Pendant que Fabienne s'interrogeait sur sa découverte, que Sophie-Charlotte s'activait au telephone et que les autres étaient sur les routes et pour une d'entre elle dans les embouteillages, un van noir avalait les kilomètres depuis un moment. Il séloignait inexorablement de bruxelles.
A son bord, Catherine était désesperée et terrorisée, car elle était tournée vers l'arrière et ne voyait personne. Elle savait d'instinct et par logique qu'il y avait au moins une personne puisque le vehicule était en mouvement. Avait entendu parler donc il y avait une deuxieme personne au moins et peut-etre une troisieme. Mais on l'ignorait, personne n'avait deigner lui parler ou s'occuper d'elle. Elle était laissée à son sort. Elle se demandait si plus tard elle ne regreterait pas cette état de fait, quand ils cesseraient de l'ignorer. Car elle commencait à penser voir à être certaine que ces personnes n'était pas étrangère a ce qui était arrivé à ses amies.
Elle essaya de se débattre, se tortiller, pousser avec ses pieds pour essayer de tirer sur les sangles. c'est à ce moment la qu'elle remarqua qu'elle était pieds nus. Cela rajouta à son stress extreme. Elle n'était jammais pieds nus, même, chez elle. Elle détestait tout ce qui pouvait toucher ses pieds. Elle était abominablement chatouilleuse et préferait prendre le mal à la racine en évitant tout ce qui pouvait approcher et entrer en contact avec ses pieds.
Pendant que Catherine remarquait l'absence de ses chaussures, d'autres s'interrogeaient sur leur découverte. Fabienne était en train de s'interroger sur cette chaussure qui l'a presque fait tomber dans les escalier quand elle reçu l'appel de Ana sur son télephone portable. Elle profita pour glisser un mot de la découverte acrobatique sur son perron.
La mention de la découverte de cette chaussure fit faire un bond à Ana, son cerveau mis en connection la chaussure et les autres éléments déja connus. Elle n'en nétait pas sure et n'avait aucun élément pour conforter son impression, mais elle avait une extremement désagreable hyphotèse. Elle avait très envie de voir cette chaussure et demanda à MArie-helene de changer de direction immédiatement.
Comme par une intuition ou plutot curiosité, Ana téléphona à Catherine. Bien sur, elle ne put répondre, son téléphone portable était dans la cuisine sur sa base de recharge installé à proxiimité du plan de travail... Mais elle, elle était malheureusement bien loin de là.
Dans le van, Catherine se rendit compte que dans le fond elle préférait quand on l'ignorait. Cela faisait quelques minutes que un des inconnus était passé à l'arrière et la regardait avec un regard insondable et inquiétant.
Elle avait envie de hurler!! De leur demander ce qu'on lui voulait. Pourquoi s'en prendre elle? Qu'avait t'elle fait? Ses réflexions furent interrompues par le ralentissement du van, ils quittaient l'autoroute. Cinq minutes plus tard le van s'arrêtait dans garage. On la détachât et linstalla de force sur un fauteuil roulant avec des sangles. Ils ignoraient cordialement ses protestations et hurlements étouffés par son Baillon.
Pendant ce temps, Marie-helene et Ana arrivent enfin chez Fabienne. En un instant Ana et Marie-helene reconnaissent les chaussures que portaient Catherine au moment de leur visite un peu plus tôt dans la journée. L'inquiétude est partagées par les trois occupantes du salon. Fabienne est arrivé aux mêmes conclusions qu'Ana... Catherine s'est faites enlevée juste après leur passage.
De son côté Catherine partageait leur inquiétude et au premier plan. Elle se retrouvait attachée sur un lourd fauteuil dans une pièce presque vide. Les conditions de sa captivité étaient paradoxales. Les kidnappeurs étaient distants avec elle mais pas violents. Le fauteuil était un instrument de captivité mais confortable. Ils l'avaient kidnappé mais prenaient soin d'elle. Le fauteuil était terminé par une sorte de carcan pour bloquer ses jambes et ses pieds. Et ses avant bras étaient solidement entravés aux accoudoirs.
Elle ne savait pas quoi penser de cette situation quasi désespérée. Elle était intriguée. Sa curiosité était la bienvenue car elle lui faisait diminuer sa peur. Elle se posait des questions pour oublier qu'elle était terrorisée. Elle se demandait ce qu'était tout l'équipement qui était dans cette piece. Pourquoi était elle dans un fauteuil. Si ce carcan était un instrument dépoque. Ses ravisseurs étaient tils des collectionneurs?
Sophie-charlotte de son côté avait réussi à joindre une personne proche d'une victime qui se disait enqueter a titre personnel. Après avoir prevenu les autres de sa trouvaille et malgré leur souhait dy aller plus tard et à plusieurs elle decida de passer outre les instructions de Anne. Elle recontacta cette personne et lui fixa rendez-vous. Elle aussi voulait agir et non rester à lagence comme une secretaire. La personne acceptait de la rencontrer tout de suite et en plus, elle se déplacerait elle-même pour venir lui parler.
De leurs côtés Marie-helene, Ana et Fabienne qui se retrouvait intégrée à l'équipe bien malgré elle, se dirigeaient vers la maison de Catherine pour vérifier leur crainte.
Pendant ce temps Catherine vérifiait leurs hypothèses en personne. Une personne se décidait enfin a lui parler. Et ce n'était pas forcément pour lui annoncer de bonnes nouvelles.
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Brelan de Dames 1: Le Club du rire *Old Version
Mystery / ThrillerVoici ma première histoire. Je débute dans l'écriture et j'espère que vous serez indulgent. J'améliore ce récit de manière constante. Donc si vous avez apprécié mais que vous avez des remarques constructives ou des suggestions je vous en remercie d'...