SALUT EVERYBODY! EH OUI C'EST L'ÉPILOGUE... MALHEUREUSEMENT J'AI UNE PANNE D'IDÉE ET DONC JE VAIS VOUS LAISSEZ SUR UNE IDÉE FINALE ET LAISSEZ MA MATIÈRE GRISE MIJOTÉE. JE PUBLIRAI PROBABLEMENT UN DEUXIÈME TOME BEAUCOUP PLUS LONG TRÈS BIENTÔT ET J'AURAI ÉCRIT LES CHAPITRES À L'AVANCE POUR QUE LA PANNE N'ARRIVE PLUS JAMAIS!
S'IL VOUS PLAIT N'ENLEVEZ PAS L'HISTOIRE DE VOTRE BIBLIOTHÈQUE CAR JE PUBLIRAI UN CHAPITRE QUI DIRA QUE LE DEUXIÈME TOME EST SORTIE POUR TOUS VOUS AVERTIR, SUR CE BONNE FIN!
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J'allais sortir, enfin...
Sous le choc, je me pinçai. Je ne pouvais pas être dans un autre endroit que je ne connaissais pas?
Malheureusement mes yeux voyaient bien et je ne rêvais point. J'étais dans une chambre plutot jolie dans les tons de marron et de pourpre. J'étais couchée dans un lit baldaquin d'un blanc immaculé avec des motifs rouges marrons et dorés sur ma douillette et étrangement il n'y avait aucune trappe ou porte en vue. Je pensais que puisque la porte était celle de ma maison j'allais me retrouver chez moi.
Je fus bien déçue. Non pas par la chambre, que je trouvais de plus en plus belle au fur et à mesure que mes yeux l'exploraient, mais par le fait que je me trouvais encore dans l'inconnu. Frustrée, j'essayai de sortir du lit. J'essayai. C'était sans compter le fait que j'étais attachée à la taille, aux poignets et aux chevilles. Je paniquai un peu. Par contre le séjour dans la pièce blanche était bien plus terrifiant et, étant attachée je ne pouvais rien faire. Je décidai donc de me rendormir...
Je me fis réveiller par deux mains chaudes et calleuses qui coupaient les entraves à mes mouvements. J'étais tellement surprise que je me levai d'un bon, mais les mains et son propriétaire avaient encore les ciseaux proche de moi et donc ces derniers m'entrèrent dans le bras.
La douleur qui m'envahie était insoutenable! Elle était telle que je ne pus me retenir de crier, du sang sortait à flot de mon bras et j'entendis une voix grave qui jurait. Je ne faisais que regarder mon bras hébétée par la quantité de liquide rouge qui sortait de mon corps. Je vis, malgré l'hébétude du moment, deux mains à la peau halée m'envelopper le bras avec un tissu bleu. C'est seulement lorsque ces mains me soulevèrent en position «Princesse» que je remarquai la provenance du bout de tissu. En fait, c'était le chandail du Prince (on va continuer dans la voie médiévale) qui était entouré autour de mon bras et qui retenait le sang. Ça faisait en sorte que j'étais plaquée sur le torse d'un inconnu! Incroyablement musclé et à la peau soyeuse... Bon c'est vrai que perdre du sang altèrais mes capacités de raisonnement, mais j'étais sure à tout coup de trouver un super beau gosse si je levais mes yeux. Seulement je n'avais pas la force de le faire... Et je m'évanouÏ dans les bras de mon prince sauveur...
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SALUT MES JOLI(E)S !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je voulais vous dire que j'ai retrouvé l'inspiration au cours du chapitre et que finalement c'était pas l'épilogue... En tout cas pas encore! De plus je trouvais la fin plutot BARBANTE! Désolé de vous avoir fait peur! Je vous aimes! BIGU-E LOV-E <3
PROCHAIN CAHPITRE TRÈS BIENTOT... VOUS AVEZ HÂTE DE VOIR LE MYSTÉRIEUX PRINCE? (surnom qui restera) Encore désolé! Mais la paresse m'a obligée à ne pas suprimer le mot de début... ;)
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Les novices des éléments
General FictionJe commençais à peine à remarquer des petits détails bizarre autour de moi, lorsqu'un vieil homme tout décrépis essaya de me tuer... Il disait que j'étais comme.. Eux? Il crachait ce dernier mot avec tant de haine que je restai pétrifiée alors qu'il...