⚠️ Chapitre 34 ⚠️

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- comment ça tu ne peux pas ? Je comprends pas...

Romane : Dam' je peux pas te pardonner, pas après... ça...

Dam': quoi ? Mais Romane je te jure que c'était une erreur, je t'aime Romane...

Romane : PUTAIN Dam', moi aussi je t'aime, plus que je n'ai jamais aimé quelqu'un, je t'aime plus que ma propre vie, mais le fait que tu es délibérément couché avec une autre femme que moi, c'est trop !

Dam': Romane, il faut que je fasse quoi pour te prouver que tu es la seule ?

Romane ne me répondit pas, elle se leva juste du canapé.

Romane : je ne sais pas Dam'...

Elle m'adressa un dernier regard et parti sans un bruit.

J'allais pas la laisser partir une nouvelle fois !

Je courais derrière elle, et la rattraper au coin de la rue.

- Romane pars pas s'il te plaît !

Ma main saisit son poignet si fin et la bouche se colla contre la sienne dans un baiser désespéré.

Romane : Damia...

Dam': je peux pas te perdre, t'es la seule chose qui donne du sens à la vie, je te jure que si tu pars je me relèverai pas !

Romane : laisse moi du temps Dam'...

Elle ferma les yeux et me repoussa doucement.

Dam': Romane, je t'aimerai toujours ne l'oublie pas !

Elle ne dit rien et rentra dans sa voiture. Je la regardais s'éloigner le regard vide.

Texto de Thomas à Dam':

Thomas : alors mec avec Romane ?

Dam': elle est partie...

Thomas : je suis désolé...

Dam': Thomas, dis aux autres que je les aimes...

Thomas : t'inquiètes pas !

Je rentrais à la maison, dépité. Finalement, ça servait à quoi que je leur dise tout ça puisque personne ne se soucie de ma peine ?

Ma Coraline m'a abandonné, encore une fois, et cette fois c'est pour de bon...

Tu sers à rien Dam', rejoins là, tu manquera à personne...

Dam': ta gueule putain !

La voix dans ma tête se faisait une joie de me rappeler à quel point je suis un minable.

T'as jamais compté pour eux, tu compte pour personne, même tes parents te trouve insignifiant....
Fais toi sauter la cervelle, crève, bouffe des médocs, mais disparaît de leur vie, tu les aideras....

Je montais les escaliers en pleurs. Peut-être qu'elle à raison, je devrais me foutre en l'air, je manquerai à personne de toute façon...

D'un geste j'attrapais une boite de médicaments, une bouteille de Whisky et m'affallais sur le canapé. L'odeur de Romane était imprégné dans le tissu gris anthracite.

Dam': elle t'aime plus de toute façon...

Je saisis une poignet des petits cachets rouge et les avalais à l'aide d'une gorgée de Whisky.

Dam': je t'aimerai toujours bébé, toujours...

- Monsieur vous m'entendez...

J'entrouvis les yeux mais les refermais aveuglé par la lumière blanche présente autour de moi.
Ma tête semblait enfermé dans un nuage de coton et mes membres étaient engourdis.

Solo vent'anni...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant