6. si jamais j'oublie

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j'ai un cahier ou je note des projets, des idées et ou j'ai écrit l'histoire pour Élodie et Loris, là je note simplement que je ne dois pas en vouloir à tout les humains mais seulement à partir d'un certain âge car les autres se croient juste encore en prison...

Je décroche du cahier l'histoire et je la pose sur le lit, j'écris un mots pour remercier Clémentine car sans elle je serai chez mes parents ou morte de faim et de froid, je fais mon sac et je descends les escaliers en courants je passe devant Nino qui est assis sur le canapé et je cours dehors,j'entends Nino m'appeler mais je ne lui répond pas, je retourne à l'arrêt de bus et je regarde les horaires comme le prochain et dans vingts minutes je pars à pieds pour éviter qu'on me rattrape, je marche vite et j'arrive en 30 minutes seulement à l'arrêt d'après ou cette fois j'attends à l'abri. Le bus arrive et je monte en me disant que cette fois je ne peux plus faire marche arrière, je suis seul et le resterai et en cas de besoin demander plutôt à des jeunes.

Je m'assaie coté fenêtre et je regarde la route passé, je fini pars m'endormir, je suis réveillé au terminus par le conducteur et je ressort sous la pluie. Je cherche un endroit pour dormir se soir et je trouve un collège encore ouvert, j'entre et je me cache dans les toilettes en attendant que les derniers profs et concierge sans aille pour ressortir, je mange le sandwich que je m'était préparé pour aller prendre des photos puis je me couche.

< Un oiseaux géant, un corbeaux coloré plus précisément, se penche vers moi et me demande pourquoi je préfère être libre et avoir faim plutôt que moins libre mais avec une famille et à manger et je ne sais pas quoi lui répondre alors il m'attrape pars les cheveux et me jette sur son dos et on s'envole haut très haut dans le ciel, jusqu'à ce que personne ne puisse nous voire a l'œil nu > et je me réveille...

Finalement j'avais peut être un peu de fièvre, peu importe maintenant sa va mieux, je sors alors que la première sonnerie de la journée résonne dans les couloirs et que les élèves entre en rigolant

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Finalement j'avais peut être un peu de fièvre, peu importe maintenant sa va mieux, je sors alors que la première sonnerie de la journée résonne dans les couloirs et que les élèves entre en rigolant.

Je ne fais pas de tague dans ce collège ni plus dans quoique se soit qui y ressemble pour ne pas risquer de me refaire attraper en plein délits car cette fois je ne vois pas qui me sauverai la mise, j'allume mon tèl et remarque 15 appels manqué de Clémentine et 34 messages, je les lis, en résumé, elle est inquiète puis furieuse et au final inquiète et résigné mais m'assure que je peux revenir maintenant ou un autre jour en cas de besoin et me promets qu'elle lira mon histoire a ses enfants, C'est à ce moment là que je me souviens que je porte l'un de ces T-shirt et que j'ai pris l'appareil photo de Nino, alors je lui écrit pour lui expliqué les raisons de mon départ, lui demande si je peux garder le T-shirt ou si je devrai lui l'envoyé en même temps que l'appareil photo, elle me répond que les deux je peux les garder si je lui envoie un message pour Noël, j'accepte, et je commence déjà à en écrire un brouilllon dans mon cahier.

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