Chapitre 15 : Espoir.

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- Ah...Et donc c'est quoi ton vrai nom ? Ai je demandé curieuse.

Il haussa un sourcil amusé et se mit à croiser ses bras sur son torse. Il avait mit un t-shirt noir simple avec un pantalon de la même couleur. Ses cheveux noir étaient plaquées comme d'habitude.

- Non, je t'es répondus à ta question maintenant a ton tour, repondit-il, pourquoi est-ce que tu ici?

- Au cas où tu l'aurais oublié, commencai-je avec ironie, tu m'as frapper et ligoté, donc je ne suis pas venue de mon propre chef.

Il fronça les sourcils.

-Tu sais très bien de quoi je parle, repondis-t-il froidement.

Je me tu,réfléchissant  à une quelconque ruse pour essayer de le rouler tout en essayant de me défaire des liens qui me tenait les mains derrière le dos.

- Je suis venu pour arrêter ce traffic de merde, ai-je lâché, et envoyer en prison la pourriture qui te sert de patron.

Il me regardais dans les yeux, en silence. Moi, je continuais d'essayer de me libérer de ces cordes. Pourquoi il me regarde comme ça ce con ?!
Au bout d'un long moment de mutisme, il finit par faire tomber ses bras le long du corps et à s'approchait de mon en se mettant à ma taille. Son visage était plus qu'à quelques centimètres du miens. Je ne sais pas si c'est la rage qui ma rendue comme ça mais cette proximité ne me donnait plus chaud aux joues.

- Tu devrais baisser d'un ton (T/p), murmurait-il d'une voix suave, sinon je serait très fâché.

Malgré moi, je me sentais gêné par cette proximité. Et même si il m'avait en quelques sortes, mit dans ce merdier, il faisait toujours autant d'effect. Surtout avec son regard. Un regard bleu pénétrant en moi facilement, que, s'il le vouliat, pourrait voire mes plus profonds secrets.

Je déglutit avec difficulté face à ma chaleur qu'il provoqué avec seulement sa voix et son regard.
Remarquant l'état dont lesquels il m'a plongé, un sourire apparu sur ses lèvres rose pulpeuse, dont je me faisait violence pour ne pas embrasser.

- Je sais que t'en a envie, dit-il en mettant une de mes mèches derrière mon oreille, je le sais, tu n'arrêtes pas de loucher sur mes lèvres.

Je crispé ma mâchoire en l'entendant mais en même temps il n'avait pas tort. Ça faisait des années que je n'avais pas désiré un homme de la sorte.

Avec lenteur, il diminua l'infime espace qu'il y avait entre nos deux visage, son souffle s'écrasa contre mes lèvres. Je fermais les yeux, ne pouvant plus supporter cette torture qu'il me faisait et c'est en sentant ses lèvres contre ma mâchoire qui me fit rater un battement. J'ai bien crue mourrir sur place et ça, je détestais ça.

Je détestait le pouvoir qu'il avait sur moi. Il pouvait me manipuler.


Il me manipulais.

Le désire que j'avais ressenti il y a quelques secondes de ça s'est fait remplacer par la rage.

Il se leva et moi j'ouvrais les yeux pour le fusiller avec toute l'amertume que je ressentais envers lui.

Je me suis promis de ne plus me sentir faible devant un homme.
E

t je compte bien tenir cette promesse.

Il prit appuie sur le mur et croisa ses bras sur son torse, il me fixait.
J'avais inconsciemment arrêté de défaire mes liens, à cause de ses magouilles.

- Tu comptes me regardais longtemps comme ça ? Ai-je demandé juste pour faire diversion le temps que je détache mes liens.

- Tu comptes être désagréable avec moi longtemps ?

Pourquoi toi? Livai x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant