Recueil de mini histoire d'une quinzaine de ligne ( sur téléphone), de question existentielle....
J'écris sur des coups de têtes donc l'orthographe est pas top désolé par avance.
Assise dans son lit, pendant une chaude nuit d'été, le soleil vient de se coucher et elle écoute de la musique. D'un coup les larmes dévalent ses joues pour aucunes raisons apparentes. À l'intérieur, cela fait des mois qu'elle est brisée, à vrai dire depuis l'hiver dernier, mais c'est lors de cette nuit là, si longtemps après... que lorsque son cœur a fini de saigner ses émotions parviennent à emmagasiner ce qu'elles doivent faire, elles sont volatiles, inaccessibles.... et d'un coup, lourde, omniprésente. Elle ne peut s'empêcher de rêver. Après tout, qui ne rêve pas ? Mais elle elle aimerait ne pas avoir la capacité de le faire, juste pour que ses souvenirs et son imagination ne se mêle plus aussi étroitement qu'ils le font. Elle aimerai arrêtait d'espérer, arrêter de sourire, de réagir six mois plus tard.... mais elle ne contrôle plus rien... depuis bien longtemps. Un souvenir ressurgi. Ce souvenir. Comme tant de fois. Une étreinte, un sourire et une promesse, une journée radieuse. Et puis un autre arrive et la brise en morceau. Un regard, du désespoir, une main et de la chaleur brûlant sa peau et s'enfuyant pour ne jamais revenir. Il faut.... il faut qu'elle arrête de ressasser le passer, à tout pris. Mais cela est si tentant. Vous ne trouvez pas ? Une journée magnifique tout le monde apprécie n'est ce pas ? La fin d'un tourment aussi ? Mais alors, pourquoi on l'empêche de retourner là-bas, de se plonger dans ce passé qui au contraire du présent n'est pas chaotique et au contraire du futur est certain ? Pourquoi on lui dis de tourner la page? Et puis, quelle page ? Qui a dit que c'était une page et non un chapitre, ou bien même un livre entier, qui a décidé cela ? Personne vous me direz.
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Et bonjour à tous. Aujourd'hui nouveau « chapitre », quand j'ai écrit ça j'ai fait une expérience pour tester un nouveau style d'écriture essayant de développer le côté expressif du mal du personnage. J'ai essayé de faire ressentir le fait qu'il était « piégé » je sais pas si ça fonctionne mdr.
