Chapitre 9 : Sacré Alvarez

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PDV Spencer :

Je me releva difficilement sur le lit où je me trouvais. En effet, l'une de mes mains était attaché au lit par des menottes. Il était donc difficile pour moi de bouger.

- Spencer !

Je me retourna vers la voix familière qui m'appelais. Cette voix si douce et apaisante.

- Flora, dis-je dans un souffle.

Je n'avais pas fait attention hier mais cette fille est tout simplement magnifique.

Cheveux brun, long jusqu'au dessus des hanche, ondulé, des yeux... Mon dieu, c'est yeux. Je m'y perdrais.

- Spencer ? Vous êtes sur que sava ?

Flora me sortie de mes pensés. Elle était là, devant moi, avec sont regard inquiet.

- Oui, oui sava.
- On ne dirai pas, ajouta l'homme qui l'accompagnait.

Soudain un grand coup dans la porte nous fit sursauter.

- Tiens tiens, il se passe quoi ici ? dis Lisandro.
- Putain, manquais plus que lui. Ajouta Flora dans un murmure.
- Sava ? Je vous dérange pas trop ? Ajouta Lisandro.
- Un peu. On allait commencer à l'ausculter. Dis Reynolds.
- Ok, donc vous ne voyez aucun inconvénient à ce que je reste ? Mesure de sécurité vous comprendrez. Dit-il avec un grand sourire.
- Il est menotté, et puis même en prison il y a le secret médical. Lança Flora.

Elle n'a pas l'air de l'apprécier beaucoup ce type.

- Et vous avez besoin d'être deux ? Flora était seul hier.
- Ce sera Docteur Rodriguaise pour vous. Corrigea t'elle.
- C'est plus facile pour le diagnostic. Expliqua Reynolds. Sa nous permet d'échanger sur les symptômes et les potentiel remède.
- Je comprend bien, mais ici c'est la prison pas l'hôpital. On n'a un nombre a respecté. Puis d'autre détenu attendent pour être soigné.
- Comme si tu en avais quelque-chose à foutre, lâcha Flora en colère.

Je saisie sont poignet discrètement pour la calmer. Elle tourna sont regard vers moi, puis se calma.

- Écoutez, fis Reynolds. Mr Alvarez à raison. Flora tu ausculte ici et moi je vais aller voir d'autres détenu. Puis on tournera tout à l'heure et on échangera sur nos avis respectif. Mr Alvarez je vous suis !
- Je vais demander a un garde de vous escortée.
- Vous n'avez pas bien compris je pense. Le détenu est menotté et à le droit au secret médical même en prison. Le Docteur Rodriguaise doit rester seul avec le détenue. Et puis, qui de mieux que le chef adjoint pour me faire visiter et assurez ma protection ?
- Tout à fait. Je vous aimes bien vous. Vous êtes plus lucide que Flora. Même si j'avoue que ton côté rebelle me plaie poupée.
- On y va ? Coupa Reynolds. Les détenus attendent.

La minute d'après, le silence régnait.

- Sa fait un bien fou quand on l'entend plus celui-la. On va pouvoir commencer.
- Vous avez l'air de bien vous connaître.
- Sa fais quelque année que je viens soigner des détenus. Sans compter les réunions avec le maire et le directeur de la prison. Alvarez est adjoint donc toujours de la partie.
- Et vous ? Je ne savais pas que les médecins faisait des réunions avec le maire. C'est plus le rôle de votre directeur non ?

Elle eu un sourire polie. Je crois que je l'ai vexer.

- Oula, vous avez une tensions basse. Pas étonnant avec la fatigue accumulée.

Elle plaça sa main sur ma joue. J'eu un sursaut.

- Mince, je vous ai fait mal ? J'aurais du vous prévenir. S'excusa t'elle.
- Non, non ce n'est rien.

Elle me sourit, puis regarda mon visage.

- C'est un peu gênant, dis- je en souriant.
- *rigole* désolé mais je suis obligée pour voir si il n'y a rien de grave. Il ne vous on pas rater.
- Oui. Il m'ont pris en traite dans la laverie.
- Et aucun garde a l'horizon j'imagine.
- Si, c'est Alvarez qui m'a fait sortir de ma cellule. J'ai d'abord cru que vous aviez réussit à joindre mon équipe... Puis j'ai vite compris que c'était un piège.
- Comment sa ?
- Il m'a dit que j'avais de la visite puis ma pousser dans la laverie et enfermer.
- Merde.

Sont regard changea instantanément. On aurait dit qu'elle venait de voir un fantôme.

- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Il sait.
- Qui ? Alvarez ?

Elle hocha la tête avant de se passer une main dans les cheveux.

- Il sait que vous êtes du FBI. Il a du lire le dossier. Si quelqu'un d'autre l'apprend vous êtes mort. Il faut qu'on vous sorte de la tour de suite.
- Vous avez réussi à joindre mon équipe ?

Elle se tourna vers moi avec un regard désolé.

- Je n'ai rien trouver, ni numéro de téléphone, aucun mail. C'est pour sa que je suis revenue. Vous avez peut-être en tête un numéro ? Quelqu'un qui pourrait prévenir votre équipe. Votre père par exemple.
- Non, je ne lui parle plus depuis des années.
- Et sa risquerait de désorienté votre mère avec sa schizophrénie si on l'a contactais.
- Comment savez-vous que c'est ma mère qui est schizophrène ?

Elle haussa les épaules.

- Déduction ; cette maladie touche plus les femmes de 45 ans. Vous semblez avoir mon âge donc sa coïncide. Plus le cliché, du fils qui est prêt à tout mon aider sa mère. Dit-elle en rigolant.
- Vous feriez une bonne recrue dans mon département. Dis-je avec un sourire.
- *rigole* c'est gentil mais j'aime trop la médecine pour changer.

Elle changea le bandage de ma main.

- Alors vous avez un numéro en tête ?
- Oui, vous avez un papier ?
- Oui, je ...
- On change ! S'écria une voix.

C'est là que je t'ai rencontré Où les histoires vivent. Découvrez maintenant