La souffrance d'une boxeuse

Chapitre 14 : Théo

Se sal fumiers est partie avec Emma. Nous, on n'a rien, pars contre une chose est sûre, on va changer la porte et on va en mettre une blinder.

- Aller les gars tout le monde au travail. Julien et Jules faite le tour de la propriété pour voir l'étendu des dégât, Chloé et Laura tracer la puce qu'il y a dans le bracelet d'Emma, et les autres ranger moi se foutoir.

Ils me font tous oui de la tête et parte exécuter leurs ordres.

Les jumelles reviennent me voir en courant.

- On a trouvé ! Elle est dans un hangar dans les soixante sixièmes avenues.

- Ok, prévenez les autres, dans dix minutes, grand max je veux tout le monde devants la maison, arme et munition comprise.

- Oui chef ! Affirme-t-elle en même temps.

Elles partent toutes les deux en courant. Je fonce dans l'armurerie et prend mon arme et une dizaine de chargeur.

J'en prend une pour Emma et remonte. Je sors dans la cour et attend les autres. Dix minutes plus tard, comme prévu, on se retrouve tous devant ce qui reste de notre porte d'entrer.

- Privilégier les voitures noirs ou grise, c'est plus discret.

Il fonce tous dans leurs véhicules pendant que moi je me retrouve dans ma Tesla avec les jumelles.

- Ne t'inquiète pas Théo, on va la retrouver.

- Je sais Laura, mais je lui ai promis que je la protègerais et il l'a quand même emmené.

On arrive à l'endroit indiquer pars les filles trente minutes plus tard. Trente putain d'éternel minutes !

On sort tous de nos voitures, on sait tous ce qu'on doit faire.

On se sépare en deux groupes, un devant, un derrière et le premier groupe qui la trouve appel l'autre c'est la règle.

On entre dans le bâtiment en tuant tous ceux qui se trouve sur notre chemin. Pas de cartier ! Aucune pitié ! On arrive devant une salle ou sont poster plusieurs gardes. C'est surement là qu'il la retienne prisonnière.

On tue chacun des gardes et on ouvre la porte, personne.

- Putain !

On reprend notre route.

On arrive devant une nouvelle porte où des gardes sont encore poster, on les descend chacun leur tour. Cette fois on la trouve ligoter à une chaise inconsciente. Elle a l'arcade et la lèvre ouvert.

On la détache, son réveil ne se fait pas en douceur parce qu'elle me désarme et s'apprête à me tirer dessus mais elle s'arrête nette a la seconde où elle nous reconnait.

- Putain, mais tes pas bien ? Crie-t-elle surprise.

- Moi aussi je suis content de te retrouver Emma, je dis en souriant, heureux qu'elle ne soit pas plus blessée.

Elle pose l'arme sur la table et me saute dans les bras.

- Merci d'être venu.

- Derien princesse, un Parker tient toujours ses promesses.

Elle me sourit et m'embrasse.

On se sépare.

- Lucien, Lucie, Jules Camille vous ne pouvez pas savoir à quel point vous m'avez manqué, murmure-telle dans un souffle.

- Toi aussi tu nous as manquer, disent-ils en même temps.

Je m'empare de l'arme qu'elle a posé et lui temps.

- On a un enfoirer à aller descendre !

- Sa je ne te le fais pas dire Théo. Suivez-moi !

On la suit, elle nous conduit dans une pièce qui ressemble à un bureau.

- Je vois que tu as trouvé ma cachette, petite princesse.

Carlos est juste en face de nous, dans le coin près de la fenêtre.

Elle pointe son arme sur lui. Elle lui tire dans la jambe droite.

- Sa c'est pour m'avoir kidnappé.

Elle tire une seconde fois dans la jambe gauche.

- Sa c'est pour m'avoir frappé.

Elle lui tire, dans le bras droit.

- Celle-là c'est pour avoir détruit ma vie !

Elle tire une nouvelle fois dans le bras gauche.

- Ça, c'est pour m'avoir rendu comme je suis aujourd'hui !

Et cette fois elle lui tire entre les deux yeux.

- Et sa c'est pour avoir tué mes parents ! Va en enfer !

Carlos est mort, c'est enfin terminer. Elle a eu sa vengeance. Tout est terminer, elle peut enfin être heureuse. Je vais la rendre heureuse.