Partie 28

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 Toujours dans le flash back

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Toujours dans le flash back

Une fois avoir repris connaissance, je touche mon front qui me fait horriblement mal, je saigne du visage, je tourne la tête vers ma marchandise, plutôt monsieur Sanchez. La première chose auquel je pense, c'est à Lunis, il va me tuer.

Je regarde monsieur Sanchez, il gémis de douleur, il a l'air blesser.
Je sors de la voiture qui est complément morte, nous avons de la chance que nous soyons encore en vie, je roulais à plus de 90km/h.

Une fois dehors, j'ai une forte douleur à la poitrine a cause de l'air bag. Je fais le tour pour voir ma marchandise, je ne peux pas ouvrir la portière, elle est bloquée à cause de l'arbre.
Je cherche une solution, mais une odeur me ralentit, je fais le tour du véhicule, la voiture commence à prendre feu.

Merde, merde merde, Lunis va vraiment me tuer si la marchandise meurt. Je prend mon arme dans la boîte à gant par la fenêtre, mon sac à dos qui est juste derrière monsieur Sanchez.
Je décroche l'appuie-tête de ma marchandise, avec les deux bout pointue, je casse le pare-brise. Il me demande de me dépêcher en toussant, la fumer et les particules rendent la tache vraiment difficile.
Au bout de quelques secondes, le pare brise lâche enfin, je monte sur le capot et essaye de porter l'homme qui ma briser.
Il pousse aussi sur ses jambes et arrive enfin à sortir, il s'appuie sur moi et je me met à courir loin de la voiture.
A 200 mètres, un gros bruit se fait entendre, nous tombons quelques mètre plus loin, la voiture vient d'exploser.

Sanchez fait des prières en remerciant Dieu, je le dévisage et cherche mon téléphone pour appeler mon patron.

Lunis me cris dessus comme à un enfant, il me demande de cacher la marchandise le temps qu'un de ses hommes viennent puis il raccroche.

Je prends Sanchez par l'épaule et l'aide à marcher, je m'éloigne le plus possible du lieu de l'accident, je trouve une petite ferme qui a l'air abandonnée.

Une fois à l'inter, je regarde sa blessure, il saigne au niveau du genou, je cherche dans mon sac de quoi le soigner et le fait sans expression, sans lui lancer un regard.

Sanchez: Je suis médecin, vous ne devriez pas faire comme cela mademoiselle.

Il commence à me parler en portugais, je fais comme si je ne comprends pas, hey oui, depuis le temps, je sais parler la langue.

Lui: Vous n'êtes pas à l'aise? Sa se voit rien qu'a votre regard, je dirai même que vous avez peur. Nouvelle dans le métier c'est cela?

Je cherche dans mon sac, une fois trouver la seringue, je lui plante directement dans ma jambe, quelques secondes après, il tombe inconscient.

Moi: C'est toi qui devrai avoir peur Sanchez, tu n'est pas au bout de t'es surprise.

Je lui ai injecter le produit que je met au animaux lorsqu'ils sont excités, à petite dose bien sûr.

Je sors de la ferme lorsque mon téléphone se met à sonner, c'est un des hommes de Lunis, ils sont deux.

Ils me donnent les clés d'une voiture puis s'en vont directement.
Je ramène la voiture près de la ferme puis traîne sans problèmes Sanchez jusque l'arrière du véhicule. Je lui attache les mains et les pieds puis récupère les sacs.

Oui puisque j'ai pris son sac où il y a les deux millions au moment où j'ai récupéré le mien. L'avantage avec ce genre de marchandise, ils payent en espèce puisqu'ils sont rechercher par la police.

Je prends son téléphone et transmet toutes les donnés sur mon ordinateur, je casse sa puce ainsi que la mienne. Dans la voiture, j'éteins l'ordinateur de bord puis reprends la route.

Je passe une semaine, je suis dans une chambre d'hôtel au milieu de nul part, Sanchez est dans le coffre de ma voiture. Je n'ai trouvé aucune information sur mon frère dans son téléphone, aucun numéro de téléphone, aucun appel, donc tous les soirs depuis une semaine, je récupère Sanchez et le ramène dans la forêt derrière pour le torturer afin d'avoir des informations.

Il ne comprends pas ma démarche, je lui demande des infos sur ses enfants, je sais très bien qu'il n'a que mon frère mais il me dit à chaque fois qu'il n'a pas d'enfant.
Cela dure depuis sept long jours, ce soir soit il parle, soit il meurt.

Suite?

Maya: Une pute mariée de force à un veuf Où les histoires vivent. Découvrez maintenant