C'est là que je t'ai rencontré

Chapitre 15 : la rencontre avec l'équipe

Quelque minutes après, nous nous sommes retrouvés avec Pénélope devant un petit groupe.

- Mes amies, je vous présente Flora !
- C'est donc vous la sauveuse de Reid ? Demanda l'homme musclé.
- *sourit* je n'irai pas jusque là mais oui on va dire que je l'ai dépanner.
- Dépanner ? Tu veut rire ! Sans toi qui sais ce qui lui serait arriver. S'exclama Pénélope.
- Eh calme toi baby girl. Dit l'homme musclé. Je suis Morgan, me dit-il en tendant la main dans ma direction.
- Flora dis-je en lui serrant la main. Vous pouvez me tutoyer.
- Moi, c'est Prentiss. Dis une femme brune. Merci infiniment pour Reid.
- Moi, c'est Jennifer. Dis la femme blonde de tous à l'heure.
- Enchanter.

Un silence s'installa entre nous. Tous leur regard se tournaire vers moi.

- Il y a un problème ? Demandais-je
- Non, on se demandais juste comment allait Reid. Demanda Prentiss.
- Je croyais que vous aviez discuté avec lui tous à l'heure ?
- Oui, mais bon... il dit ce qu'il veut. Expliqua Pénélope.
- Votre expérience de profiler vous montre que la situation est différente de ce qu'il vous raconte c'est sa ?
- Jolie et intelligente. Reid à eu de la chance de vous rencontrer. Dit Morgan en souriant.

Sa réflexion me fis sourire. Et a ma grande surprise Jennifer n'avais pas l'air vexer. Peut être me suis-je fais des films finalement .

- Spencer va bien. Il était déshydrater et faible à cause de la prison. Il s'est fait un peu amoché par certains détenus...

Je voyais l'inquiétude qui grandissait dans leur regard au fil de mes paroles.

- mais il va mieux. Il a réussi à reprendre des forces en restant ici. C'est constantes sont stables. C'est le principal.
- Mais ? Ajouta l'homme italien. Je suis...
- Rossi. Oui je vous avait reconnu. J'adore vos livres.
- *Rigole* merci.
- Pour être totalement honnête avec vous, Spencer à beau être quelq'un de formidable...il est trop faible pour la prison. Ce milieu n'est pas pour lui. J'ai peur que quand il sera de nouveau là-bas...qu'il se fasse tabasser voir pire.
- Comment sa "retourner là-bas ?"Demanda Jennifer inquiète.
- Sa fais déjà une semaine qu'il est ici. J'aurais bientôt épuisé toutes les excuses possible pour le garder en observation. Et puis, le garde qui le surveille ne va pas tarder à poser des question, puis sont adjoint va s'en mêler ...
- Et quand il vont découvrir que Spencer n'a rien il vont redemander le transfert. Finis Morgan.

Je hocha la tête en signe d'approbation.

- Mais... Il a quand même fait un arrêt cardiaque. Dis Pénélope.
- Oui, c'est vrais sa. Vous avez réussi à savoir d'où sa venait ? Demanda Rossi.
- Je...qui vous as dit cela ?
- Une infirmière de l'accueil.

Note à moi même : faire des rappels aux équipes sur ce qui s'appelle le secret médical.

- Je ...
- C'est grave c'est sa ? Dit Prentiss
- Ce n'est pas tout à fait sa.
- Comment sa ? Demanda Morgan.
- Venez avec moi.

Tous en marchant vers mon bureau je bipa Reynolds. Il déboula au détour d'un couloir.

- Une urgence chef ?
- Plutôt ouai.
- Qu'est ce qui se passe.
- L'équipe de Spencer à poser des questions sur sont arrêt cardiaque.
- Merde.
- Un peu ouais
- C'est encore loin ? Demanda Pénélope. Vous marcher trop vite pour mes petites jambes.
- C'est juste ici.

Je rentrais dans mon bureau accompagné de Reynolds. L'équipe nous suivi quelque minute après.

- Que ce passe t'il ? Demanda Jennifer.

On échangea un regard avec Reynolds.

- C'est grave à ce point la ? Dit Rossi.
- Non, c'est juste que ... Commença Reynolds.
- Juste que quoi ? Vous commencez vraiment à m'inquiéter... Et si Spencer est malade nous devons.... Dit Pénélope.
- Sont arrêt cardiaque était planifier, coupais-je.

Ma phrase eu l'effet d'une bombe. Plus aucun bruit ne régnait dans la pièce.

- Quoi ? Dit Prentiss.
- J'avoue que je ne comprend plus rien. Dit Morgan.

Je sentis les larmes me monter au yeux .  Je me pinça l'arrête du nez pour éviter à mes larmes de couler. 

- On n'avais pas le choix, c'était le seul moyen pour le faire sortir de là.
- Flora calme toi. Dit Reynolds en mettant une main sur mon épaule.

Je repris mes esprits, remerciant Reynolds du regard.

- On n'a simuler la crise cardiaque de Spencer. Avoua Reynolds.
- Quoi ?
- Pardon ?
- Comment sa ?

Ils étaient choquer et cela était normal. On viens de leur annoncer que leur collègue aurait pu y passer par notre faute.

- On n'avais pas le choix, justifia Reynolds. On....
- On n'a toujours le choix. Coupa Pénélope.
- Vous auriez pu le tuer. Enchaîna Morgan.
- Vous êtes médecin comment vous avez pu ...
- Stop ! Fit Prentiss. On se calme. Laissez les s'expliquer.

Je la remercia du regard.

- Spencer venait de ce faire tabasser la veille par trois détenus. On devait le sortir de là.
- Il existe d'autre moyen. Dit Jennifer.

Toi... Ta gueule. Pensais-je.

- Il était mal en point. Fis Reynolds.
- Et le problème c'est que c'est le directeur adjoint qui la pièger avec ces trois détenue. Spencer ne pouvais même pas se défendre.
- Comment savez vous que c'est le directeur adjoint ? Se sont de grave accusations. Dit Rossi.
- Parceque Spencer me l'a dit. Voilà pourquoi. De toute façon ce type est une vrais ordure. Je le soupçonne même de savoir que Spencer est du FBI.
- Comment aurait-il su ?
- C'est marquer dans sont dossier de transfert. Expliquais-je. D'habitude seul le directeur y a accès.
- Et comment vous y avez eu accès alors ? Demanda Morgan.
- Je suis très amie avec Andréa. C'est la seule gardienne féminine et accessoirement la femme du directeur. Expliquais-je. Mais ce n'est pas de moi qu'on parlais.
- Sisi justement, vous avez faillit tuer Spencer et on ne devrait rien dire. Dit Jennifer.
- On la sauver. Vous étiez où vous tous ? Explosais-je. Pendant que Spencer ce faisait massacrer en prison ! Nulle part ! Personne de serais-ce inquièter qu'une minute qu'il ne donne aucun signe de vie. Alors oui, peut- être que les méthodes que l'ont a utilisé n'étais pas très orthodoxe mais sa lui a permis de ne pas mourir en prison ! Je ne vais sûrement pas m'excuser pour cela !

Puis je quitta la pièce en furie. Les laissant avec leur accusation.