Renaissance d'amour

Chapitre 7

Les équipes d'Hondo et de Mumford, Hicks, Penelope et Brana étaient devant l'université. Ils mettaient un plan en place après avoir écouté ce qu'il s'était passé grâce à un étudiant qui avait pu s'enfuir et le directeur qui avait donné les plan de l'établissement.

- Penny...
- Je fais aussi vite que je peux Brana.
- Je sais. Pardon.
- Voilà. J'y suis.

Ils avaient vu sur les preneurs d'otages grâce aux vidéos de surveillance. Les, car ils avaient pu voir qu'ils étaient cinq. Vidéos qui étaient cachées pour que les élèves ne sachent pas qu'ils sont surveillés. Mais le directeur leur avait avoué leurs existences. Malheureusement, elle ne vit pas Killian parmi les personnes qu'ils pouvaient voir.

- Je suis sûre qu'il va bien, Brana. C'est lui qui a appelé. Il doit être à l'abri. Lui dit Penelope.
- Je l'espère.

Elle n'arrêtait pas de toucher le médaillon que Killian lui avait offert.

- Capitaine. Nous sommes prêts à y aller. Lui dit Hondo.

Elle les regarda Mumford et lui.

- Bien. Pensez à allumer vos caméras. Soyez prudent.
- Oui. Capitaine.

*****

Deacon avait reconnu le nom que Garcia avait prononcé. C'était celui dont Brana avait dit après son je t'aime.

Son homme était donc professeur dans cette université. Il se demandait à quoi il ressemblait. Mais pour le moment, il devait se concentrer et mettre fin à cette prise d'otage.

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Ils s'étaient séparés avec l'équipe de Mumford pour prendre un côté et l'autre de la pièce. Chris, Street et deux hommes de l'autre équipe vérifiaient les lieux pour faire sortir les élèves.

- À mon signal. Entendirent-ils dans leurs oreillettes... Maintenant.

Ils entrèrent.

Ils mirent au sol les hommes. Le plan s'était déroulé parfaitement.

Ils sortirent avec les preneurs d'otages. Ils les confièrent à des policiers avant de rejoindre leur capitaine.

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Il venait d'enlever son casqua quand il entendit son premier amour appeler ''Killian''. Il se tourna pour voir l'homme en question. Il se figea en le voyant. Il avait l'impression de se voir quelques années en arrière.

Son cœur battit plus fort, ses oreilles se mirent à siffler quand il entendit ce jeune homme appeler Brana, maman.

Son cerveau fit rapidement le calcul. S'il était à l'université, il devait avoir plus de dix-huit ans. Killian était son fils. Brana était enceinte quand il l'avait quitté.

Il eut la nausée en pensant cela.

S'il avait su. S'il n'avait pas écouté son père. S'il...

- Deacon ?
- Pardon. Tu disais quoi, Hondo ?
- Je te demandais si ça allait. Tu as pâli d'un coup.
- Oui. Je... Je dois juste parler à notre capitaine.
- D'accord.

Il s'avança vers Brana, mais il fut arrêté par leur analyste.

- Je ne pense pas que ce soit le moment, sergent.
- Mademoiselle Garcia...
- Je dirais à Brana de vous appeler plus tard. Mais pour le moment, vous devez les laisser se retrouver.
- Vous savez, n'est-ce pas ? Vous êtes meilleures amies avec Brana. Vous savez que ce garçon est mon fils.

L'analyste baissa la tête puis elle la redressa pour lui faire face.

- Oui. Je sais aussi combien Brana était brisée quand vous l'avez quitté. Elle en était malade. Elle appris peu après qu'elle était enceinte. C'est ce qui l'a sauvé. Vous revoir ici, a été très difficile. Même si elle connaît les raisons de votre rupture, elle ne peut pas oublier combien elle a souffert lorsque vous lui avez tourné le dos. Elle vous aimait plus que sa vie. À présent, c'est Killian qui a pris cette place. Alors s'il vous plaît, laissez-les se retrouver.
- D'accord. Mais s'il vous plaît, dîtes-lui de m'appeler au plus vite.
- Promis.

Il regarda une nouvelle fois son premier amour ainsi que leur fils puis il retourna auprès de son équipe.

*****

Penelope ne savait pas si elle avait bien fait, mais elle devait avouer la vérité au sergent Kay quand ce dernier l'avait confronté.

En le regardant s'éloigner, elle croisa le regard d'Hondo. Mais le moment ne dura pas, ce dernier détourna le regard.

Elle soupira. Elle ne voulait pas rester en froid avec lui. Elle tenait à lui. Mais pour le moment, elle devait concentrer sur sa meilleure-amie et son fils.

- Tatie Penny.
- Mon grand.

Elle serra Killian dans ses bras.

- Nous avons eu peur.
- Je sais. Mais j'ai fait comme maman m'a appris en cas de prise d'otage lorsqu'on n'est pas en avant.
- Bon garçon.

Ils se sourirent.

- Capitaine. Mademoiselle Garcia. Je pense que vous pouvez rentrer. Nous nous verrons demain. Leur dit Hicks.
- Je peux...
- Vous aussi, Mademoiselle Garcia.
- Je vous remercie, Hicks. À demain.
- À demain, capitaine.

Ils rentrèrent chez eux.