Pourquoi toi? Livai x Reader

Chapitre 17: Douce descente en Enfer.

Après mettre remis sur pieds suite à ces 4 jours de repos intense, j'ai pu reprendre les entraînements et retrouver le rythme que j'avais oublié pendant ces deux semaines dans les bas-fonds.

Le caporal ne m'a toujours pas donné la date de ma punition, pour cause, j'évitais de le croiser. Je le fuyait comme la peste.

Normalement je ne suis pas rancunière mais ce qu'il dit m'a quand même blessée. Tout façon , je doute qu'il en a quelque chose à carré de moi. Kaul m'a dit qu'il l'avait surprit à embrasser Petra, une soldate de son escouade. Enfin les vétérans.

La, je m'en foutait comme d'une guigne. Contrairement au moment où mon frère me l'avait annoncé, j'avais comme un pique dans le cœur.

Au moins, j'était de plus en plus concentré sur mes entrainement et centré sur la promesse que j'avais faite à maman. Lorsque la relation entre moi et le caporale à muter de "Cadets-Supérieurs" à...

je ne devrais même pas chercher un mot sur ce lien inexistant qui n'a fait que me faire perdre la tête et m'a fait risquer la vie. Alors depuis l'annonce de Kaul, mon cerveau s'est comme figer sur sa sécurité et celle des générations future de Paradis. Mais aussi sur la promesse  que je m'était faite dans les bas-fonds lorsque la rouquine de mes deux m'a emmenée vers la salle de préparation pour ma "vente".

" Je fais la promesse de tous vous libérez. Jusqu'à ma mort s'il le faut..."

Je comptait la tenir, jusqu'à la libération total de ces femmes dont on avait enlever la liberté sans scrupule.

- Je savais que j'allais te trouver ici, s'exclama une voix masculine familière.

Après l'entrainement de tridimensionnalité, je m'était réfugié sur une des plus hautes et des plus cachés des branches d'un des arbres géants pour me reposer l'esprit. Chose qui m'était grandement bénéfique depuis ma séquestration.

- J'avais besoins de prendre l'air, ai-je répondus en le voyant s'asseoir à ma gauche.

Mon frère m'avait proposé de voir un des psychologues en ville, car selon lui, c'était conseillé lorsque j'avais eu affaire a ce genre d'événements surtout après ce qui m'était arrivé lorsque j'était ado. Je lui avait répondus que je ne voulait en aucun cas allait parler de mes problèmes à un inconnu.
Et ça a finit en dispute mais on s'est vite réconcilié parce que depuis ma disparition il m'avait trop manquer. Idem pour lui à mon égard. Mais il essaie toujours de me convaincre et je lui ai toujours répondus par la négation. 

De vraies tête de mules, comme dirait maman.

-Le caporal te cherche tu sais, informa mon frère.

-Et j'en ai strictement rien à cirée de ce qu'il veut, rétorquais-je amèrement en ramenant mes jambes en tailleur.

-Tu trouves pas que tu agis comme une enfant ? 

Putain, pourquoi il fallait qu'il vienne me faire chier avec ce nain de mes deux alors que je cherche juste à me reposer ?!

-(T/p), dit-il en posant sa main sur mon épaule que je dégageait d'un coup d'épaule, tu dois allé le voir il veut savoir ce qui s'était passer dans les bas-fonds.

-Je l'ai déjà dit à Hanji, il peut allé la voir s'il veut avoir mon compte-rendu.

Et sur cette dernière phrase, je me suis envoler très loin de mon fraternel avant que je ne  provoque une énième dispute. Après avoir dépasser quelques branches j'ai atterris au sol avec discrétion avant de courir vers le Q.G . 

J'avais besoins de me vider l'esprit de toute ses intrusions négatifs dans mon esprit sinon ça allait  exploser. Et la seule façon était de m'occuper aussi bien physiquement que mentalement. La vielle petite maison arrivais enfin dans mon champs de vision. Mon cœur frappait avec force contre ma cage thoracique, le vent faisait volé mes cheveux et mon corps, lui, était tendu comme un arc. Lorsque je courais, mon esprit était comme éteint, centrer sur mes jambes et mes poumons qui demander de l'oxygène.