Pourquoi toi? Livai x Reader

Chapitre 8 : Hmm

Pvd de (T/P) :

- Non, Non Non, c'est beaucoup trop dangereux ! Hurlais Kaul.

Il faisait les cents pas, frustré et moi je le regardais assise sur mon lit.

C'est en me réveillant que j'avais entendus kaul hurlait mon prénoms et je me suis dirigeait vers le salon et j'avais entendu presque toute leurs conversations. Le caporal Livaï m'expliqua et javais accepté enfin...j'allais le faire que je le veuille ou non. Mais Kaul ,lui, le voyais d'un mauvais œil.

- Écoute, il n'y a rien à discuter, je doit le faire, lui dit je en le regardant marcher.

A force il va me donner le tournis.

- Non, il y a bien une autre solution, dit il frustré, on peut mettre des perruques et...

-Non, le coupais-je, Mikasa et moi somme les seules filles requises pour cette mission.

- Mais tu as entendu ce que Livai a dit ! Les chances de réussite sont faibles voire nul ! Répliquait il.

-Comme toutes les missions, dit je en haussant les épaules.

Enfaite, moi-même je n'était pas rassurée mais je devais garder mon sang-froid pour ne pas l'inquiéter de plus.

Puis il s'arrêta et me dévisageait, il prit une grande inspiration pendant de longues minutes. Puis vint se mettre devant moi, s'accroupit et prit mes mains.

- Je ne suis toujours pas pour cette missions mais...

Il resta silencieux.

-Mais, répétait je pour l'inciter à continuer.

-Mais j'ai entièrement confiance au caporal Livaï donc...

Aie ! Je pensait qu'il allait dire qu'il avait entièrement confiance en moi mais je voit que je me suis gouré.

- Si tu sent que ces types vont trop loin tu les tue, termina Kaul.

Lorsqu'il prononça cette phrase ,j'etait prit d'un long frisson.

-Tu sais que je suis incapable de faire ça, dit je en le regardant droit dans les yeux.

- Il le faudra, car si cest pas toi ce sera moi.

Je ne sais pas si je devait me sentir rassurée ou être inquiète.
Puis pour approuver ces dire je le prit dans mes bras. Il repondis aussitôt à mon étreinte.

-Tous se passera bien et il n'y aura pas de mort, dit je sure de moi.

-Je l'espère ptite sœur, dit il inquiet.

Nous sommes  restés un long moment comme ça puis la porte s'ouvrit brutalement. Kaul me lâcha et se tourna, nous vîmes Hanji et Mikasa.

- ( T/p), Vient je doit t'annoncer à toi et Mikasa le déroulement du plan, dit elle.

J'hochait la tête et me leva. Kaul fit de même  et me prit brusquement le bras , je tournais la tête et le dévisageait.

- Kaul...

- je sais, mais rappelle toi ce que je tes dit, dit il en me regardant droit dans mes yeux.

Je le regardais et lacha un soupir.

-Oui, je le ferais si nécessaire, dit je.

Puis il me lâcha et je pu rejoindre Mikasa et le Caporal Hanji. On descendais les marches et en entrait dans le bureau du caporal Livaï. Il était sur un canapé à boire sa tasse de thé, des qu'il nous vit arriver il leva les yeux au ciel et soupira.

-Et bien le chien de garde de Jaeger et la maladroite, dit il en se levant.

Hanji nous retenait Mikasa et moi fortement. Il avait de la chance car je croit que nous allions le tuer.

- Livaï ! Tu pourrais au moins être un peu moins insolent avec elles, dit Hanji, ce qu'elles vont faire n'est pas sans risques.

- Parce que ce que NOUS  faisons n'est pas sans risques ? Elles ne feront que rester dans un coin sombre et attendre qu'un des sbire les chope, dit il froidement.

Les deux caporal s'affrontaient du regard. Bon je sent que l'atmosphère est...loin d'être amicale. Je décidait donc de l'apaiser.

-Heu...donc c'est quoi le plan ? Demandais-je.

- Vous allez devoir mettre des robes et attendre près d'un bar enfin...Plutôt dans une ruelle, me dit Hanji, nous allons vous attendre tranquillement sur les toit et dès que l'on voit un de ses taré..

-On les capture et on les emmène au cachot, finit le caporal Livaï.

Bon ta pas de quoi stresser (T/P), ta peut-être une chance de trouver les connards qui ont abuser de toi. Mais le problème c'est que tu ne savait où ça allait se passer.

- Et où se déroulera le plan ? Demanda Mikasa.

Un long silence s'était installé, bizarrement je sentais que cette mission était beaucoup plus risquée que prévu.

-Dans les bas-fonds, dit Livaï.