Chapitre 15

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Laissant son bureau je me suis rendu dans la cuisine pour mes corvées, je me suis mis au travail en réfléchissant au moyen que je vais utiliser pour que j'arrête de voir les images de cette nuit dans ma tête ou encore de croiser Jacques dans ce château il est vaste cela pourrait être facile mais cela dépendra de lui car il peut demander à me voir et je ne peux refuser au risque d'être fouettée.

Les jours coulaient comme une rivière mais à une différence il n y a rien qui les diffèrent, ils se ressemblent pour ne pas changer à ma vie d'avant ou à la situation des Haïtiens des morts et des morts, enfants, femmes, hommes, vieux, chaque jour on entendait des cris, des pleures dans une partie de l'habitation un être cher qui a quitté sa famille. Et moi cela me fait toujours male mais je ne peux rien n y faire qui suis-je? Mais ce qui était mieux dans ma vie au cours de ces jours c'est que je n'ai pas croisé le neveu du roi une seule fois et commence à oublier cette nuit avec beaucoup de prières, les Haïtiens sont de base vodouisants mais moi je préfère prier c'est dans ma prière que je trouve les solutions à mes problèmes.

PDV de Jacques

Je n'en peux plus de cette écart qu'elle mette entre nous malgré qu'elle a raison mais moi je deviens de jours en jours plus fou, je pense à sa saveur, j'entends toujours ses cris, je veux la goûter, la posséder encore une fois une dernière fois et après j'arrêterai je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour arrêter.

J'étais sur le balcon quand je la vois se rendre dans la forêt et j'avais interdit sa sortie du château, je suis descendu du balcon et me suis mis à la suivre.

PDV de Catherine
Je sais qu'il m a interdit de sortir du château mais j'avais terminé avec les corvées et je voulais prendre un peu d'air, mais quand je suis arrivée au fond de la forêt j'ai comme l'impression qu'on me suit, je me suis retourné mais j'ai du levé la tête pour voir la personne qui me suivait car elle était assez près de moi ce n'est que Jacques. Je continue mon chemin sans me préoccuper de sa présence, peut être que lui aussi veut se promener.

Arrivée à ma destination qui était au bord d'une rivière je me suis abaissée à sa hauteur pour tremper ma main et détaché mes cheveux qui m'arrivaient au milieu du dos, je pensais qu'il allait continuer sa route mais non, je voulais être seule et encore moins avec lui.

Jacques: J'ai été clair en disant que tu n'avais pas le droit de quitter le château.

Je n'ai pas répondu ce qui a réveillé sa colère car il m a tiré par le bras.
Il était en colère cela se voyait sur son visage.

PDV de Jacques

C'était une erreur de la tirer ses cheveux se sont retrouvés sur son visage que j'ai du dégager et mon regard n'arrêtait pas d'analyser son visage et j'ai arrêté mon observation sur ses lèvres qui n'appelaient qu'à être embrassées.
C'était trop tard je me suis jeté sur ces lèvres que j'ai tant rêvées.

PDV de Catherine
Sans  m y attendre il s'est jeté sur mes lèvres. Il m embrassait avec une telle force, une telle envie, j'essayais de le repousser je ne voulais pas cela se produit comme pour la première fois, mais sans aucun résultat, en un moment il s'est attaqué au tissu de ma robe qui recouvrait mes seins en le déchirant laissant mes seins libre et n'arrêtait pas de martyriser mon sein droit avec sa main droite et l'autre main servait à me tenir près de lui et mes lèvres avec les siennes qui n'arrêtaient de me mordre.  On s'est séparé à bout de souffle, il admirait son œuvre c'est à dire mes lèvres gonflées et mes seins qu'il n'arrêtait toujours pas de malmener avec sa main. En me regardant dans les yeux il s'est mis au niveau de mon sein gauche et prend mon téton entre ses lèvres,  ce qui réveilla un long gémissement de ma part, je n'arrêtais pas de gémir sous les assauts de sa langue et ses dents. Tout à coup il me porte et m'allonge sur le sol et s'est mis sur moi et recommence à m'embrasser tout en descendant ma robe et en passant mis ma nudité  à la découverte. Il s'est redressé pour se dévêtir et se rallonge sur moi et caresse ma féminité mes gémissements et le bruit de la rivière étaient les seuls bruits de la forêt, mon gémissement n'arrêtait pas de monter de volume car ses caresses étaient des tortures. Il s'arrêta alors que je pensais que je suis sauvé cette fois-ci, c'est là qu'il décide à me pénétrer, j'ai laissé un grand cri s'échappé, ce qu'on aurait dit lui a donné une sorte de force pour me donner des coups de reins qu'on pourrait dire contre  nature, on aurait dit qu'il veut atteindre ma limite et même la dépaissée. Cela a duré des minutes, des heures je ne sais pas, je ne pouvais réfléchir, je n'arrêtais pas de crier, oui on pourrait dire que je criais car c'était trop pour moi.

PDV de Jacques

J'aime la voir dans cet état, les yeux fermés, la bouche ouverte laissant sortir ses gémissements, ses plaintes quand j'y vais trop fort, j'aime l'entendre gémir mon nom et ce qu'elle fait ce qui contribua à une jouissance sans nom que j'ai mordu sa lèvre inférieure un peu trop fort.

Après m'avoir calmé, je me suis redressé et me rhabille en lui donnant dos afin de ne pas recommencer,  mais elle est resté allongé sur le sol quand je me suis retourné pour voir ce qui ne va pas.
Elle s'est redressé en mettant son bras sur ses seins afin de les cacher.

Moi: Lève-toi tu dois rentrer.

Catherine: Monseigneur je ne pourrais pas rentrer dans cet état ma robe est déchirée.

Je regarde l'état de sa robe, et décide d'enlever ma chemise pour qu'elle la porte, elle l'a prise et se retourne pour l'enfiler, je la regardais porter ma chemise une très belle créature avec des courbes à damner un saint, elle réveille une faim en moi, je veux toujours être en elle. Alors qu'elle s'apprêtait à passer devant moi pour prendre le chemin du château, je capture son bras et l'attire vers moi et commence à dessiner ses courbes avec mes mains, dans ses yeux je voyais sa réticence, sur son visage je voyais de la fatigue de notre étreinte, mais moi je ne pouvais pas m'arrêter ici, je me suis mis à l'embrasser et commence à enlever ma chemise avec mes lèvres je traçais une ligne de baisers de ses lèvres à son cou.

Catherine: Non.......  Monseigneur..... Il ne faut...... pas..... Je dois rentrer....... par pitié.......... arrêter.

J'ai mis fin à ce que je m'apprêtais à faire, car on s'est absenté trop longtemps.

Salut tout le monde, j'espère que ça va, alors dans le prochain chapitre j'espère pouvoir écrire la suite de l'histoire d'Haïti pendant la révolution, j'aimerais avoir votre avis sur ce chapitre je sens qu'il manque de quelque chose.

Alors comme je le dis très souvent
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Ça ma ferait beaucoup plaisir.

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