La soumission

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Je me remettais de mes émotions lorsque j'entendis un bruit de pas derrière moi. Je recommençai ma course folle et arrivai à un cul-de-sac. Je me tournai vers la personne qui me poursuivait. Hayden. Il avançait vers moi comme un fauve traquant sa proie. Puis il bondit. Il me plaqua contre le mur et pressa ses lèvres froides et douloureuses sur les miennes. Malgré toute ma persévérance, son baiser me convainquit de l'aimer. De le chérir. De faire de lui mon petit copain. D'arrêter de cacher mes yeux. C'est comme ça que le lendemain à l'école, j'avais un petit ami à qui j'obéissais au doigt et à l'œil , plus de verres de contacts, et une meilleure amie se sentant trahie car je ne lui avait rien dit à propos du fait que j'étais comme son ...frère. Je n'avais donc qu'un amoureux. Et je me sentais, pleine, entière, comblée. À l'exception d'une impression d'être soumise à un un mauvais pouvoir. Mais ça me passait par dessus la tête. J'avais un petit copain, les gens me trouvaient cool, mystérieuse, du à mes yeux et mes vêtements de plus en plus sombres et sexy. Un jour, en cours, je reçus un papier de Hayden. Lequel me laissa sans voix:
<Hey bébé! T'es vachement sexy aujourd'hui! Que dirais-tu d'un souper aux chandelles, chez moi...? ;) Je passes te prendre à 18h>
Je ne voulait pas y aller. Jamais. Je n'avais pas le temps de lui écrire et si je me retournais le professer me donnerait une retenue. Je résolus donc de lui dire au dîner.

Lorsque la cloche sonna, je me dirigeai vers mon casier. Liz me regarda comme si la situation l'indifférait. Mais je la connaissais, et elle souffrait. Par contre elle était entourée de beau gosse! Ceux qui se faisaient repousser par mon petit copain car ils avaient essayé de me séduire. En une soirée tout avait changer. Je fouillait désormais régulièrement dans la garde-robe de ma mère et y trouvait des vêtements magnifiques. Des minis-jupes, des tops décolletés et moulants, des sous-vêtements sexy, des robes, des talons... De quoi habiller n'importe qu'elle jolie fille sexy. J'étais dans mes réflexion par rapport à mon linge lorsque Hayden me pris la main et me traina jusqu'à la cafétéria. Tout le monde voulait s'assoir à notre table, mais quiconque s'asseyait près de moi était battu par Hayden. Il était très protecteur et possessif. Mais il suffisait qu'il me touche, m'embrasse pour que j'oublie cela et l'aime. Du moins je croyais que c'était de l'amour. Il garda ma main dans la sienne toute l'heure du midi et donc j'oubliai de lui dire que je ne pouvais pas. Et quand il alla me reconduire à mon casier il me dit: À ce soir beauté...
Et il m'embrassa avec une telle fougue que je ne pus résister. Il passait ses mains sur mon corps et je perdais mes moyens, il pris possession de ma bouche et ses mains parcouraient ma peau nue sous mon chandail ultra-serré. Il alla même jusqu'à empoigné mes fesses. Et ça me plaisait. Oh oui! Ça me plaisait. Au moment où je me disais que j'irais volontiers plus loin, il rompis le contact et s'en alla. Je ne le revis pas de la journée, mais j'eus le temps de comprendre que j'étais parfaitement soumise.

Le soir même, lorsqu'il sonna chez moi avec un bouquet de rose, je portais une robe si courte et si décolletée que mes atouts féminins étaient presque entièrement exposés. J'avais remarqué que j'étais devenue plus belle, plus en forme et que mes seins et mes hanches étaient devenues magnifiques. Mes talons (et oui j'avais réussie à marcher avec ça) étaient assez hauts pour que mes balancements de hanches soit amplifiés. Mes cheveux étaient libres de leurs mouvements et tombaient en vagues soyeuses en haut de mes fesses. J'avais mis du mascara mais rien d'autre dans le rayon cosmétique. Il me mit la main dans le creux du dos et m'escorta jusqu'à sa voiture. Une voiture de riches. Il conduisit une dizaine de minutes puis se gara dans l'allée d'une maison somptueuse. Elle n'était pas aussi grande qu'un manoir, mais elle était magnifique! On entra et je remarquai qu'il y avait un très grand nombre de bougie, partout.
Moi: Il y a une panne d'électricité?
Lui: Non, c'est pour créer une ambiance.
Il m'emmena dans une salle à manger romantique où deux chaises côte à côte y étaient installées. Nous nous assîmes et mangèrent ce que les serveurs apportaient. À l'heure du dessert, il leur dit de les apporter puis de sortir rapidement de la maison, et de revenir le lendemain vers 5 heure du soir. Lorsqu'il me dit que nous étions enfin seuls, il me prit la main et donc, je ne pensai pas clairement et lui dit:
-Enfin.
Je lui fis manger son dessert et il fit demême avec moi. Sauf qu'il échappa le gâteau dans mon décolleté et barbouilla ma figure avec ce qui restait. Je riais beaucoup et il se rapprocha. J'arrêtai de rire. Il approcha ses lèvres et m'embrassa langoureusement. Puis il arrêta et licha le chocolat que j'avais sur le visage. Il me donna des bisous un peu partout et commença à descendre dans mon cou. C'était torturant. Il allait tellement lentement, et je voulais qu'il ait tellement plus vite. Il arriva enfin entre mes deux seins et mangea le gâteau. Puis il y attarda ses lèvres et remonta lentement jusqu'à mes lèvres. Il me dit: Tu vas faire tout ce que je te demanderai... Est-ce clair?
En tant que oui, je laissai échapper un petit gémissement car il me grignotait l'oreille. Il y chuchota: C'est ce soir qu'on va passer à l'étape suivante...
Il me prit sur ses genoux en continuant de me caresser et de m'embrasser. Puis il se leva et me transports dans ses bras jusqu'au salon où il ne déposa sur le tapis. J'enlevai son T-Shirt et y découvrit des muscles et des abdominos fermes. J'étais emplie de désir á ce moment là et je ne remarquai même pas qu'il m'avait enlever ma robe et qu'il ne portait plus son pantalon. J'étais en brassière dans rembourrages qui montrait mon anatomie mammaire au grand complet. Il eut l'air surpris de la grosseur de mes seins et de la fermeté de mes fesses. Mes sous-vêtements étaient en dentelles sexy et il ne portait qu'un boxer moulant qui laissait présager à un gros sexe. Il enleva ma brassière et explora mon corps de ses lèvres. Il était sur moi et je sentais son sexe appuyé sur le mien. J'étais tellement excitée! Puis je me rappelai que je ne voulais pas tomber enceinte à 16ans et lui demanda s'il avait un préservatif. Il me dit que je ne pouvais pas tomber enceinte avec lui et je le cru. Nous enlevâmes nos derniers vêtements et après des caresses mutuelles, il n'y eut que lui, moi et le plaisir.
Ce fut la meilleure nuit de ma vie, et le pire des matins.

Les novices des élémentsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant