Chapitre XI: Tourner la page

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Précédemment: J'étais hyper heureuse car il a approuvé tout ce que j'ai fais ce qui étais une victoire pour moi. Ce qui me rendais triste néanmoins était que je me sentais terriblement seule.

C'est vrai je n'ai personne avec qui fêté cette victoire. Si je pouvais changé mon passé l'aurais-je fait? Je ne sais pas vraiment car même si j'ai mûri, c'est mon histoire qui m'a fait devenir cette femme. Et puis j'attend ce petit boutchou et j'en suis tellement fière. Mais la question que je me suis toujours posé est, si ce n'étais pas l'enfant d'Ayhan serais-je si fière de le porter. Il est sûre que je n'ai toujours pas oublier Ayhan, il y a toujours cette connexion entre lui et moi. Même si je l'ai entraîner dans ma chute pour que tout le monde découvre qui il est vraiment, je sais que je l'ai fait aussi par jalousie pour ma soeur car je voulais qu'il n'appartienne qu'à moi. Mais aujourd'hui je le déteste, il m'a laissé tomber et je doit payer toute seule nos erreurs.
Tel étais mes pensés les plus profondes, les plus sincères. Je n'ai jamais vraiment regretter mes agissements. Je ne comprenais toujours pas pourquoi je payais avec cette solitude le pêcher de mes actes. Ayhan vit sûrement une nouvelle vie meilleur que la mienne ou peut-être qu'il est encore avec Faty pendant que moi je vie dans cette immense solitude. Il n'a jamais rien assumer, notre liaison comme notre enfant. Il vivait une vie loin des regards méprisants et loin du silence de ses proches. Injuste est le monde, injuste est la vie. Je suis la seule à payer et lui vie toujours.

Tout les soirs avant de dormir, je me dit ça avec ce pincement dans le coeur. Même si je vie plutôt bien en se moment je sais que ça ne durera pas avant que quelqu'un fasse la découverte des vidéos qu'Ayhan a mis en ligne. Je pleure chaque soir et je suis tellement désespérer par ma situation que je ne sais plus quoi faire. Mais ce soir là, ce soir là je n'en pouvais plus. J'ai pris mon téléphone et j'ai composé le numéro de ma belle-mère. Je ne savais pas quoi dire ni quoi faire mais après 4 mois et demi de silence je voulais enfin leur parler.

BIPPP BIPPPP BIPPPP.

Mariama: Allô?

J'ai gardé le silence. J'ai juste fondu en larme.

Mariama: Jyhane? C'est toi?

Moi: Mama

Je n'arrivais pas à parler et je crois qu'elle aussi. Quelque fois le silence est la meilleur des choses. Mais elle a préféré parler.

Mariama: Ecoute moi bien Jyhane. Ne rappel plus jamais je n'ai rien à te dire.

Puis elle a raccroché.
Je voulais me bercé d'illusions, je ne faisais que ça mais là je ne pouvais plus. Son message était clair. Je n'ai plus de lien avec ma famille donc inutile de persisté. Il fallait que je tourne la page et que je m'habitue à vivre sans eux et à les oubliés. A partir de maintenant j'ai décidé de vivre ma vie, me faire des amis, donner une belle vie et un environnement joyeux à mon futur bébé et peut-être même trouver l'amour.

On était maintenant dimanche et je me suis réveillé à 8h pour faire le reste de la décoration pour la chambre de mon futur enfant. J'ai donc monté le berceau et l'armoire. Quand j'avais fin il était déjà le soir et j'avais faim donc j'ai commandé. A force de travaillé j'avais mal au ventre et au dos mais qui pouvait m'aidé?

Le lendemain au travaille j'avais encore très mal au dos. J'ai très mal dormi à cause des douleurs. Je suis aller aux toilettes pour faire une petite pause. Je gémissais de douleur et la fatigue n'aidait pas. Après m'être rincer le visage, j'ai percute quelqu'un en sortant des toilettes. Quand j'ai lever la tête je vis que c'était Mike le fils du patron.

Moi: Désolé, je ne vous avais pas vue.

Mike: Non ce n'ai rien. Ca va? Vous n'avez pas l'air en forme.

Le fiancé de ma soeurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant