Chapitre 19 : je t'en dois une

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Le lendemain je me leva pour aller au boulot. Je passa devant la chambre de Spencer machinalement. Mon cœur ce sera quand je la vis vide.

- Tu regrette. Demanda Reynolds.
- Lâche moi veux tu.
- Pas avant que eu m'expliques la vrais raison du pourquoi tu refuse de l'aider.
- Tu veux la vérité ?
- Oui. S'il te plaît.

Je pris une grande inspiration.

- Il m'a recaler quand je lui ai dit qu'il me plaisait. Il m'a avouer avoir quelq'un dans sa vie et je n'ai pas accepter de me prendre un râteau.
- ...
- Sava ? Tes content.
- Non... Je ne crois pas à ton histoire une seconde.
- C'est pourtant la vérité.
- Tu est au courant que tu agit comme une enfant gâté ?
- Je sais ... Et je n'en suis pas fier figure toi. Mais c'est plus fort que moi.
- Elle s'appelle comment sa copine ?
- Quoi ?
- Sa copine ? Elle s'appelle comment ?
- J'en sais rien. Je suis partie en pleurant avant qu'il puisse ajouter quoi que se soit.
- Mouais.
- Demande aux filles de l'accueil. Elles m'ont vu partir en pleurant.
- Je me renseignerai ouai. Bon je te laisse on me bipe.

La journée passa à une vitesse folle. J'étais dans mon bureau quand quelqu'un frappa.

- Entrée !
- Bonjour.

Je leva les yeux du dossier que j'étais entrain de lire pour tombée sur un homme d'une trentaine d'années.

- Je peux vous aider ?
- Euh...oui. Je cherche Docteur Rodriguaise. On m'a dit que c'était sont bureau.
- C'est moi. Que puis-je faire pour vous.
- Vous êtes le docteur Rodriguaise ? La directrice de l'hôpital.
- C'est bien moi. Oui, je sais j'ai l'air jeune. Dieu bénisse la crème anti âge. Vous êtes ?
- Samuel. Je travail au tribunal de Mexico.
- Enchantée Samuel. Je ne veut pas être mal polie mais j'ai une réunion dans 2min a l'autre bout de l'hôpital.
- Oui, je n'en ai pas pour longtemps. Je venais vous remettre ceci.

Je saisie l'enveloppe qu'il me tendis.

- Qu'est ce que c'est ?
- Une convocation au tribunal après demain.
- A quel sujet ?
- Un détenue que vous avez aider. Docteur Spencer Reid. Sont équipe à saisi le tribunal en plaidant non coupable et votre collègue Docteur Reynolds pour faute professionnelle de la part de la prison.
- D'accord.
- Il ne vous en a pas parler ?
- Si. Si si. Sa m'étais sorti de la tête. Mais pourquoi me convoquer moi ?
- On demande votre avis sur l'affaire. En tant que témoin.
- D'accord. J'y serais.
- Merci. Je vous embête pas plus longtemps. Bonne journée.
- Vous aussi.

A peine la porte se referma que je partit trouver Reynolds.
Quelques minutes plus tard je me retrouva face à la porte du bloc opératoire.

- Flora ? Qu'est ce que tu fais la ?
- Je peux te parler? C'est urgent.
- Je suis occupé là. Je recoud et j'ai fini.
- Ok. Sortez tous. Je prend le relais.
- Mais, docteur Rodriguaise... Commença une infirmière.
- J'ai dit. Tous le monde dehors. Je fini avec lui.

Tous le monde quitta la pièce en quatrième vitesse.

- Au faite. Je crois à ce que tu m'as dit ce matin. Les infirmières m'ont confirmé qu'elles t'avait vu partir en courant.
- Un homme est venue dans mon bureau tout à l'heure.
- Ah. Et c'était bien ?
- Arrête tes bêtises. C'est sérieux. Il m'a donner une convocation au tribunal après demain.
- Passe moi la pince 12 s'il te plaît.
- Tiens. Cette homme m'a dis aussi que tu avais porter plainte pour faute professionnelle contre la prison.
- Je sais.
- Et tu pensait m'en parler quand ?
- Je croyais que tu ne voulais plus en entendre parler ?
- Pas quand sa risque de nous foutre dans la merde Reynolds.
- On n'a rien fait de mal.
- On n'a simuler l'arrêt cardiaque d'un détenue pour le faire évader !
- Endroit où il serait très probablement mort si on n'avais rien fait !
- Sauf que c'est nos carrière qui se joue.
- On aura qu'à dire que le premier jour tu avais des doutes. Que le lendemain tu m'a demander m'ont avis. Qu'il était en détresse respiratoire. Les juges ne sont pas médecin. Il ne chercheront pas plus loin.
- J'espère bien.

Je commença à quitter le bloc opératoire. Arriver à la porte je me retourna vers Reynolds qui avait fini de recoudre le patient.

- Car si il l'apprenne c'est nous qui allons finir en prison. Et ce n'est pas eux qui viendront nous en sortir.

C'est là que je t'ai rencontré Où les histoires vivent. Découvrez maintenant