🍋 Chapitre 37 🍋

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Une semaine plus tard, dans l'avion :

Dam': il reste encore beaucoup d'heures de vol ?

Romane : six à peu près...

Dam': je m'ennuie Romy !

Romane : fais comme les autres, dors !

Depuis déjà quatre heures, mon cul était posé sur ce putain de siège et pendant que tout le monde dormais profondément, moi je m'emmerdais. En plus, Romane, qui était à côté de moi, était très, très, très désirable et ça rendait le voyage encore plus compliqué.

Dam': on pourrait faire un truc, tout les deux...

Romane : ah oui...et quoi ?

Sa voix sensuelle me fit comprendre qu'elle avait saisit le sens de mes propos.

Dam': je sais pas...toi, moi, les toilettes ?

Romane : pourquoi pas...

Dam': j'ai envie de toi depuis quatre heures...

Romane : t'es pas très convaincant...

Dam': ah ouais ?

Je rapprochais silencieusement ma main vers ses cuisses couvertes et embrassais tendrement sa mâchoire.

Romane : Dam' on est pas seul...

Dam': et alors, je croyais que t'aimais prendre des risques...

Ma main s'ancra à quelques centimètres de son entrejambe et ma langue décida de jouer avec le lobe de son oreille. Tout le monde dormait alors il n'y avait aucun risque.

Romane : si t'enlève ta main ou cours au toilette, ça te va ?

Dam': je sais pas encore, faut que je réfléchisse...

Mon autre main, resté sagement sur l'accoudoir vint se plaçer sur son sein droit, le palpant à travers le tissu fin de son débardeur.

Dam': ce que c'est mignon, tes tétons sont déjà durcit alors qu'on à rien fait !

Romane ne dit rien, mais soupira et dégagea habillement ma main de sa poitrine. Ses doigts se dirigèrent vers mon entrejambe, elle aussi très dure.

Romane : et bien alors Dami chéri, on est déjà dur alors qu'on à rien fait ?

Dam': tu sais très bien l'effet que tu me fais...

Romane : peut-être...

Sa bouche trouva mon cou et me titilla gentiment ce point si sensible de mon anatomie.

Dam': détache toi et suis moi !

Elle m'obéit et on se leva aussi silencieusement que possible en direction des toilettes. Enfin l'espace aussi petit qu'un placard à balais où les gens sont censé pissé ou chier. Perso ça allait nous servir à autre chose...

Romane : j'ai jamais fait ça bébé...

Dam': moi non plus !

Je rigolais doucement. En arrivant dans le cagibi, on y entra et fermait bien derrière nous.

Je ne tardais pas et plaquais Romane sur l'une des parois. Mes mains retirèrent son débardeur de suite tandis que ma bouche attrapa la sienne dans un baiser torride.

Son short en coton ainsi que son soutien-gorge finirent par terre pendant que ma bouche dévorait son cou.

Romane : Dam'...

Je plaquais une main contre sa bouche pour ne pas déranger tout l'avion. Elle me provoqua, léchant ma main du bout de la langue.

Dam': Romy commence pas...

Elle continua un regard moqueur dirigeais sur ma bosse.

Ma bouche ne tarda pas à se caler sur un de ses seins, la faisant gémir contre ma main.

Je pourrais vraiment passer ma vie à entendre ce son !

Romane : Vas plus vite !

Je lui obéis, conscient que le temps pressait. Je dégustais son autre sein assez rapidement. Mes mains se dirigèrent vers sa culotte mais elle me stoppa avant.

Romane : nan je veux d'abord que tu profites...

J'acquiesçais et la laissais me plaquer à mon tour contre la parois. Elle ne perdit pas de temps et fit glisser mon short en jean et mon caleçon jusqu'à mes chevilles, dévoilant mon érection grandissante.
Sa bouche descendit de suite vers l'objet tant convoité. Ses lèvres pulpeuses à peine posées sur ma queue et j'étais déjà au bord de l'orgasme. Une des meilleures sensations du monde s'était de sentir sa bouche chaude se formater à ma queue pulsante.

Dam': oh putain...

Sa langue glissa habilement de haut en bas, m'arrachant un râle assez mal contrôlé. Elle continua sa pipe, suçant avec plaisir la queue qui ne demandait que ça, et j'usais d'énormément de self control pour ne pas jouir dans sa belle bouche.

Dam': Romy je veux qu'on le fasse...

Romane : je te laisse beau brun...

Elle se releva et se colla contre le petit lavabo.

Dam': Capote ou pas ?

Romane : j'ai confiance en toi...

Dam': ouais... par précaution j'en met une, tu m'en voudras pas ?

Romane : nan t'as raison...

Je pris vite fait une capote dans ma poche et l'enfilais sur ma verge dure.
Une fois sûr que Romane était prête, je rentrais d'un coup sec en elle, couvrant de ma main les bruits qu'elle pourrait faire. Je n'avais jamais fait l'amour debout, et c'était franchement très agréable de sentir toute la chair de ma belle brune s'écarter pour m'accueillir. Je commençais des vas et viens assez rapide, par manque de temps, mais ça n'avait pas l'air de gêner Romane vu ses gémissements étouffés contre ma main. Ma queue disparaissait et ressortait de son intimité trempée à une vitesse inhabituelle pour nous, ce qui était très grisant, on va pas se mentir. Ses cuisses claquaient contre mon bassin, formant une sorte de fusion entre nos deux corps encore plus prononcé.

Romane : putain bébé continue...

Ma bouche mordilla son cou et ma main libre vint torturer un de ses tétons, lui provoquant une décharge électrique dans tout le corps. Ses muscles se crispaient et le plaisir n'était plus loin, ni pour elle, ni pour moi.

Romane : je vais venir...

Dam': moi aussi princesse...

J'accélerais mes coups de butoir, la faisant trembler de plaisir contre le lavabo. Chaque allers-retours étaient une étincelle qui allumait le feu présent dans nos deux corps.
Dans un ultime coup de rein, Romane se crispa sur la queue, et mordit ma main pour ne pas gémir. Ses jambes menacèrent de la lâcher et sa tête tomba sur mon torse couvert de sueur à travers mon t-shirt. Je vint dans la capote dans un râle étouffés. C'était l'une des plus intense et pourtant des plus courtes partie de jambe en l'air de ma vie.

Romane se rhabilla vite et fit pipi avec difficulté faut le reconnaître.

On sorti deux minutes après, rouge pivoine, complètement débraillé, les cheveux en vrac et une odeur de sexe imprégnés dans tout les pores de notre peau.

Romane : tu t'ennuies toujours ?

Dam': ça se pourrait...

Romane : n'essaye même pas, je suis claquée, si tu veux un truc, se sera un solitaire !

Je rigolais, l'embrassais chastement et la laissais dormir tranquille.

Tetxo de Léo à Dam':

Léo : la prochaine fois, évitez de faire profiter tout l'avion de votre folle escapade dans les toilettes, il y a des gens celib !

Dam': bâtard !

Solo vent'anni...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant