La première chose à laquelle je pense en allant en cours ce matin c'est: "pitié faite que je ne croise pas ce type". Je n'ai aucune envie de le revoir et c'est compréhensible non?
Une fois dans le hall du lycée, je remarque qu'il y a une foule plus importante que d'habitude, et au centre de cette foule je vous laisse devinez qui y est. Pas besoins de cité son nom.
Le problème c'est qu'il n'est pas seul au centre, il y a un autre garçon avec un bleu sur la joue. Ils se sont battu?
"-Ce fout à osé bousculé le prince!"
Lance une groupie visiblement outrée.
"-Il paraît même qu'il lui à marché sur le pied!"
Ajoute une autre.
Porter gifle le malheureux et le publique lance un cris d'encouragement.
Je cherche du regard un adulte pour intervenir mais ils ne semblent pas vouloir lever le petit doigt. Le surveillant posté à l'entrée du hall fait comme s'il ne voyais rien. La dame qui s'occupe des grilles pianote sur son ordinateur sans même prêter attention à la scène. Et même le sous directeur qui passe par là jette un simple regard et passe sont chemin. Mais qu'est ce que c'est que ce lycée? Je commence à me poser des questions sur ce Porter. Il doit vraiment être quelqu'un de très important pour avoir autant de pouvoir sur cette école.
J'aimerais tellement pouvoir réagir mais rien qu'à l'idée mes genoux tremble en mon cœur ce serre. Jamais je n'en aurais le courage et quand bien même c'est moi qui deviendrais le bouc émissaire. Je me sens tellement coupable. Si seulement j'était plus forte.
Porter semble c'être lassé de sa proie et passe dans la foule l'air triomphant ses deux horrible amis sur les talons.L'ensemble de la mâtiné c'est déroulé très vite, je n'ai pas vue le temps passer. Après avoir dévoré mon sandwich en vitesse je me dirige vers l'arrière cours, le seul endroit où je pourrais être tranquille. Je tiens à préciser que cet endroit est tout à fait interdit pour les élèves mais c'est le seul endroit ou je puisse être tranquille et c'est la saison ou les pruniers fleurisse et c'est tout bonnement magnifique.
Je m'assieds donc dans l'herbe au dos du tronc du plus gros prunier et sort un livre de lecture de mon sac.
Environ dix minutes plus tard j'entends des voix qui se rapproche. Si quelqu'un me surprend ici je vais avoir de sacré ennuie. Seulement les voix n'appartient à personne d'autres que le groupe d'ami de Porter.
J'espère vraiment qu'ils ne me remarquerons pas. J'entends mon cœur tambouriner dans ma poitrine et sans même me voir je sais que je suis devenue pale comme une morte.
Heureusement pour moi ils ne semble pas m'avoir remarqué mais ils s'installe de l'autre côté de mon arbre. Autant vous dire que je ne suis pas dans la merde.
C'est une chance que le tronc sois aussi large de cette façon je suis bien caché. Mais je vais devoir attendre qu'ils partent pour partir à mon tour.
C'était vraiment une mauvaise idée de venir ici.
"-eh les gars ça vous dit de sécher physique juste après? J'peux pas voir la face de cet enculé de Billing"
"-c'est pas de refus pour ma part, et toi
Blake t'en pense quoi?"
Alors comme ça il s'appel Blake? C'est bien un nom de méchant ça.
"-Laisse tombé j'ai besoins d'assister à ce cours et tu sais bien que je ne sèche jamais, mais vous faites ce que vous voulez"
Ah oui il ne sèche pas les cours? J'ai du mal à le croire, disons que je l'imaginais plutôt ne jamais venir en cours et puis il n'était pas là depuis le début de l'année uniquement parce qu'il était à Hawaï donc "ne sèche jamais" n'est pas le bon thermes.
"-Nan mais on te suit"
"-j'ai envie de pisser les gars" lance Blake.
Ouf, ils vont enfin partir! Je les entend ce lever jusqu'à ce que Blake ajoute:
"-bougez pas, y'a personne ici, je fait faire dans un coin"
Oh mon dieu! Pitié faite qu'il plaisante, faite qu'il plaisante! C'est quoi cette manie chez les garçons de pisser n'importe où?
J'entends ses pas de plus en plus proche de moi et une fois qu'il à passé le tronc nos regard se croise...
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La douleurs des roses
Novela JuvenilJe ne sais pas depuis combien de temps je fais cela mais depuis un petit moment il y a un garçon que je ne peux m'empêcher d'observer. Je l'ai d'abord rencontré dans la vieille bibliothèque de lycée, il étais là, assis près d'une fenêtre, les rayons...