TOME 1. Valentina : Kidnappée, violée, les dessous d'une famille mafieuse Corse.

Chapitre 68 - La fin de tout. Pt 1.

J'ai perdu une partie de mes parties les filles dans une mauvaise manip alors j'essaye de recoller les morceaux de l'histoire tant bien que mal ! Je vous ai fait une longue suite alors plutot que d'en refaire plusieurs, je sais que vous en avez marre d'attendre.. Je suis vraiment désolée pour l'attente j'éspère que vous ne m'en voulez pas trop :( 

Bonne lecture ! ❤ 

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Varamin, Iran ☫

Dans la peau de Valentina.

162, 163, 164, 165, 166, 167, 168, 169, 170... les gouttes tombent devant moi et j'attend, perdue dans mes pensées. Il fait nuit noire maintenant et Ilias n'est toujours pas réapparu depuis tout à l'heure. Le vent gronde toujours horriblement fort dans la maison, des feuilles volent dans les couloirs, rendant la maison sinistre, à la Conjuring. Les esprits en moins. 

Notre seule source de lumière et de chaleur est une bougie posée à même le sol qu'Alia à réussi à retrouver après que la tempête ait soufflé presque l'intégralité du rez de chaussé. Alors nous attendons. Et nous attendons quoi ? Nous mêmes ne le savons pas. Je frissonne, la chaleur écrasante de d'habitude n'est plus qu'un vague souvenir... nous sommes trempées et il fait horriblement froid. Alia me tire de mes pensées.

Alia : On devrait peut-être... aller se chercher quelque chose à boire...

Je lève la tête et acquiesce, elle à les trait tiré et ses yeux sont rougis par les larmes.

Moi : Tu as raison allons y...

Nous peinons à arriver jusqu'à la cuisine, et arrivées à celle-ci nous sommes... choquées une nouvelle fois. Les tabourets sont renversés et les placard complètement éventrés, tout ce qu'ils contenaient est par terre le frigo est dans le même état, la nourriture recouvre le sol... nous sursautons lorsque le store claque contre une des fenêtres brisées. 

Tout ça me fait froid dans le dos...

Je reste pensive une seconde en regardant cette fenêtre. Je pense à cette maison de malheur et à tous les monstres qui sont passés par ici. 

Qarchak, Iran ☫ 

Dans la peau de Salah

Les paysages originellement désertiques sont devant mes yeux maintenant... chaotiques. La tempête à tout soufflé sur son passage et à en croire les infos qui grésillent dans le 4x4 de Parsa ce n'est que le début. On est à peine  à quelques kilomètres de Varamin mais les 2 seules routes sont quasiment impratiquables car bloquées par des arbres et des débrits, on doit donc se coltiner des putains de détours qui rallongent encore plus le temps de route... et ça ça me stress... ça et revoir Valentina... j'essaye d'imaginer son visage, ses cheveux, sa voix... les images me restantes sont troubles et je peine à me concentrer sur sa façon d'être, de marcher... il ne s'est passé peut être que quelques mois mais ça à été suffisant pour que j'oublie... que mon cerveau modifie et tourne à sa guise ses mimiques, sa personne. Quelle est sa façon de penser maintenant, je savais que si je lui causait encore du tort elle ne me pardonnerait pas, elle me l'avait dit. Combien de fois m'avait-elle prévenu ? Combien de fois m'avait-elle supplié d'arrêter ?