence à me lécher la joue, ce que je trouve dégoutant, il entreprit de mettre son autre main sur mon sein qu'il pétrit ce qui lui donna du plaisir vu ses gémissement mais pas moi je me suis mise à pleurer je ne veux pas de ça. Je commence à me débattre, ce qui l'énerva car brusquement il me retourna face à lui et me secoue en me disant:

-Sois docile,tu ne peux pas t'échapper et sois heureuse de pouvoir assouvir mon désir. Il commence à m'embrasser dans le cou,il me lèche la peau,la morde ce qui ne m'empêcha pas de continuer à me battre car si je ne le fais pas qui le fera pour moi?? J'ai personne pour m'aider face à cet homme sans cœur. Il descend vers la naissance de mes seins qu'il morde, je me battais de toutes mes forces qu'il m'asséna une gifle et me dit:

-Enfin de compte je ne vais plus être gentil ma belle, je vais te prendre de toutes les façons possibles.

Il me pousse à ce que je sois allongée sur le dos et lui sur moi, alors là je commence à crier de toutes mes forces à appeler à l'aide.
Mes pleures ne lui faisaient rien, il regardait en souriant, j'avais les mains croisées sur la poitrine retenues par les siennes et d'un coup il les ramena au dessus de ma tête, je faisais en sorte à ce que mes mains soient libérées de son emprise mais sa force est supérieure à la mienne. Il recommença à pétrir mes seins, et ce qui ne m'aida pas c'est que ma robe était déchirée par Jacques lorsque je me trouvais dans le bureau de Jacques, en pétrissant mes seins à travers ma robe, celle-ci ne cachait plus mes seins et lorsque ses iris rencontrent mes tétons,il ferma les yeux et souffle et lorsqu'il ouvre les yeux,j'avais vraiment peur,je n'arrêtais pas de pleurer,de le supplier mais lui il est indifférent à mes larmes.

-Bientôt ma belle tu me supplieras d'aller très fort et vite. Il dit cela en me pinçant mon téton. Sa main quitte mon sein pour descendre sur mon ventre et plus bas même, il remonte ma robe brusquement et commence à toucher ma jambe pour continuer sa route sur ma cuisse et pour finir sur mon entre-jambe. C'est aujourd'hui que je vais savoir ce que c'est le viol. Alors qu'il exerçait une force sur mon entre-jambes,il fut enlevé de moi et je l'ai vu être projeté un peu loin de moi. Les yeux baignés de larmes je me retourne pour voir mon sauveur et lorsque je vis celui qui vient m'aider je n'ai pas pu retenir mes sanglots. Mais ses traits étaient déformés par la colère, qu'il me faisait beaucoup peur, sans même pouvoir souffler de soulagement il se jetta sur mon agresseur et commence à le rouer de coups.

Esclave amoureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant