Chapitre 1

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Le ciel est gris et le vent glacial. C'est étrange pour la saison, la fin de l'été. Ici le temps est rarement beau, sois il pleut, sois le vent vous glace les os. De plus les saison chaudes sont rare et courte. Ici tout est gris, le ciel, le macadam, les bâtiment, tout. Aujourd'hui, j'entame le jour le plus audacieux de ma vie depuis le petit incident qui m'as changé à jamais. Je progresse dans ce milieu gris avec  le crissement du gravier boueux à chacun de mes pas et manque de poser le pied dans une flaque d'eau sale. J'ai du ridiculement tressauter pour y échapper, je suis contente que personne ne m'ai vue. Je déduis facilement qu'une grande quantité de fumeur se consente que cette ville, sur le sol il semble y avoir des centaines, non des milliers de mégots, il n'y a pas un centimètre carré qui y échappe.

Finalement je me retrouve là, immobile, devant cette grande bâtisse grisâtre qui semble être mon nouveau lycée. Mon cœur est lourd à l'idée de faire mon premier pas dans ce lycée sans elle, plus précisément ma première rentrée sans elle. C'est d'ailleurs la première fois que j'entre dans un lycée mixte. Ma mère a souhaité que ça se passe ainsi, elle m'as dit que cela m'aiderais à surmonter mon traumatisme petit à petit. Que se serais douloureux mais qu' "on combat le feu par le feu". Je n'en suis pas moins angoisée. Depuis très longtemps, je suis terrifiée par les autres. Cela peut paraître étrange mais j'ai la phobie des être humains. Tout à commencé lorsque j'avais quatre ans, mes meilleurs amis, du moins ceux que je considérais comme cher à mon cœur, m'on tendu un piège, ils se sont rassemblé pour le jeux cruel qui était de me persécuter. Les enfants sont cruel. Au delà de la douleur physique, j'étais détruite de l'intérieur. C'était beaucoup trop dur pour une enfant de quatre ans. J'ai d'abords cessé de parler, de m'exprimer, ensuite je n'ai plus été capable de ne voir personne. Mes parents n'on pas compris ce qu'il se passais, j'ai vue des centaine de spécialiste, de psychologue sans aucun succès. Il a tout de même été recommandé de m'inscrire dans une école peut fréquentée pour me re-sociabiliser peu à peu. C'est pour cela que mes parents m'on inscrite dans une école pour fille perdu au beau milieu de la campagne. Maintenant je reparle, mais j'ai toujours aussi peur d'autrui. Heureusement que j'ai mes lunettes pour m'aider. Cela peut vous paraître bizarre mais lorsque je me sens "cachée", j'ai moins peur. C'est pour cela que je porte ses énormes cul de bouteille bien que je n'ai pas de défaut de vision. C'est elle qui m'as fait découvrir cela. Lors de ma première année dans cette école, je me tenais volontairement à l'écart des autres. Mais une petite tempête brune ne semblais pas d'accord avec cela. chaque jours, elle, ou plutôt Jade, tentais de m'approcher. Je me sentais comme un chat sauvage que l'on tentais d'approcher. Nous sommes finalement devenue d'inséparable amies. Elle as tout de suite remarqué que je me cachais constamment. Un jour elle m'a offert des lunettes et m'as dit: " J'ai lancé un sort à ses lunettes, porte les et elles agirons comme un masque sur toi, de cette façon personne ne verra ton visage...". C'est sans doute puéril, mais derrière ma naïveté d'enfant j'ai cru dur comme fer à se sortilège. Si bien que même aujourd'hui, je me sens alaise uniquement avec ses lunettes. Elles me sont indispensable. C'est d'ailleurs grâce à elles que je suis sortie de mon mutisme.

La douleurs des rosesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant