Voilà maintenant presqu'un mois que je suis au lycée et j'ai ma bande: Jena, Charlotte; Chirine et moi.
Charlotte ? Alors c'est la shab du pelo de Jena, au premier abord super sympa et sincère.
Chirine ? Une fille super gentil que j'apprécie énormément, posé, calme et sérieuse.A cause des séries américaine et tout ce qui s'en suit, je voulais trop avoir une bande du style, où zehma y'a de la mixité...: Un gay, une hijèbeuz, des pelos en mode "thug" et des meufs normales, avec la grosse de service et la 3ègouna qui ne fait pas exprêt de ne rien comprendre... HORS pour le coup on était simplement 4 filles. 4 filles qui ésperions juste au fil du temps nourir la team avec les éléments que je vous ai cité.
A toute les récréations, on sortait devant le portail vu que Charlotte fumait, sauf qu'à toute les pauses, un pelo chabait toujours de la même façon et avec la même intensité du regard Jena.
Charlotte: Il arrête pas de te chabé lui, il a un soucis
Moi: Mdr il est mignon, mais un peu petit de taille
Jena: J'ai déjà Ali n'oubliez pas j'm'en pète un rein qu'il me chabe ou pas
Sauf qu'une semaine plus tard, ils se retrouvaient à faire la route ensemble, le matin, à midi et le soir....
Chirine: Oh Hiba, j'comprend pas, Jena elle est avec Ali ou Samir ?
Moi: Mdr avec Ali mais elle parle avec Samir
Chirine: T'appelles sa comment toi ?
Moi: Mdr bah j'sais pas
Chirine: Bon ma tunarde travaillons
Leu relation n'était pas clair, il est vrai.
Ali faisait parti d'une bande de pelos, au lycée on ne voyait qu'eux, d'une part parce qu'ils était nombreux, qu'ils se déplacaient toujours en équipe, et d'autre part qu'ils étaient tous en Terminal STMG.
Figurez-vous que dans leur bande, un m'avait tappé dans l'oeil: je voyais en lui un homme, un homme avec une tête de bébé.
Son physique ? Il était blanc de peau avec les yeux globuleux et noisette, pétillant lorsqu'il souriait sincèrement et qu'il était à la lumière. Son sourire me faisait rappeller à celui d'un bébé, un bébé tout mignon qu'on a envie de protégé, mais qui à la fin nous protègera.Il était brun et assez bouboul. Pas de barbe de trois jours, rien de tout sa, juste un charme qui m'avait attiré, un charme qui ne m'avait pas laissé indifférente je dois le reconnaître.
Un jour, pendant la récréation, on le voit s'approcher de nous, et dit à Jena:
Lui: Samir il t'appel il veut te parler
Jena: Il veut me parler il vient tout seul, il a pas besoin de t'envoyer..
A ce moment-là il lâche un sourire juste comme je vous l'ai décrit... Mignon, chaleureux et sincère...
Le temps passe, et Jena continue de parler avec Samir.
Un vendredi soir je reçois un message de Jena:
Jena: Dis-moi sa t'intéresserai de sortir avec Sofiene (le bouboul aux yeux noisettes)
Moi: QUOI ?! Mais t'as collé (t'as viré) toi !
Jena: Mèhlish si tu veux pas, c'est Samir qui m'a dit qu'il te voyait bien avec lui
Moi: Ouai bah non
Jena: De toute façon Samir m'a dis qu'apparemment il ne sait pas qui t'es
Qu'on se le dise: JE LE TROUVAIT CHER MIGNON ! Mais j'allais quand même pas faire la fille facile et me jetter dans ses bras. Alors je me suis tout de suite braqué. J'aurai peut-être pas dût... De plus il ne voyait pas qui j'étais... Sah sa m'a vexé quand même mdr
Durant ce week-end là, j'en avais parlé à ma cousine et une de mes meilleurs shab de l'époque: SARRA.
Elle m'a clairement dit de ne pas me faire de film et de ne pas aller trop vite...
Sauf que voilà je ne l'ai pas écouté...
Lundi j'arrivais en cours en mode "BG", juste pour ses beaux yeux, je n'étais pas amoureuse de lui, je voulais juste qu'il me regarde, qu'il sache que j'existe et qu'il me trouve belle. Et franchement je ne suis pas du tout bien foutue ou quoi qu'se soit, je suis ronde, imposante et grande alors voilà quoi... Mais comme toute femme j'ai des atouts..
A la récré ce jour-là, je ne l'ai pas trouvé, donc je n'ai pas pus l'observé, en revanche, quand je suis aller en cour juste après, madiane, un pelo de ma classe m'a dit:
Lui: Oh Hiba qu'est s'qu'il a Sofiène il te chabais comme Samir il chab Jena ?
Autant vous dire qu'à ce moment-là, j'ai vu des fleurs autour de moi, juste contente de savoir qu'il a posé ses yeux pétillant sur moi...
Entre midi et deux, Jena me dis qu'il ne voit toujours pas qui je suis.... Comment vous dire que j'ai trikar à 10 000 que c'était du foutage de gueule ? Alors je n'ai pas calculé....
Le soir, en sortant du lycée devant le portail, Sofiène part voir Jena, et elle m'explique par la suite, qu'il fallait que les "gens du lycée" arrête de m'inventer des vies avec lui... MAIS MESKINE ! C'est lui le myto en plus, il me regarde, il voit qui je suis ensuite il n'assume pas par la suite !
Le lendemain, je suis reparti en cours, déterminé à oublier cette histoire, mais les péripéties qui m'attendaient étaient bien trop lourde pour mes épaules... Je n'avais aucune idée de ce que j'allais vivre durant cette année et j'allais bientôt le comprendre, et ressentir des douleurs sentimental que je n'aurai jamais cru connaître un jour.
A la pause, ce jour-là, Sofiène était juste en face de moi, et oui les filles... Je l'ai cramée en train de me regarder à plusieurs reprises, et je n'étais pas parano
Moi (chuchotant à Chirine): Regarde si il me chab
Chrine: HAN HIBA IL TE CHABE
Moi: Mais tg ! Discrètion tu connais ?
Charlotte: de quoi ?
Moi: Rien !
Jena: Oh Hiba, Sofiène il te chabe
A partir de ce moment précis, des cette phrase précise et de ce jour précis, ma principal raison de me rendre au lycée sera Sofiène.
Par ce simple regard, il venait de réveillé en moi des sentiments encore jamais ressentit pour un homme ou un garçon.
VOUS LISEZ
Coeur meurtri et brisé : la souffrance ma destinée
Fiction généraleCeci n'est pas mon histoire.