Chapitre 21

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PDV de Catherine

Ce qui m'avait été réservé, ne s'est pas produit mais je ne peux pas arrêter de pleurer. S'attaquer à un plus faible que soit,je ne vois pas le plaisir qu'on peut y trouver. Jacques n'arrêtait pas d'asséner à ce français des coups violents, il va le tuer sinon, quelques gardes du Fort viennent séparer Jacques et le français mais c'était sans espoir, il déversait sa colère alors j'ai pris mon courage en main et je me suis dirigé vers eux, par peur de me prendre un coup je restais à quelques pas d'eux et commençais à crier son nom plutôt la façon dont il m'a ordonné de l'appeler.

Moi: Maître!!!! Maître!!! Maître je vous prie d'arrêter........( j'étais à bout de souffle)  vous allez le tuer calmez-vous Maître.

Alors qu'il levait son bras pour encore un coup je me suis accroché à son bras. Je l'arrête parce qu'après il va le  regretter, il sera critiqué par son oncle car la vie d'un noir ne vaut pas la vie d'un blanc, tuer un blanc pour un noir, un esclave, il sera vraiment critiqué.
Donc je n'essaie pas de l'arrêter car j'ai de la pitié, mais parce que la mort de ce français peut entraîner la mienne.
Lorsqu'il se leva de ce français, il se retourna avec des yeux noirs de colère et me regarda, m'examina après se retourne et s'en est allé.
Le regard des gardes me pesaient sur ma peau, je me suis retourné et me dirige vers le Fort.

Esclave amoureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant