🍋 Chapitre 28 🍋

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Romane : Merci Dam', d'être toujours là, de ne pas en faire trop, de m'aimer comme je suis...

Dam': t'as pas à me remercier pour ça, c'est normal Romy...merci à toi...

Elle se colla contre mon torse, avançant les lèvres pour que je l'embrasse.

Notre baiser devint vite passionné et les mains de Romane s'avanturaient vers ma zone sensible.

Romane : J'ai envie de toi...

Dam': moi aussi mais on va le faire dans la chambre non ?

Romane : ouais...

Je la saisis comme une princesse et l'amenais dans ma chambre. A peine arrivé, Romane vira ses vêtements, se retrouvant en soutif et boxer en coton devant moi. Mon caleçon qui commençait à devenir serré me fit encore plus mal en la voyant dans une tenue aussi simple mais pourtant aussi désirable.

Dam': couche toi sur le lit je te rejoins !

Elle m'obéit et se coucha sur le matelas le regard brûlant de désir. Je virais ma chemise et mon jean sous les yeux attentif de ma belle brune.
Une fois prêt, je me dirigeais vers Romane et l'embrassais langoureusement. Mes mains caressèrent son corps fin, tandis que ma bouche se dirigeait vers son cou. Je suçotais la fine peau présente à cet endroit, faisant soupirer d'aise ma photographe. Mes dents mordillèrent son cou jusqu'à lui laisser une marque violacé.

Romane : Damia accélère...

Dam': non, je veux redécouvrir ton corps comme si c'était la dernière fois !

Mes mains saisissèrent l'attache de son soutien-gorge au même moment, le détachant délicatement. Deux boules de chairs me firent face, tétons pointés vers le ciel. Ils étaient si beaux, on aurait dit une poupée, sa peau bronzée et ses cheveux bruns emmêlés autour d'elle. Je l'admirais pendant quelques secondes avant de saisir un de ses mamelons si tentant.
Romane ronronna sous mes doigts, tandis que mon pouce redécouvrait ses points sensibles. La pression qui montait dans mon caleçon me fit souffler un coup avant de m'attaquer à son autre téton. Le souffle de ma belle amante se faisait irrégulier sous la douce torture que mes doigts lui infligeait.

Romane : Bébé j'en peux plus...

Dam': laisse moi te posséder comme personne ne l'as fait !

Elle soupirais de plaisir, faisant s'envoler mes dernières volontés. Je posais avidement mes lèvres sur ces petits bouts de peaux durcit par l'excitation. Ma langue dessina des motifs abstraits sur la poitrine si désirable de Romane, la faisant gémir faiblement. Son corps entier était un appel à la luxure et je pense ne pas mesurer entièrement la chance que j'ai de pouvoir le posséder l'espace de quelques minutes. Quand ma bouche eut fini de déguster les seins de ma brunette, je remontais vers sa bouche pour l'embrasser tendrement avant de continuer. Je parsemais le corps de Romy de petits baisers mouillé jusqu'à arriver au niveau de sa culotte. Je la voyais déjà trempe et je devais réunir toute ma volonté pour ne pas la prendre d'un coup. Mes mains attrapèrent les bordure du dernier bout de tissu couvrant Romane et le lui retirèrent doucement. Ma bouche se posa sur ses cuisses à présent découverte. J'embrassais doucement chaque parcelle de peau ambrée se trouvant devant moi, faisant gémir d'impatience la belle brune présente dans mon lit.

Romane : plus haut...

Je compris son envie et écartais ses cuisses. Son intimité trempe me faisait face, parfaite comme toujours. Mes doigts ne pouvaient résister devant cette œuvre d'art. Ils caressèrent doucement la partie sensible de Romane. Elle était si belle, son corps s'arquant sous mes caresses. Je voulais absolument immortaliser cette image dans ma tête, pour me souvenir de chaque détail. Mes mains écartèrent les lèvres de ma brunette et caressèrent son clitoris rosé par l'excitation. Ce qui fit gémir la principale concernée, ses mains s'agrippant aux draps. Mon pouce torture inlassablement son nerf, s'attirant des gémissent si bandant de la part de Romane. Je crois que je pourrais jouir dans mon caleçon rien qu'en entendant ce doux son. Au bout de cinq minutes, je ne pus me retenir et plongeais deux doigts dans le vagin de Romane. Elle se crispa et gémit bruyamment sous le coup de la douleur. On avait beau coucher ensemble depuis trois mois, elle était toujours aussi serrée et avait toujours aussi mal. Une fois détendu autour de mes doigts,je pus commencer mes mouvements, allant et venant en elle. Ses gémissements se transformaient peu à peu en cri de plaisir pour mon plus grand bonheur. Je ne pourrai pas dire qui était le plus heureux, elle qui prenait son pied grâce à moi ou moi qui avait la chance de lui donner du plaisir. Je continuais ma torture, mon pouce jouant avec son clitoris et mes doigts se mouvant de plus en plus vite en elle.

Romane : Dam'...encore...

La voix de Romane était à peine audible mais j'obéis à sa requête, continuent encore le plaisir de que je lui donnais avec mes doigts. D'un coup, son corps se crispa, ses mains s'attachèrent aux draps, son visage se révulsa sur le coussin, me faisant comprendre qu'elle avait un orgasme. Quand elle fut remise je cédais enfin à ma pulsion et posais mes lèvres sur son intimité bouillante. Ma langue goûta chaque parcelle de peau imbibé de son jus. Romane se tortillait sous mes coups de langue, me faisant encore plus bander. Ses mains trouvèrent refuge dans mes cheveux et sa voix se cassait contre les murs de la chambre à chacun de mes mouvements. Un cri plus fort que les autres sortit de sa gorge quand je décidais de suçoter son clitoris. C'était si bon de la sentir au bord de l'extase, entre le monde réel et le septième ciel. Romane semblait planer alors que mon visage dévorait ses cuisses chaude.

Romane : surtout... t'arrête pas bordel...

Je souris contre sa peau, fier de lui provoquer autant de plaisir. Au bout de dix minutes, je la sentais à bout, je décidais donc de combiner mes doigts à ma langue pour lui procurer un deuxième orgasme mille fois plus puissant que le premier. Mes mains aggripèrent la peau mate de Romane alors que ma langue zigzaguait dans son intimité.

Je n'eus pas le temps de faire beaucoup de mouvements, Romane jouit très vite contre moi, ses mains tirant mes cheveux, un cri sourd provonant de son ventre.

Romane : bébé je veux te sentir...

Je compris et me relevais le temps de virer mon caleçon et d'attraper une capote.

Romane : je veux le faire sans...

Dam': c'est trop risqué princesse !

Romane : je prends la pillule t'inquiètes !

Dam': Bébé je supporte pas le fait que tu te foute autant de truc nocif dans le corps pour pas avoir de gosse ! S'il faut que je mette un truc en latex sur ma queue pour pas prendre de risque et que tu évite de niquer ta santé je le ferais pendant dix ans !

Elle me sourit et me laissa mettre le préservatif. Je me recouchais sur elle, en prenant soin de ne pas l'écraser. Je l'embrassais doucement en plaçant mon gland au niveau de son entrée. Une fois sûr qu'elle était prête, je rentrais d'un coup de bassin en elle, la faisant gémir. Quand elle fut assez détendu je commençais mes vas-et-viens m'attirant des râles de plaisir de la part de mon amante. Une des meilleures sensations que je connaisse est d'être en elle, sentir sa chair s'écarter à chacun de mes passages est si... indescriptible !

Romane : Damia accélère !

Je lui obéis avec envie et accélérais mes coups de reins. Elle criait de plaisir et me donnait envie de venir à chaque instant. Nos corps formaient une sorte de fusion parfaite, un peu comme le ying et le yang. Je la sentais se rapprocher du plaisir ultime, je puisais donc dans mes dernières réserve pour la satisfaire. Son corps bougeait au rythme de mes accoups.

Romane : j'y suis...DAM-IANO...

Son souffle vrilla, ses mains aggripèrent mon cou et ses jambes encerclèrent mon bassin. Son troisième orgasme, encore plus fort que les précédents, la faisait trembler de plaisir. Je jouis dans la capote à bout de force. Jamais je n'avais autant lutter pour faire durer le plaisir charnel.
Quand Romane fut remise de la dose de plaisir qu'elle venait de prendre, elle partit aux toilettes et jeta le préservatif usagé.

Romane : c'était intense !

Dam': ouais je confirme... ça t'as pas dérangé ?

Romane : non, j'ai adoré, bien que j'aurai aimé te satisfaire moi aussi !

Dam': jouir pour moi me satisfait amplement t'inquiètes pas !

Elle me sourit, m'embrassa tendrement et s'endormit contre mon torse nu.  

Solo vent'anni...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant