De soumis à partenaire [en cours]

Vie De Couple

Depuis ce moment 3 ans sont passés et nous avons franchis plusieurs étapes dans la vie d'un couple dont des hauts et des bas.

Après cette nuit de folie j'avais pris toutes mes dispositions pour que Nathan ne revienne plus jamais dans ma vie, dans notre vie. Toutefois ce qu'on redoutaient le plus été de le dire à nos parents respectifs tout en évitant les détailles du pourquoi et du comment nous avions vraiment procéder.
Donc pour annoncer cette nouvelle, comme nos familles ce connaissaient depuis notre amitié, nous avions juste attendus quelques mois où mes parents avaient invité ceux de Gaby. Bon je savais que ma mère et mon père n'allaient vraiment rien dire. Vous vous demanderais pourquoi, eh bien depuis que je fréquentais Gaby avant même que notre relation charnel commence, ils insistaient ou faisaient des sous entendus comme quoi il me conviendrait bien, ou mon père qui me disait "je le vois déjà comme mon gendre", vous savez l'humour des parents.
Le problème allait être les parents de Gaby car non pas que notre officialisation va être un problème mais c'est plutôt le fait qu'ils vont se disputé alors que leur fils leur annonce qu'il a trouvé la femme de sa vie, ce qui risque de peiner tout le monde. Car comme vous le savez les parents de Gaby sont au bords du divorce et ça ne ce passe pas bien du tout.

Bref nous étions arrivé au jour J. Tout le monde était à table, on entendait les mouches voler du côté des parents de Gaby malheureusement . Je prit la parole en me levant pour me poster au bout de table, Gaby me rejoins aussi vite.

E: alors on doit vous dire quelque chose...
Je n'eu pas le temps d'arrêter ma pause que.
G: on sort ensemble

J'étais stupéfaite, mais il eu un moment de choque des 2 côtés parentaux. Mais des cris de joix de nos mères ont arrêté ce silence pour venir nous enlacer et nous féliciter. Pareil pour nos pères un peu plus sur la retenus.

Après cette étape nous avions décidé d'emménager ensemble sur Bordeaux près des endroits enfin des écoles où nous étudions. Lui était dans du design moto, automobile pour devenir une sorte d'ingénieur pour de grande marque comme ferarri, pagani, porche... Et moi j'étudiais la médecine chirurgicale. Nous ne passions pas beaucoup de temps ensemble certes mais chaque secondes où nous nous voyons été passionnées, tendre et précieuse.

Nous avions choisi sur bordeaux une sorte d'appartement loft très élégant et chaleureux à l'interieur mais avec une façade très authentique à l'extérieur. D'où le faite que nous étions tombé sous son charme. Nous avions 2 chambres 2 salles de bains à l'italienne donc une avec baignoire, une superbe cuisine américaine rattacher directement à un salon très cosy ainsi que deux autres salles ou nous allions sûrement y installer nos bureaux.

Vous vous en doutez nous voulions fêter notre première nuit dans notre chez nous de manière mémorable. Nous nous sommes retrouvé le soir même en tête à tête avec un dîner préparé par mes soins, une lumière tamisé, des regards qui ne trompe pas sur nos désirs et enfin une robe très légère pour moi ainsi qu'une tenu chic décontracté pour lui avec la chemise déjà bien déboutonnée .

Gaby me regardait comme si il allait me dévoré en me prenant doucement la main, pour la carresser. Ensuite il l'amena jusqu'à sa joue pour qu'il sente la chaleur de ma peau contre son visage. De mon côté mes pieds qui étaient dans de sublime escarpins commençait lentement à remonter le long de sa jambe gauche, pour atterrir sur son entrejambe. Il me régardait comme pour me mettre en garde. Je voyais que l'homme qu'il était allait cédé à ces pulsions et c'est que je voulais ce soir. Je commençais donc à masser doucement cet endroit que durcissait à vue d'œil tout en le regardant avec malice et envie, toujours en le caressant tendrement le visage.
Tout à-coup il prit subitement mon pied pour tout arrêter il se levat m'invitant à faire de même. Alors il me soulevat, par réflexe j'enroulais mes jambes autour de ces hanches. Je voulais l'embrasser mais il me fit comprendre que ce soir c'était lui et entièrement lui qui serait aux commandes.
Il me déposat sur l'îlot de travaille pour ensuite me frôler le visage, le cou, les seins pour s'arrêter dans le creux de mes hanches ou se trouvait le moyen d'enlever cette robe. Il allait doucement et il savait que ça m'énervait.

Il enlevat ma robe pour dévoiler une lingerie assez simple mais révélatrice. J'avais opter pour cette occasion une soutien gorge vert satiné et un bas de la même couleur mais en string. Soudain il s'éloignat de moi comme pour me comtempler, bien sûr pour jouer le jeux je devais m'asseoir correctement. Delà je me redressais, j'ecartais les jambes tout en me cambrant légèrement. Puis je le regardais, il ne put s'empêcher de sourir et de venir m'embrasser.

Toute la durée de la nuit qui s'en suivait tous nos vêtement avaient voltiger dans toutes les pièces de la maisons. Mais pas que, nos gemissements, nos grognements et nos cris résonnaient dans la maison, c'était encore plus exitant en sachant que c'était chez nous. Et tous les endroits du loft on été baptisés, sur le canapé, sur l'îlot de la cuisine, sur la table à manger, dans les escaliers ainsi de suite même le sol je vous jure. Nous étions des boules de luxure remplit d'amour, c'est surtout cela qui nous animaient.

Après cette nuit magique, nous avions repris un train de vie normale pour un couple. Entre nos études, les petits boulots, le loft, les amis et la famille je voyais que Gaby avait la tête ailleurs. D'autant plus qu'il prenait toujours un peu plus de temps avec ces camarades de classes. Mais un jour je l'ai vu avec une femme, une blonde très élancé, habillé très secrétaire était venu lui parler et étant un peu trop tactile à mon goût. J'étais la pour chercher mon homme qui avait eu un problème avec sa voiture, et je voyais bien que cette pimbeche qui lui touchais les épaules, les bras en plus de le regarder d'une manière très séductrice était on ne peut plus intéresser par lui. Sans parler de comment elle roulait du cul quand elle partait en espérant qu'il la regarde partir, non mais. Je devais parler de ça à Gaby ce soir.