Chapitre 18 : plan B

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- Tiens la grande malade à l'air d'aller mieux.

Je me retourna pour retrouver Alvarez souriant.. Reynolds sortie quelque seconde après moi. Accentuant encore plus le sourire d' Alvarez.

- A ouai. C'est un nouveau traitement de s'envoyer en l'air avec sont collègue ?
- La ferme Alvarez. Je dois rentrer. Je ne me sens pas bien.

J'allais partir quand celui-ci me retenu.

- Attend. J'aurais juste besoin que tu signe un papier.
- Un autre jour tu veux ? Je suis vraiment pas en état là.
- Sa ne peux pas attendre malheureusement. Dit-il en me tendant un papier.

Je saisi sont stylo à contre coeur. Je lança un regard discret à Reynolds.
J'étais coincée, je n'avais pas d'autre choix que de signer ce putain de papier. Celui qui amènera Spencer à une mort certaine.

- Merci. Dit Alvarez. Je vous laisse j'ai un prisonnier à récupéré.

Reynolds passa une mail dans ces cheveux tandis que je regardais Alvarez s'en aller.
Je pris la fuite vers mon bureau tandis que Reynolds me suivit.

- Mais qu'est ce que tu as fait putain ?! S'écria t'il.
- ...
- Mais répond ?! Tu me dois bien sa.
- Je ne te doit rien. Tu veux que je te rappelle que je suis ta supérieur ? Je n'ai pas à me justifier.
- Ah ouai ? On n'en n'ai là ? Moi je pense que tu me dois une explication.
- Qu'est ce que tu voulais que je fasse ?
- Je sais pas moi ... Réfléchir 5 seconde avant de signer ce papier.
- J'étais coincée. Je ne pouvais rien faire.
- C'est toi qui tes fourré là-dedans et je suis le plus investit.
- Je ne t'ai jamais obligée à m'aider. J'ai lâcher l'affaire, tu devrait en faire autant.
- Tu va vraiment tous abandonner pour une petite engueulade avec sont équipe ?
- Je ne suis pas si immature, merci. Cette conversation m'a juste permis d'ouvrir les yeux. On n'a fais notre maximum. Point final. Ils prennent le relais, tchao.
- Tu en as plus rien a faire de lui enfaite.Si il meurt en prison ...
- Stop ! Dis-je en tapant un grand coup sur la table. J'ai dit on arrête. Si tu veux les aidées va y. Moi je ne veux plus entendre parler d'eux.
- Ok. Comme tu voudras. On avait trouvé un plan B... Juste à titre d'information.

Il partit la seconde d'après. A peine la porte se fermi que je laissa mes larmes couler.
Je resta 5 bonne minutes à pleurer toute les larmes de mon corps. Je me haïssait d'avoir abandonner Spencer comme cela. Je n'osait même pas imaginer sont regard quand il apprendrait qu'il allait retourner là-bas.

- Il n'a pas besoin de moi me répétais-je ,il as son équipe. Ils vont l'aider.

Après quelques minutes à me morfondre je décida de retourner travailler. J'avais un hôpital à faire tourner et des malades à soigner.

Je sortie a peine de mon bureau quand une tornade blonde me fonça dessus.

- Je vous cherchais !
- Oh Pénélope, vous m'avez fait peur.
- Désoler... Je ne voulais pas.
- Pas de soucis. Mais si il s'agit de Spencer, il faudra vous adresser à Reynolds.
- Oui, je sais il nous as prévenu. Je voulais juste savoir pourquoi.
- Pourquoi quoi ?
- Vous laissée tomber du jour au lendemain. Si c'est pour la dernière fois je ...

Je leva les mains pour l'arrêter.

- Non pas du tout. Je pense juste que Spencer n'a plus besoin de moi.
- Mais vous vous trompez. Il a besoin de vous.
- C'est gentil mais il vous a vous. Sont équipe. Je n'ai plus rien a lui apporter.
- Vous ne cédèrer pas c'est sa ?
- Non. Désolé. Il faut mieux que je vous laisse prendre la relève. C'est mieux pour tous le monde.
- Il vous aime bien vous savez. Il arrête pas de dire à quel point vous êtes formidable.
- Je l'aime beaucoup aussi. C'est lui qui est formidable.

Je sourit bêtement en prononçant c'est mot.

- Je dois vous laisser, mes patients m'attendent.
- Oui, bien sûr. Merci encore pour Spencer.
- De rien *sourit*. J'ai été contente de vous rencontrer, tous.
- Nous aussi.
- Bonne chance.
- On va le sortir de là. J'en suis sûr. On n'a réussit d'avoir une audience du juge en urgence dans 2 jours.
- Ah bon ?
- Oui, on n'a récupère le plus d'infos possible.
- Vous avez les vidéos de caméra de surveillance de la prison ? Demandais-je
- Non, pourquoi donc.
- Pour rien. Je dois y aller on me bipe.

Pénélope me sourit. Je partie rejoindre les urgences quand une idée me traversa l'esprit. Je pris mon téléphone et composa sont numéro.

- Oui, c'est moi. J'ai besoin de ton aide.

C'est là que je t'ai rencontré Où les histoires vivent. Découvrez maintenant