Salutation nouveau voyageur. Dans cette histoire il y auras comme personnages :
Izuku
Katsuki
Shoto
Denki
Eijiro
Tamaki
Jiro
Hawks
Momo
Chisaki
Dabi
et d'autres persos si vous me le demandez, je vous dit bonne lecture pour ceux qui lirons cette h...
(Tp)= ton prénom (Cc)= couleur de cheveux ____________________________
La rencontre :
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C'était à l'âge de 12 ans, un repas de famille entre vos deux familles de bourges, le jour de ton anniversaire :
PDV (tp) :
"Père- Habille toi bien pour ce soir (tp) ! Tu vas rencontrer la famille Yaoyoruzu, alors dépêches toi nom de dieu !
- Oui père."
Je parti donc, une fois de plus sur l'ordre de mon père, m'habiller de manière correcte comme se que père voulait. Et ce fut ainsi que je me diriger vers ma chambre sans une once d'émotion sur mon visage, le visage d'une pré-adolescente de 12 ans.
Quelques temps plus tard, j'étais fin prête. Mon père m'attendait, tapant de son pied gauche d'impatience, les bras croiser sur son torse.
"Père- Se n'est pas trop tôt ! Ce que tu es lent(e), mon dieu ! La prochaine fois tu te dépêchera si tu veux pas finir comme ta sœur !
- Oui père.
Père- Et baisse les yeux quand je te parle ! C'est la dernière fois que je te le répète ! Est-ce bien claire ?
- Oui père.
Père- Bien, allons-y."
Je suivis mon père, les yeux baissai vers le sol enneigé. C'est mon anniversaire aujourd'hui mais j'ai bien l'impression que père l'ai encore oublié... Depuis la mort de maman et ma sœur à cause des vilains, il n'est plus le même. Cela fait depuis 2 ans aujourd'hui, il ne s'en ai toujours pas remis, un peut comme moi. Je monta dans la limousine noir, les yeux encore baissai, la voiture commença à rouler.
Le paysage défiler sous mes yeux, la neige tombant dans la ville encore en activité. Je voyais des enfants de mon âge jouais entre eux, la joie dans leurs yeux, des marchands essayant de vendre le plus possible, des amoureux se tenant la mains, des personnes âgés assis sur un banc avec leurs moitiés. Ils ont l'aire si joyeux, si remplie de joie contrairement à moi. Puis, nous nous arrêtâmes devant un grand manoir. On était arrivé. Un homme arriva et m'ouvris la porte. Je descendis en attendant mon père.
Père me pris par l'épaule brusquement et me fit avancer, il sonna enfin à la porte immense. C'est un homme qui ouvra la porte, il était habillé chiquement et son visage ornés un sourire chaleureux.
"L'homme- Je vous en pris, entrer ! Avec cette fraicheur, je ne peux vous laisser dehors.
