Une nouvelle histoire, de nouveaux personnages vont prendre vie à travers mon écris.
Entre pleures, rages, trahison, violence, sexe et amour.. voici l'histoire de Maya, jeune femme Sénégalaise, qui vit dans une cité de la Seine-Saint Denis.
Et Ami...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
C'est le drame, c'est une chambre vide, silencieuse, sans vie qui s'ouvre devant moi. Cette chambre n'est pas totalement vide, il y a ma petite princesse, allonger sur ce lit d'hôpital, brancher de partout et sous respiratoire.
Je m'approche de ma petite Firdaws, tremblante, mes larmes coulent automatiquement.
Je ne sais pas si elle dort ou si elle est inconsciente mais ces yeux sont fermés, je m'assoie sur le bord de son lit, caresse ces cheveux, en larme.
La porte s'ouvre, il apparait devant moi, Ali et Amir.
Amir : Qu'est ce que tu fais la ? Sort de cette chambre, je n'ai pas de force de me battre avec toi aujourd'hui.
Je ne dis rien, je me lève et sort en tirant Ali en dehors de la chambre.
Maya : Putain qu'est-ce qu'il s'est passé ? Dis-moi que ce n'est pas grave ?
Ali : C'est chaud Maya, franchement c'est chaud la !
Maya : PARLE ! ELLE A QUOI ?
Il pète complètement un plomb, il se tiens la tête, marche dans tous les sens, dit des choses incompréhensibles, un moment, il se laisse glisser contre le mur et fond en larme.
Je ne bouge pas, si Ali pleure, c'est que la situation est très grave, je n'arrive pas à bouger ni à parler. Amir sort de la chambre, il voit son ami en pleure, il me bouscule et ce met à son niveau.
Amir : Hey khoya (mon frère) lève-toi ! On doit être fort pour elle donc lève toi on va trouver un donneur.
Maya : Un donneur ? qu'est-ce qu'elle a ? S'il te plaît Amir dit moi !
Amir : Son rein à lâcher !
Maya : Putain de merde !! Combien de temps on a ?
Amir : Quoi « on » ce n'est pas ton combat, bouge !
Maya : Ta la haine contre moi, je m'en fou complet, mais Firdaws, je n'en ai rien à foutre de ton avis, je vais rester jusqu'au bout.
Ali : Tu peux m'en trouver un rein toi ?
Amir/ Maya : Hein ?
Ali : Arrête de faire genre Maya, on n'a pas le temps, je sais qui tu es, je sais ce que tu as fait après être partie de France et tu es le bras droit de Lunis ... Je ne t'ai pas appelé pour rien, il y a que toi qui peux nous sauver !
Maya : Je vais passer des appels
Je m'isole et appel Lunis, malgré qu'il soit dans l'avion, il capte quand même et reçois-les appelles.
