Partie 50

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Précédemment

Je me réveil à cause de la porte qui a toquer, la veille l'aide soignante m'a changer les draps et moi au passage

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Je me réveil à cause de la porte qui a toquer, la veille l'aide soignante m'a changer les draps et moi au passage.
J'autorise la personne à entrer, il s'agit de mon frère Adler accompagné de mes parents.
Sa fait presque quatre années que je n'ai pas vue ceux qui m'ont donner la vie, ils ont l'air en bonne santé.
Je les regarde sans rien dire, devant eux, je ne suis pas là Maya forte et grande gueule.
Je baisse la tête par honte, je sais que j'ai foirer avec eux, que je leurs ai fait beaucoup trop de mal.
Mon frère se met dans un coin de la chambre, un silence de mort règne, nous entendons seulement les machines faire du bruit.

Maman: Ça va ?

Moi: Oui merci et vous ?

Mon père : Hm

Et puis silence, plus personne ne parle, ils s'assoient sur des chaises près de mon lit.
Mon père parle avec Adler et ma mère me regarde sans dire un mot.

Cette situation me gêne, j'ai attendu ce moment toute ma vie, être réunie auprès de mes parents et de mon frère mais je n'arrive pas a dire un mot, je joue avec mes doigts nerveusement.

Adler: Tu sort quand ?

Moi: Je ne sais pas, je dois attendre de faire mes examens pour le savoir.

Adler: Tu as mal quelque part?

Moi; Oui un peu partout mais les médicaments me soulage vraiment.

Mon père : C'est sa de jouer avec sa vie, sa n'apporte que des problèmes

Moi: Oui je sais, je suis désolée

Mon père : Tu n'as pas à t'excuser auprès de moi, il y a bien longtemps que tu n'est plus sous ma responsabilité.

Et Bim... sa fait mal, très mal, je pensais que ramener mon frère apaiserai les tensions mais non, il est toujours aussi énervé contre moi.

Le silence règne de nouveau dans la pièce, la porte toque deux fois puis un médecin rentre.

Médecin: Bonjour a tous, madame Sacko, vous êtes prête pour vos examens ?

Moi: Ah euh oui..

Mon père: Bon nous ont va y aller, rétabli toi bien

Moi: Merci

Ma mère : Fait attention à toi ma fille

Moi: Merci maman, je peux t'appeler quand je peux ?

Elle: Hm oui nous verrons.

Ils se lèvent tous, Adler sort de ma chambre sans même me regarder (...)

Tout le long de mon examen, je n'ai fais que pleurer, la pression se relâche, j'ai mal, mon cœur me fait extrêmement mal .

Je ne m'attendais pas à un tel accueil, si glacial, si triste.

J'ai manqué à mon devoir de fille en leur manquant de respect, beaucoup de mes oncles m'ont vue seins nue à me déhancher dans un club de strip-tease.
Pour cela j'ai été battue à en perdre connaissance, plusieurs membre de mon corps fracturé, par la suite ma famille m'a chasser de chez moi puis mariée de force à un homme que je connaissais à peine.

Pour eux, je n'ai pas assez été puni, je n'ai pas encore payer, leur silence me tue de jour en jour. Je ne sais pas comment faire pour me sortir de ce cercle vicieux. 

Une semaine plus tard

Hôpital privé de Marne Chantereine - Ramsay Santé - Brou-Sur-Chantereine 77 - 09h26

Aujourd'hui c'est le grand départ, je quitte enfin l'hôpital, même si je suis en béquille, je suis très heureuse de quitter ces quatre murs que je vois depuis plus d'une semaine.

Depuis la visite de mes parents et de mon frère, je n'ai plus vue une personne de mon entourage ni reçu d'appel.

Je me retrouve donc devant l'hôpital, avec mon sac à dos qu'Adler m'avait apporté contenant quelque vêtements de rechange.

Je ne sais pas où aller, je ne veux pas déranger Linda, enceinte je ne veux pas l'embêter avec mes problèmes..
mon frère ? Je ne sais même pas s'il est toujours à l'hôtel ou s'il est parti chez nos parents.

J'appelle donc la seule personne qui puisse m'aider.

Moi: J'ai besoin de toi, je ne veux pas me retrouver seule, peur de faire une bêtise.

Lui : j'arrive.

Je raccroche satisfaite de sa réponse, je souffle puis prend un taxi direction la capital (...).

Hôtel Jardins de Mademoiselle Hôtel & Spa- Paris, 11h34

Je dépose mes valises dans la suite et me jette sur le lit, je regarde ma jambe et souffle agacer, je suis dégoûtée d'avoir le pied dans le plâtre, surtout à mon grand âge.

Je n'ai prévenue personne que je suis sortie de l'hôpital, de toute manière, personne n'a chercher après moi.
Je vais donc me faire discrète quelques temps à rester dans ma suite le temps de guérir.

Je commence à m'endormir, j'envoie donc ma localisation à la personne que j'attend, j'éteint mon téléphone puis je ferme les yeux.

Deux jours plus tard,

Le téléphone fixe de ma chambre se met à sonner, c'est la réception qui me demande s'ils peuvent donner la clé de ma chambre à quelqu'un, je dis ok.
Il est enfin arrivé, celui que j'attend depuis mon arrivée je n'ai pas quitté la chambre d'hôtel.

J'entends le bruit de la porte qui s'ouvre, je reste allongée sur le dos, vêtue d'un ensemble de sous-vêtements.

La personne pose ces valises à l'entrée de la chambre, tourne la tête, me regarde puis sourit.
C'est le seul sourire sincère que j'ai vue depuis des jours. J'ouvre mes bras, cette personne se précipite sur mon lit et me fait un énorme câlin.
Je sais que maintenant tout ira bien pour moi, je suis entre de bonne main.

Suite ?

Maya: Une pute mariée de force à un veuf Où les histoires vivent. Découvrez maintenant