Chapitre 12

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PDV de Catherine

Oh mon Dieu qu'est-ce qui arrive à mon corps,  pourquoi avec son touché je me sens belle tout d'un coup mais je n'arrêtais pas à citer son nom et cela le pousse à mettre plus de force dans ses baisers alors c'est comme ça va se passer ma première fois sans que je me sens prête et lui là ce qu'il fait c'est pas embrasser mais dévorer mes pauvres lèvres et je sens que je vais m'étouffer.  Je me suis séparé de lui pour prendre mon souffle même pas après une seconde il recommence alors que je sens que je mourrais d'asphyxie,  il arrête de m'embrasser pour,

Jacques: Ce soir tu es à moi,  qu'à moi.

Et après ce qu'il vient de me dire il n y a aucun retour en arrière pour moi,  j'espérais une chance mais lorsqu'il déchira ma robe de chambre et que je me retrouve toute nue devant lui et que dans ces yeux il y a une lueur bestiale je suis sûr que c'est finie pour moi.

Jacques: Tu es magnifique.

Le pire je n'avais pas la force de le repousser, j'avais peur mais j'aimais son regard sur moi,  cette action je ne saurais lui donner un nom car ça a 2 sens le premier c'est du viol et le deuxième c'est pour le plaisir de chacun.

PDV de Jacques

Elle était belle avec des formes à en devenir fou,  je suis d'accord à mon ami qui m'avait dit que les femmes haïtiennes sont des déesses,  je ne le croyais pas je me disais ces femmes sont des négresses, esclaves, laides mais non, après mes jours dans la colonie à la visiter je me rend compte que ce sont des femmes fortes et ayant un courage immense, qui n'abandonnent pas leur mari dans la pauvreté et lorsqu'il arrive qu'un blanc commet un viol sur l'une d'elle la concernée se sacrifie après l'acte parce qu'elle ne veut pas que ça se reproduise d'autre fois.

Elle m'appelait on aurait dit qu'elle me demandait d'en faire plus même beaucoup plus vue qu'elle gémissait mon nom et j'allais la faire mienne ce soir que ce soir je l'aurais goûtée avant de quitter cette colonie. Oui,  je n' en ai plus l'idée de rester ici j'ai mes projets en France et mon oncle n'a qu'a prendre les biens de Dubois. 

D'un seul coup je la portai pour la mettre sur mon lit, elle me regardait et dans son regard je voyais de la peur mais je ne donnai pas d'importance à cela je me suis dit que c'est première fois et qu'elle a peur et je compte enlever sa peur aujourd'hui.

Je recommençais à l'embrasser et je descendais au niveau de son cou pour aller jusqu'à ses seins, je lui martyrisais ses tétons, je les sucais comme un bébé je prenais tout mon temps pour savourer sa saveur et elle ne m'aidait en rien à me retenir car ses gémissements ne m'aidaient pas à attendre le bon moment pour la pénétrer,  après je descend au niveau de son ventre plat et son petit lombril que je mettais ma langue pour savoir sa profondeur.  Arrivée à son intimité je ne prenais pas de temps pour la gouter,  je la léchais,  sucais son petit bouton et elle se met à gigoter alors je la tenais par son bassin pour prendre mon temps je n'avais pas terminé avec elle et à la fin elle me dit:

Catherine : Nonnnn je n'en peux plus Jacques arrêter je ne peux plus me retenir je sens quelque chose d'anormal en moi.

Et moi je lui réponds

Moi: Je ne veux pas que tu te retiennes, fais moi entendre comment je suis ton maître,  appelle moi maître.

Après de l'avoir dit cela je retourne à mon travail elle n'arrêtait pas de s'agiter et au moment où elle allait jouir je lui ai ordonné de m'appeler maître et ce qu'elle fait dans grand cri qui en disait long sur sa jouissance.


Voilà sorry pour le temps mais les études ne sont un jeu et surtout que ma mère me met la pression comme je vous l'avais dit je posterai une ou deux fois par moi le prochain chapitre je ne sais pas si c'est dans ce même mois ou si ce sera en février.

Bisouuuus et à la prochaine.

Esclave amoureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant