Fabienne et ses deux nouvelles amies furent rejointes par Anne au bureau de police. Elle expliqua la situation et voulu deposer une plainte. Expliqua l'urgence et la gravité de la situation. Elle ne fut pas prise au sérieux. Il faut avouer que les faits ne plaident pas en sa faveur pour être prise au sérieux.
Dans un geste d'apaisement le policier en faction lui proposa de revenir demain matin si catherine ne donne aucune nouvelle d'elle d'ici la.
De son côté Catherine venait d'apprendre la raison de sa présence en cet endroit sinistre. La personne devant elle. Ne se presenta pas vraiment même si il était charmeur et courtois. Il declara qu'elle pouvait l'appeler « monsieur », et qu'elle était son invité. Et surtout qu'elle ne devait pas s'inquiéter, elle serait libérée une fois qu'ils aurait dissipé un malentendu.
-mais de quel malentendu voulez vous parler? Je ne vous connais même pas.
-ho mais si on se connais!! De manière indirecte peut-être mais nous ne sommes pas inconnu.
- mais de quoi parlez-vous ? Que me voulez-vous ?
- Je vais vous expliquer cela calmement. Nous avons une petite affaire qui est assez lucrative et qui repose essentiellement sur la discrétion. Malheureusement certaines personnes dont vous faites partie ont failli volontairement ou pas mettre cela en péril. Commencez-vous à mieux comprendre votre présence ici?
- Cest vous qui kidnappez les gens? Qu'allez-vous faire de moi? Pitié je vais me taire je vais rien dire!! Laissez moi partir!!
- On ne kidnappe pas vraiment leq gens. Cest une vision vulgaire de voir les choses. Disons que nous empruntons un peu du temps de certaines personnes. Nous ne sommes pas des barbares. Quant à vous, il faut bien comprendre que vous nous avez causé du tracas. Nous avons du mobiliser du personnel et des moyens pour faire taire le bruit que vous avez causé, vous surveiller, décourager ceux que vous auriez pu convaincre. Tout cela a un prix.
- Je ne vais plus rien dire, je vais disparaître et ne plus faire de bruit!! Ne me tuez pas!!
- Vous tuez?? Mais pour qui nous prenez-vous? Non nous ne tuons pas. Pour plusieurs raisons.Déjà je ne suis pas ce genre de personnes. Ensuite souvent cela cause plus de soucis que cela en resoud. De plus comme je vous ai dit la tout de suite vous m'avez causé du soucis et des frais. Donc j'attends un retour de votre part. Et pour finir jai des questions à vous poser.
- mais je nai pas d'argent!! Que voulez-vous que je vous donne? Quelles questions avez vous? Je ne sais rien. Vous m'en avez dit plus en cinq min qu'en plusieurs mois d'enquête.
-êtes-vous chatouilleuse Catherine ?
- quoi?! Heu oui un peu pourquoi ? Que voulez vous? Je vous l'ai dit je n'ai pas d'argent!! Je ne sais rien sur vous. J'ai appris plus maintenant qu'on n'en savait avant.
- vous vouliez savoir ce que l'on faisait ici? On chatouille. Des gens assez riches payent très cher pour chatouiller. Voila notre business. Et voilà comment vous allez nous rembourser. Je n'ai pas besoin d'argent de votre part. Vous êtes plutot mignonne et charmante. Et vous avez de jolis pieds bien soignés. Voila comment vous allez me rembourser.
Je dois momentanément vous laisser malheureusement mais ne vous en faites pas je vais revenir moccuper de vous. Vous préparer pour la suite.
Catherine en eu le souffle coupé d'incrédulité et de stupeur. Elle ne pu rien dire pour protester ou même repondre...Mais oui elle était chatouilleuse des pieds, elle avait horreur de cela depuis toujours. Depuis qu'elle est enfant, cela est son point faible, voir son fardeau. Ses cousins et cousines s'en sont assez régalé. Que ce soit aux pieds ou sous les bras voir les cotes. Elle est une cible en or pour toutes les tracasseries chatouilleuses. Elle ne supporte pas les chatouilles... dans quel cauchemar elle s'était réveillé?
Sophie-charlotte était nerveuse mais assez fière d'elle, elle allait enfin prouver qu'elle avait sa place autrement que pour de l'administratif ou de l'intendance. Elle désobéissait à Anne mais c'était pour la bonne cause et pour faire avancer les choses. Elle avait trouvé une personne qui avait des choses à lui raconterr qui pouvait faire avancer l'enquête. Elle n'aurait qu'à dire qu'il s'était présenté à l'agence de lui même. Elle entendit la sonnette, il était là. Elle ouvrit au parlophone et demarra la machine à café. Verifia le bureau ou elle comptait le recevoir, tout était parfait. Elle se regarda dans le miroir du couloir, elle se trouva acceptable, y a mieux mais prise par surprise on ferait avec.
Après deux ou trois minutes d'attente à son étage, elle se demanda si son visiteur n'était pas égaré dans l'immeuble.
Après quelques hésitations elle décida d'aller le chercher à l'entrée. Elle pris l'ascenseur et arriva dans l'entrée. A cette heure le batiment était désert. Les occupants de l'immeuble étant principalement des startups et des petites structures ayant besoin dune simple représentation et adresse physique mais travaillant à distance et souvent sur les routes. Même la journée il ny a jammais grand monde. Son visiteur pouvait s'égarer un moment, il n'y aurait personne pour le renseinger dans l'immeuble.
Elle arriva à l'entrée de l'immeuble. Un hall propre et impersonnel comme dans beaucoup d'immeubles professionnels. Propre, simple,efficace et neutre pour convenir à tout type de locataires. Mais selon elle cela manquait de présence et de chaleur. Mais c'était son avis. En regardant sur le parking elle vit un homme séloigner en direction d'une voiture. Elle ouvrit la porte sans réfléchir, et se dirigea vers lui en l'appelant. Il ne l'entendait apparement pas. Elle couru vers le parking et soudain elle trebucha, comme si sa jambe avait heurté quelque chose. En tombant elle vu une autre personne et compris instantanément mais trop tard. Cétait un piège d'une simplicité presque insultante. On l'avait attiré dehors et elle s'était faite avoir comme une enfant. Elle voulu se relever et fuir vers l'immeuble mais trop tard avant qu'elle n'en ai le temps on la plaquait au sol et l'autre inconnu lui colla un chiffon imbibé de chlorophorme sur le visage. Elle ne se débattit que le temps de comprendre la gravité de la situation. elle était kidnappée et personne n'était la pour le voir.
L'équipe Alpha venait de faire aussi bien que son homologue, avec Catherine. En effet, après l'opération chez Catherine, l'organisation pour laquelle ils travaillaient avait tendu l'oreille et remarqué qu'au lieu de calmer les choses cela avait reveillé encore plus les tensions. Les enquêtrices ne se laissaient pas intimidées. Elles cherchaient Catherine. Alors donc, elles avaient besoin d'un bon coup de semonce pour les frefroidir.
Elles voulaient savoir ce qui se passait, leur collegues pourraient leur faire un rapport complet dans une semaine ou deux.
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Brelan de Dames 1: Le Club du rire *Old Version
Mystery / ThrillerVoici ma première histoire. Je débute dans l'écriture et j'espère que vous serez indulgent. J'améliore ce récit de manière constante. Donc si vous avez apprécié mais que vous avez des remarques constructives ou des suggestions je vous en remercie d'...