L'âme sœur ensorcelée

Chapitre 2 - Le sortilège

La lumière du soleil me sorti de mon sommeil. J'ai oublié de fermer ma fenêtre hier soir, je me suis endormi en regardant les étoiles. Lorsque je sorti du lit, les souvenirs de la veille me ressurgit. Le loup, mes parents, le sortilège, cette histoire d'âmes sœurs... Oh non ! Dites moi que ce n'était qu'un rêve.

Quelqu'un frappa à ma porte.

Sybille : Eiden ? Chérie es-tu réveiller ? Demanda ma mère.

Eiden : Heu oui.

Elle entra suite à ma réponse. Elle s'assied sur mon lit à côté de moi, d'un air doux et préoccupé. Je sais très bien ce dont elle veut me parler mais sérieusement au réveil ? Avant même que j'ai pu boire mon café ?

Eiden : Si tu es venu me parler d'hier soir attends que j'ai bu mon café s'il te plaît maman. Dis-je avant même qu'elle ai eu le temps de dire un mot.

Elle sembla soudainement toute confuse et surprise.

Sybille : Heu bien sûre mon cœur. Pas de soucis je t'attends dans la cuisine alors.

Elle sorti de ma chambre. Je souffla de colère car je n'avais pas envie de tout ça. Bien sûre que je rêve d'une aventure palpitante mais pas que mes parents m'ensorcèlent pour que je fasse s'emblant d'être l'âme sœur d'un alpha.. Mais d'ailleurs il s'agit de quel alpha ? J'espère de tout cœur que c'est un gentil alpha et pas un cruel et super dominant dont on entend tous parler.

Je me prépara dans la salle de bain, enfila un jean et débardeur blanc. Je fis une tresse avec mes cheveux et descendit dans la cuisine pour me faire mon café. À mon arrivée je vis que le café était déjà prêt, ainsi que des œufs, du bacon et des crêpes.. Woaw tout cet effort pour m'annoncer que je dois partir avec un inconnu.. je tourna les yeux au ciel en voyant tout ce festin. Je pris ma tasse de café et m'assied sur un tabouret de bar situé au bord de l'îlot de cuisine.

Sybille : Je vois que tu es enfin descendu et que tu as un café en main. Tu devrais te servir une assiette, ton café ne te nourrira pas.

Ma mère était entrée dans la cuisine sans que je l'entende, j'étais trop perdu dans mes pensées pour faire attention.
Je n'avais pas faim et il était temps qu'elle crache le morceau.

Eiden : Pourquoi tout ce festin ? Tu as peur que les loups ne me nourrissent pas ? Ce qui serait drôle d'après leur appétit insatiable ! Dis-je d'un ton sarcastique.

Ses yeux s'ouvrit tellement que j'ai cru que ses globes allaient sortir de ses orbites. Elle ne s'attendait pas à ce que je sache ce qu'elle comptait me dire. Puis elle fronça les sourcils et continua de me regarder droit dans les yeux.

Sybille : Comment le sais tu ? Oh attends ne dis rien, ton don s'est révéler ça y est ! Tu es une voyante comme moi ?

Eiden : Si par les mots don et voyante tu entends écouter aux portes alors oui c'est tout à fait ça maman.

Sybille : Ecouter aux portes ? Eiden ! Je t'avais dit de rester dans ta chambre ! Bon donc j'imagine que je n'ai rien à te révéler. Je suis désolée ma chérie, je ne sais pas pourquoi mais c'est ta destinée. Crois moi que si on pouvait faire autrement on le ferait. Dit-elle tristement.

Eiden : Ben c'est simple ! Je reste ici et l'autre repart chez lui. Voilà fin de l'histoire. On a toujours le choix maman.

Sybille : Si seulement c'était aussi simple. Écoute ce que tu as entendu hier à propos de ma vision fait partie d'une prophétie. Ce n'étais pas qu'une simple vision et tu le sais bien que toutes mes visions se réalisent peu importe ce que l'ont fais.