Chapitre 2

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Catherine était une fierté pour Henri grâce à son comportement dans la colonie, on ne pourrait trouver quelque chose en elle pour la juger, elle était d'une beauté incomparable avec une peau de couleur café au lait,le visage d'un saint, une bouche pulpeuse et comme étant une fille d'une négresse elle a des formes généreuses des seins voluptueux, on ne pouvait l'admirer quand elle allait au marché avec Marie leur nounou, son sourir qui laissa apparaître deux rangées dents blanches faisait une ravage auprès du gente masculine tel que : les esclaves, les affranchis(homme noir né libre qui est le fruit d'un viol d'un blanc sur une négresse) et même les blancs. Âgée de 18 ans elle trouva beaucoup de demande en mariage qu'elle refusa catégoriquement tandis que les jumelles sont comment pourrait-on dire elles faisaient savoir quand elles sont présente par leur cri de joie ou quand un gentilhomme leur adressait. Henri parti pour quelque jours en France et Catherine comme toujours resta dans sa chambre à lire, à penser à ses parents qu'elle n a pas pu reconnaître.

Henri fut de retour de son voyage et c'est avec une joie immense qu'il prit Catherine dans ses bras.
Un jour pendant que la famille partageait un repas il y eut une conversation tendue entre les deux maîtres de maison.

Madame Dubois: Mon cher vous nous avez pas dit comment s'est passé votre voyage?

Monsieur Dubois: Parce qu'il n'a rien à dire ma chère.

Les dames de la table étaient tellement étonné car jamais au plus grand jamais Henri a répondu à son épouse de cette façon.
Et comme à son habitude sauf Catherine savait qu'il se passe quelque chose d'anormal pour que Henri répond de cette manière à madame Dubois. Et d'une voix intérieur qu'elle se dit: <<Dieu aide Henri pour ses problèmes malgré ses péchés c'est un homme bon.>>

L'une des jumelles qui fut appelé Anne répondit à la place de la maîtresse de maison.

Anne: Mais père c'est pas la faute de mère si vos séjours n'ont pas été agréable.

L'autre qui elle se nomme Anne-Marie
ajouta.

Anne-Marie: Pour une fois je suis en accord avec Anne.

Henri laissa d'une colère noire la table laissant les jumelles et madame Dubois les bouches ouvertes formant un O.

Des jours passèrent et on pouvait voir que Henri est tourmenté il s'adresse à des hommes qu'il sous-estimait et la pauvre Catherine s'inquiétait de jour en jour car monsieur Dubois se transformait ou était dans le groupe des hommes que Catherine ne tolérait pas. Si seulement elle savait que c'est une nouvelle vie pour elle qui commence.

Un jour par la fenêtre de sa chambre Catherine aperçut une carrosse bien construite conduite par des chevaux forts et beaux dans l'entrée de l'habitacle. Elle descendit jusqu'au salon en prétendant que c' est peut-être l'invité de Henri c'est possible mais il y a forte chance que ce ne soit pas une visite de courtoisie. Elle resta comme d'habitude dans un coin pour la salutation et enfin s'éclipser après celle-ci.

On frappa la porte Henri se leva en tant que maître de maison et alla jeter un coup d'œil afin de s' avoir qui c'était tandis que les femmes étaient rester dans le salon les jumelles qui priaient pour que ce soit un bel homme, madame Dubois qui vérifiait que ses filles soient présentable et Catherine toujours debout dans un coin du salon.
La porte s'ouvrit sur un Henri inquiet et sur un étranger content, un homme très beau, les cheveux noirs frisés, des yeux sombres comme une nuit sans étoile même pas une, d'une hauteur qu'on aurait dit un géant il était d'un charme et d'une beauté à faire baver.

Henri: Mesdames j'ai l'honneur de vous présenter Jacques Second neveu du roi de France François‼

Madame Dubois, les jumelles et Catherine disent en faisant une révérence: Monseigneur.

Jacques: Mesdames, heureux de faire votre connaissance.

Esclave amoureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant