Chapitre 25 : l'annonce à Spencer

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Je n'en croyais pas mes oreilles, après sortie du tribunal je pris ma voiture et traversa la ville à grande vitesse. J'étais tellement pressée de le dire à Spencer.

Je traversa l'hôpital pour me rendre dans sa chambre. Arrivée devant la porte je frappa.

- Spencer !
- Eh salut. Qu'est ce qui t'arrive ?
- Je reviens du tribunal
- Ah oui c'est vrais.

Je m'approchai du lit, que je m'assieds devant lui.

- Ne me dis pas que tu ne t'en souvenais pas ?
- Si, dit-il. Est-ce que je ne m'attendais pas que ça prenne autant de temps.
- Il y avait beaucoup à dire. Ce n'est pas une affaire simple.
- Alors ?
- Tu veux la version longue ou la version courte.
- *sourit* juste le verdict s'il te plaît.
- Alvarez a été condamné à 45 ans et tu peux retourner en Amérique avec tout ton équipe en attendant le reste du procès est l'enquête en cours.
- Attend ... quoi ?
- Tu as vu c'est génial ! C'est fini la prison pour toi maintenant. Même si tu es placé sur vigilance...
- Alvarez a été condamné à 45 ans ?!
- Je t'annonces que tu es quasi libre et toi ce que tu retiens c'est que l'autre enfoiré va finir là où il le mérite.
- Désolé, dit-il avec un sourire. C'est juste que je n'y crois pas. Comment cela se fait-il qu'il a eu 45 ans ?
- Il t'as quand même poignarder je te rappelle.
- Techniquement c'est toi qui la essayé de poignarder.
- Je sais... Je n'ai pas eu l'occasion de te remercier.
- *sourit* je n'ai pas réfléchi
- Tu aurais pu mourir.
- Je sais, mais je préféres que ce soit moi plutôt que toi.
- Ne dis pas ça Spencer, tu as ta mère et toute une équipe qui t'aime.
- C'est vrai. Et puis je t'ai toi maintenant, c'est ce qui compte le plus.

Mon cœur ratta un battement.

- C'est vrai que toute cette histoire aurait eu du bon finalement. Sans sa jamais je ne t'aurais jamais rencontrer.
- Tu veux allez remercier Alvarez ? Dit Spencer en rigolant.
- Non, mais il faudrait que je pense à remercier l'infirmière que j'ai remplacé le jour où j'ai été soigné les prisonnier.
- Et moi je dois te remercier pour tout. Sans toi je serais encore là-bas voir même peut-être pire.
- Je n'ai fais que mon travail.
- Tu as fait bien plus, sans toi Alvarez serait encore dehors.
- Qu'est-ce qui te fait croire que j'ai à voir là-dedans ? Demandais-je avec un sourire.
- Je suis sûr que tu en es pour beaucoup. Mais ce n'est pas grave si tu ne veux rien me dire je demanderai à Reynolds.
- Il serait capable d'exagérer, dis-je en rigolant.
- Sa lui arrive de mentir ?
- Non, disons qu'il aime en faire des caisses. C'est ce qui fais sont charmes.
- Donc quand il dit que tu ne serait pas contre un dîner avec moi il exagère ?

Il a vraiment dit ça ? Me dis-je. Je vais le tuer.

- Non... Il n'exagère pas dis-je gêner.
- D'accord, sa me rassure car j'aimerais beaucoup aller dîner avec toi.
- Avec ton bracelet électronique et ton garde du corps aussi ? Me moquais-je.
- Peu importe du moment que je suis avec toi.

Je sentis mon cœur s'emballer, est-ce une déclaration d'amour ou c'est moi qui rêve ?

- Je serais honoré d'aller dîner avec vous docteur Reid.
- Tous le plaisir sera pour moi docteur Rodriguaise.
- Je peux te dire quelques choses ?
- Oui ?
- Tu vas peut-être penser que je suis bête mais... J'avais peur que tu m'oublies une fois toute cette histoire terminée. Avouais-je-je
- Et elle était extrêmement jalouse de votre collègue Jenifer. Lança une voix derrière.
- Quoi ? Mais....
-Comment pourrais-je oublier une fille comme toi ? Me dit Spencer.
- C'est exactement ce que je lui ai dit ! S'exclama Reynolds en rigolant.
- Sava je ne te dérange pas trop ? Tu me préviens quand tu as fini de te moquer de moi. 
- Oh désolé, je dérangeais peut-être ? Vous voulez que je repasse après que vous soyez embrasser ?
- Reynolds !
- Sava je plaisante ! En même temps regarder vous on dirait deux ados au lycée.

Spencer et moi nous étions rouge de honte. Heureusement que son équipe en profiter pour faire surface car j'étais extrêmement gêné.

- Bon on vous laisse, on n'a du boulot.
- Je repasserai un peu plus tard, dis-je a Spencer.
- Ouais, elle passera te laisser son numéro de téléphone pour votre dîner organisé.
-Eh, comment tu sais ça toi ? Tu as écouter aux portes ?!
- En même temps tu mettais un temps fou à sortir de là je commençais à me poser des questions.
- Fais gaffe. Je peux encore te virer.
- Ouai c'est sa. Tu n'oserais pas.
- Non, c'est vrai. Je voulais te remercier sans toi je n'aurais jamais réussi à sortir Spencer de là.
- Je n'ai rien fait. C'est toi qui a trouvé les preuves est persuadé le juge que nous n'avions rien à voir avec cette histoire. C'était du bon travail j'étais impressionné.
- A force de te côtoyer j'ai pris le plie quand il s'agit de baratiner.

Reynolds mine main sur son cœur faussement choqué.

- C'est le plus beau compliment qu'on m'est jamais fait.
- Arrête tes bêtises.
- Alors ?
- Quoi ?
- Tu va porter quoi pour aller dîner avec ton beau docteur.
- Ah sa tu ne saura pas.
- Évite les combinaisons orange, dis Reynolds avec un sourire.
- Ouai, plutôt ouai. Dis-je en rigolant.
- Évite de nous faire un enfant maintenant, au moins jusqu'à son procès. J'aimerais éviter de diriger l'hôpital tout seul pendant que tu te la coule douce avec ton nouveau mari. 
- Tu ne t'arrête jamais en fait ?
- Non j'aime beaucoup trop te taquiner pour ça. Et tu me sers un sujet sur un plateau d'argent. Ça serait bête de ne pas en profiter !
- Oui, bah ne t'emballe pas trop vite. Je vais d'abord apprendre à le connaître. Et prendre mon temp.
- Ouai ,c'est sa. J'attend de voir sa.

C'est là que je t'ai rencontré Où les histoires vivent. Découvrez maintenant