Chapitre 1

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Stiles venait d'entrer chez lui. Il avait entouré sa maison de sorbier. Il coupait définitivement les ponts avec le surnaturel.

Alors qu'il était allongé sur son lit, il se demanda ce qu'il allait faire à présent.

Il pensa d'un coup à la question argent. Il savait qu'ils recherchaient quelqu'un à la bibliothèque.

Il vérifia l'heure ? Il pouvait y aller.

Il se leva puis prit juste son téléphone et ses clés.

¤¤¤

- Je ne peux pas trouver mieux que toi, Stiles. Tu connais la bibliothèque de par cœur.

- Merci. Madame Miller.

- Tu commences demain à la première heure comme c'est samedi.

- Non. Je commence maintenant. Il y a des livres à ranger.

- Merci Stiles.

¤¤¤

Quand il rentra chez lui, son père était là.

- Comment s'est passé la réunion de meute, fiston ?

- Je n'y suis pas allé. Papa. J'ai quelque chose à te dire.

- Je t'écoute.

- J'ai rompu tout lien avec la meute. Je vais arrêter le lacrosse et j'ai trouvé un travail à la bibliothèque. Madame Miller a dit que je pourrais faire mes devoirs là-bas. Donc en t'en fais pas pour mes études. De toute façon, je serai plus attentif que lorsque je faisais mes recherches pour la meute.

- D'accord. Je suis surpris et soulagé. Donc tu commences à travailler quand ?

- J'ai commencé ce soir. Tant qu'à y être, j'ai aidé. Ah, j'oubliais. Tiens. Mon contrat.

Il tendit le papier à son père.

- C'est un bon contrat. Et dis-moi, le fait qu'il y a de la poudre autour de la maison, cela à avoir avec le fait que tu as rejeté la meute ?

- Oui. C'est du sorbier. Ils ne pourront pas passer la barrière. C'est juste une précaution, aucun d'eux ne viendra.

- Stiles...

- Ne t'en fais pas. C'est mieux ainsi. Bon. Je vais préparer le repas. Puis après avoir mangé, j'irai me coucher car demain je travaille.

Il vit son père sourire.

- Je suis fier de toi, fiston.

- Merci papa.

¤¤¤

Il effaçait les énièmes messages de Scott, d'Isaac et d'Erica.

Il soupira pour la énième fois en voyant qu'il recevait de nouveaux messages de Scott et même d'Allison.

Il éteignit son téléphone. Il savait que son alarme fonctionnerait quand même.

On frappa à sa porte. Il fit entrer.

Son père entra avec une tasse.

- Tiens du lait. Je pense que tu en as besoin pour passer une bonne nuit avant ton premier jour de travail.

Il sourit.

- Merci. Maman le faisait à chaque rentrée.

- Oui. Je m'en suis souvenu.

Il posa la tasse puis il étreignit son père.

- Merci papa.

¤¤¤

En descendant le lendemain matin, il vit que son père avait préparé le petit-déjeuner et même un sandwich pour lui pour son repas de midi. Il vit aussi un mot.

« J'ai dû partir plus tôt, une urgence. Passe une bonne journée au travail. Je suis fier de toi. »

¤¤¤

Il était à la bibliothèque. Il venait de ranger des livres quand Madame Miller lui demanda de venir à l'enregistrement un moment.

Il venait d'enregistrer quelques livres quand on lui demanda où se trouvait un ouvrage. Il commençait à expliquer quand il vit qui s'était.

- Peter ? Que fais-tu là ?

- Je viens chercher un livre.

- Tu n'es pas à l'entraînement ?

- Mon neveu n'apprécie pas mon aide. Et j'avais envie de relire ce livre alors je suis venu. Mais toi, que fais-tu là ?

- Je ne fais plus parti de la meute. En fait, je n'en ai fait jamais parti. Maintenant, je l'ai compris alors j'arrêterai les recherches et de vous suivre comme Rantanplan.

Il vit sourire le loup.

- Tu es bien plus intelligent que ce chien.

- La preuve que non, vu que je viens juste de comprendre que je n'avais pas ma place auprès de vous. En ce qui concerne ton livre. Il est rayon B allée 7. Troisième allée sur ta gauche.

- Merci, Stiles.

- Peter. Peux-tu taire que je travaille ici ?

- D'accord. Mais la meute vient de perdre quelqu'un de très important. Alors, je te vois pour l'enregistrement de mon livre.

- Oui.

Ils se sourirent puis le loup alla dans son allée.

Larmes d'âmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant