Chapitre 13: Rire sérieusement

94 1 0
                                    

Totalement impuissante Catherine assista au préparatifs de sa propre séance de torture. On installa un petit carcan au bout de la table. On lui attacha les orteils de manière à tendre ses plantes de pieds. Elle essaya de se débattre mais c'était inutile. On lui ota son baillon.

- Arretez s'il vous plait!! Parlez moi!! Dites moi ce que vous voulez!! posez moi des questions. Je veux coopérer. Je vais coopérer!!!

D'un coup, elle senti quelque chose de froid sur ses pieds, elle ne comprenait pas pourquoi, mais ils versaient de la crème sur ses pieds. Puis ils reculèrent pour laisser le ''client'' s'amuser.

- Vous voulez que l'on parle?

- oui!!! Parlons!!!

- Mais de quoi voulez vous parler?

- Mais dites moi ce que vous voulez de moi!! Pourquoi vous voulez me faire du mal? Que puis je faire pour que vous me libériez?

- Hum. Ce que je veux de vous?

- Oui oui? dites moi!!

- Le soucis c'est que j'ai déja tout ce que je pourrais vous demander. Vous êtes disponibles sur un table. Prête à partciper à nos petits jeux. Mais je vais pas vous faire de mal.

- Vous n'allez rien me faire? Rassurez moi c'est vrai?

- Rien vous faire? On s'est mal compris. JE ne vais rien vous faire de mal. Et vous seez liberée. Mais je ne vais pas rien vous faire. JE vais vous chatouiller consciensieusement.

- NOOON!! Pitié je suis trop chatouilleuse. Je suis abominablement chatouilleulse.

- Je le sais. Je suis la pour cela. Je vous ai demandé pour cela. Et d'ailleurs je vais même vous confier une information capitale.

- QOui De quoi parlez vous? Une information?

- Vous voyez cette valisette? Il y a de l'huile et une brosse.

- Oui.... Et pourqui vous me dites cela?

- Parceque c'est des instruments qu'on utilise sur des personnes beaucoup moins chatouilleuse que vous. Cette huile rend la peau lisse et douce et surtout glissantes. Cela évite que la peau ne soit griffée. Surtout cela rend la peau plus sensible. Même si vous en avait pas besoin. Et cette brosse est un instrument redoutable. Et surtout je vais utiliser cela sur vos pieds. Je vais vous chatouiller comme on ne vous a jammais chatouillé auparavant.

- NOOOON! pitié!! s'il vous plait.

Il déballa son matériel, pris une sorte de brosse et se mit au "travail''.

Il commença à frotter tout doucement puis un peu plus vite et méthodiquement la plante des pieds. Catherine fut surprise et prise de panique. Elle fut totalement submergée par cette sensation absolument insupportable.

- BHOUUU MMPPFFFF

Elle hurlait dans son bâillon. Se tortillait, se cabrait littéralement dans ses liens. Le supplice était absolument insupportable.

- HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!!!! WHOUAHHHHH!!! WHOUAHAHAHAHAAHAHAHAHAAHAHAHAAH!!!!!!!

De son côté Sophie charlotte n'entendait que des bruits indistincts, De mouvement de chaises, de portes, des brouhaha légers et inaudibles. On devinait la présence de personnes dans les pièces toutes proches mais rien qui ne puisse lui donner des informations sur ce qui s'y passait. Elle devait attendre en ayant l'espoir d'être libérée s'il tenait parole.

Mais d'un coup !! Un vrai hurlement !! Suivi d'un éclat de rire qui la fit sursauter. Elle était perplexe. Cela fut suivit d'un grand silence. Puis des supplications et quelques appels à l'aide. Et cela repartit vers des hurlement de rire litéralement Mais cela cessa assez vite et fut suivi d'un échange verbal. Mais toujours assez difficile à suivre à distance.

- WHIIIHHIHIHIHIHIHIHIHIHIHIHHIHI!!!!!!!!!!!!.

Catherine essayait d'argumenter, elle n'en pouvait plus, il fallait que cela cesse. Elle était totalement désespérée. Elle eut un espoir car à un moment cela s'arreta pendant quelques minutes. Ils discutaient entre eux. Mais cela ne fut que de courte durée car ils se replaceerent.

- Je vous en supplie, stop, cessez cela. Dites-moi ce que vous voulez, je vais faire tout ce que vous voulez.

- Vous savez ce que je veux, je vous l'ai expliqué. Je veux vous voir hurler de rire.

- Non s'il vous plait. Arretez. Allez pitié... BOUHHHHHHAAAAAHHHH HAHAHAHAAHAHAHAHAAHAHAHAHAAHAHAHA


Cette fois sans prévenir les assistants se sont joints à la fêtes en attaquant de manière totalement surprenante et aléatoire différents endroit du corps de Catherine. Les jambes, la taille, les cotes, les aisselles, le cou, pendant que bien sur le travail continuait sur ses platnes de pieds.

Ils ne lui laissaient aucun répis.

Dans sa céllule, sophie-Charlotte ne comprenait rien à ce qui se passait. Comment pouvait t'on pousser quelqu'un à hurler de rire de la sorte.Qui était dans la pièce à coté et que lui faisait t'on?

- Mais que lui faites-vous??

Sophie-charlotte se surpris à intervenir sans réfléchir. Elle ne pouvait pas laisser les gens torturer une inconnue. Même si elle ne savait pas pourquoi elle réagit aussi imprudement.

- Qui êtes vous? Que voulez vous? Que faites vous à cette personne??? MAis répondez!!!

Dans la pièce d'a coté, le supplice s'arreta aussi brutalement qu'il avait commencé. Cela tombait bien car Catherine n'en pouvait plus. Elle était à bout de souffle, rouge écarlate et luisante de transpiration. Elle begayait des protestations, remerciements pour la fin du supplice, des supplication pour que on arrete cela et qu'on la libère.

Mais Le plus choquant fut que le ''client'' rangeait'' ses affaires en silence en ne s'occupant plus d'elle. Il ne lui répondait plus et sortait de la pièce en serrant des mains et remerciant ses hôtes. Tout le monde sortait sauf l'inconnu et une autre personne qui s'occupait du matériel.

-Je vous en supplie, je vous ai tout raconté, je suis désolée d'avoir causé de l'embarras mais pitié stop.

Elle était au bord des larmes.

- Ma chère Catherine, tout d'abord bravo pour votre prestation, mon client était ravi. Il vous reste une dernière chose à faire après cela je vais vous libérer. Aimez-vous les chats?

-Les chats que voulez-vous dire? Hee héhéhé que se passe-t-il?

Pendant qu'ils parlaient l'assistant de son hôte avait commencé à lui laver les pieds.

- Voila votre dernière mission. Notre client désire une vidéo un peu particulière. Nous allons vous laisser en présence de ces chats que mon amie va amener dans quelques minutes. Ils vont vous lécher les pieds pendant que la caméra filmera. Il a commandé cela comme film.

- Non non non pas ca!!!

Dans sa cellule, Sophie Charlotte ne savait plus quoi penser, que se passait -il? comment aider cette personne, était ce Catherine?

Que lui faisait 'on pour qu'elle crie et rit comme cela?

Pendant que Catherine criait et suppliait de pas faire cela, le travail se poursuivait imperturbablement. Au contraire ses protestations avaient l'air de les encourager. Elle vit arriver la boite avec les chats. Un des assistants versa un liquide à l'odeur peu agréable sur ses pieds puis sortit en ouvrant la porte de la cage.

Elle était seule avec la camera allumée et les chats...

Brelan de Dames 1: Le Club du rire *Old VersionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant