Je reste par terre à pleurer, je ne peux même pas compter le nombre de minute qui s'écoule.
Un moment, je me lève, au bout du rouleau, depuis que je suis de retour en France, je ne fais que subir ma vie, sans rien dire.
Mais ce soir, je compte bien vider mon sac, dire ce que j'ai à dire et Amir va prendre pour tout le monde.
Je marche d'un pat déterminer vers la maison de Linda, j'ouvre la porte en furie et me retrouve nez à nez avec Amir.
Je m'approche de lui et le pousse de toutes mes forces.
Maya : Ecoute moi bien Amir, ECOUTE MOI BIEN, ça va être la dernière fois, j'ai bien dit LA DERNIERE FOIS que quelqu'un va me manquer de respect, j'ai trop fermé ma bouche avec vous. Vous ne me connaissez pas !
Amir : FERME-LA LE PETIT DORT
Maya : Tu sais quoi ? Je m'en balle les cou****, il n'a qu'a même venir.
Il me regarde avec des gros yeux, il ne s'attendais pas à entendre cela, je ne le pense pas, je respecte cet enfant mais la mes nerfs sont à vif.
Amir m'attrape par le bras et me tire dans le jardin et ferme la porte.
Amir : Je crois que tu n'as pas compris ce que j'ai dit tout à l'heure.
Maya : Oh que si, j'ai bien compris mais je n'ai pas parler.
Amir : Je ne veux rien savoir casse-toi Maya
Moi : Je vais partir ne t'inquiète pas, tu ne me reverras plus jamais espèce d'hypocrite
Amir s'avance vers moi, m'attrape par le col
Amir : REPETE CE QUE TU VIENT DE DIRE
Moi : NE ME TOUCHE PAS (je le pousse, puis colle mon front au sien) T'es qu'un put*** d'hypocrite Amir, c'est bon comme ça.
Il me pousse, je tombe sur les fesses, je me relevé.
Maya : Sa te fait du bien ? HEIN EST-CE QUE TU TE SENS MIEUX ? TU SAIS QUE J'AI RAISON AMIR. Tu cris sur tous les toit que j'ai abandonné ta fille, mais espèce de con, t'es le premier à l'avoir fait. Ta femme est morte..
Il court vers moi, je tire vers le mur le plus proche et m'étrangle, je lui souris.
Amir : ESPECE DE PSYCHOPATHE, NE PARLE PAS DE MA FEMME, FERME TA GU*ULE, NE ME FORCE PAS A TE FRAPPER
Il me lâche lorsqu'il se rend compte que ces coups ne me font rien, je ne ressens plus aucune douleur physique.
Maya : Elle est partie, elle n'est plus la et c'est toi qui a abandonner Firdaws, ta proche fille, ce n'est pas moi. Tu voulais tuer l'homme qui lui a ôter la vie, sa ta value la prison. Et si tu l'avais fait ? Tu ne serais même pas là à entendre tes vérités. Et ta fille dans tout ça ? Elle serait avec qui ? ALORS DIT MOI AMIR QUI A ABANDONNER EN PREMIER FIRDAWS ?
Maya : Tu ne parles plus ? La vérité fait mal ? Moi Firdaws ne m'a jamais considérer comme sa mère mais comme sa sœur, un jour ou l'autre elle m'aurais plus écouter ...
Amir : ET ALORS ? T'ESSAYE DE FAIRE QUOI LA ? ME FAIRE CROIRE QUE CE N'EST PAS GRAVE DE L'AVOIR ABANDONNER ?
Maya : NON NON ELLE NE MERITAIS PAS CELA, nous deux ont a merdé, tu as voulu tuer le coupable pour essayer de ne plus ressentir de douleur et moi je suis partie retrouver mon frère pour essayer de me racheter.
Amir : QUOI ? QUEL FRERE ?
: Maya ?
Je me retourne et vois Lunis nous regardant avec des yeux interrogateurs.
Je me rapproche de lui soulager et le prends dans mes bras, il ne comprend pas mais me rend mon câlin.
Lunis : ça va ? Il te fais du mal ?
Maya : Non t'inquiète, on y va.
Amir : Tu vas nulle part, je n'ai pas fini de te parler.
Lunis me lâche et veut avancer vers Amir, je le tire par bras et le met derrière moi.
Maya : Moi j'ai fini de parler.
Je ne lâche pas la main de Amir et nous sortons par la porte arrière du jardin, en passant la porte je me retourne vers Amir qui shoote sur un jeu de jardin.
Une fois dans la voiture, je fonds en larme.
Maya : S'il te plaît, ramène-moi à la maison
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Maya: Une pute mariée de force à un veuf
RandomUne nouvelle histoire, de nouveaux personnages vont prendre vie à travers mon écris. Entre pleures, rages, trahison, violence, sexe et amour.. voici l'histoire de Maya, jeune femme Sénégalaise, qui vit dans une cité de la Seine-Saint Denis. Et Ami...