Chapitre XVII: Par amour

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Précédemment: Tout ses sentiments que j'ai joué durant presque toute ma vie surgit sans que je puisse les contrôler. Je suis toxique et nocif. Je ne comprend pas l'amour. Je n'arrive pas gérer mais j'en ai tellement envie. J'ai envie de toi!

    Je me retrouve dehors devant la mer entrain de fumer une clope. Je repense à cette amour que j'ai repousser délibérément, et je ne ressent que du regret. Mais maintenant, il faut que je fasse avancer les choses. Il faut que je me débarrasse d'une personne qui ne fait que nuire à notre amour. Cette personne n'a jamais voulu de notre bonheur. Cette personne n'a fait qu'empêcher notre histoire. Je hais cette personne et je sais que maintenant il est temps d'en finir une bonne fois pour toute.

    J'avais vers mon bassin, en dessous de mon pantalon une arme à feu que mon pull et ma veste cachaient. Je repensais au moment passer avec Jyhane et cela me donnais encore plus envie de faire cette acte. Sachez que tout ça je ne le fait que par amour. Alors je suis monter sur cette moto et j'ai conduis à toute allure. Le temps semblait s'arrêter et irréaliste mais mon amour pour elle ne semblait pas s'étreindre comme pour le temps qui s'est figé autour de moi. Tout était rapide et lent à la fois. Je ne réfléchissais plus, non là j'étais entrain d'agir.

    Arriver devant cette grande demeure, je comprenais que je ne pouvais pas sonner alors je suis passer par la porte de derrière. Même si je ne compte pas m'enfuir, je devais néanmoins entrer dans cette maison et trouver la personne en toute discrétion. Je monte alors à l'étage discrètement et lentement, mes pats étaient doux comme lorsqu'on marche sur la neige. Ses parents étaient dans leur chambre entrain de faire l'amour. Ils prenaient plaisir sans se rendre compte qu'il y avait un intrus chez eux. Sans savoir que leur monde allait être détruit car l'ange de la mort frappa aujourd'hui à leur porte. Je ne m'attarda pas trop devant cette chambre, je continuais ma quête jusqu'à trouver une porte avec une étiquette où il y avait noter son nom. Le nom du tueur de mon fils et de la cause de tout mes tourments. Mike. 

    J'entra dans la chambre, il dormait paisiblement c'était surement le bon moment. J'ai sorti mon pistolet et je l'ai pointé vers Mike. Mais je ne voulais pas, en tout cas pas aussi facilement. Il fallait que je voit la terreur et la détresse dans son regard. Je voulais qu'on se regarde dans les yeux avant qu'il ne parte rejoindre le monde des morts. 

    Alors je l'ai réveiller en le bousculant puis j'ai pointer mon p*tain de glock (pistolet) sur sa tempe ! Il n'avait l'air de comprendre mais moi si. Je souriais en pleurant de joie. Enfin ! J'allais en finir une bonne fois pour toute. Mike ne s'est même pas débattu. Non il rester figer pendant que je lui est tirer dessus à trois reprise. PAN ! PAN ! PAN ! Puis un silence assourdissant se fit entendre pendant environ 10 secondes avant que les cris de sa mère se fit entendre. Ses parents étaient derrière moi l'air terroriser. Je me suis retourner lentement vers eux et j'ai lancer mon arme au sol. Je me suis ensuite assis accroupi, dos au corp de Mike. Son père, monsieur Polet, s'approcha de moi avec son glock. PAN ! Je n'entendais plus que mes oreilles sifflés et les cris de Vanessa Polet. Mes yeux se sont fermés lentement. Je n'avais pas peur, je me sentais enfin satisfait. 

    Contrairement à se que vous pensez, je ne suis pas mort, mais Mike si. La balle à toucher mon épaule se qui à créer une hémorragie. J'ai perdu mon bras gauche et j'ai écopé d'une peine de 30 ans de prison ferme. J'ai été juger d'homicide volontaire se qui veut dire qu'il à été préméditer. J'ai tout assumer et j'ai plaidé coupable. Jyhane est venu un jour me voir mais elle n'a pas parler. Elle était silencieuse, le seul mot qu'elle a dit était "Aurevoir Ayhan !". Je ne l'ai plus jamais revu et je crois que c'est mieux pour elle. Voilà tout, voici comment j'ai commencé puis finis ma vie. Maintenant, je me demande si j'ai réellement fait ça pour elle ou moi. C'est une bonne question mais j'ai encore 28 années pour y réfléchir.

Le fiancé de ma soeurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant