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"Le droit des autres est une concession faite par notre sentiment de puissance au sentiment de puissance de ces autres

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"Le droit des autres est une concession faite par notre sentiment de puissance au sentiment de puissance de ces autres."

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Mea

Suite à ma réplique, il me regarde dans le blanc des yeux et reste silencieux.

Plusieurs secondes passèrent, sans qu'aucun de nous deux, n'évoque un piètre mot.
Après un moment, le contact avec ses yeux me perturba et je décide de rompre celui ci. Je perçois aussitôt un faible sourie sur son visage  je le trouve d'ailleurs magnifique comme ça... Il doit se languir, d'avoir gagné sûrement.
Quant à moi mon , ne renvoies aucune émotions.

-Est ce que celle vous amuse votre altesse ? Que dis-je. Suis je bête cela ce voit , comme le nez en plein milieu de la figure, que cette situation de domination vous réjouit...

Après mon intervention, je vois son visage qui abrite habituellement un sourire narquois, se transformer en un visage froid.

- Il serait faux de ma part, que de vous dire que vous voir à mes côtés ne me réjouit pas, il y a même quelque semaines je me serais réjouie de vous voir à mes côtés même si cela n'aurait était que l'obéissance d'un ordre donné par ma propre personne, j'étais encore égoïste et vous voulais seulement près de moi, que vous y soyez contraintes ne m'affliger guère... Mais aujourd'hui les choses ont changé, j'ai changé, vous avez réussi à me changé inconsciemment. J'ai compris que même si mon obsession pour vous dépasse tout sentiment rationnel, savoir que vous êtes ici, car vous y êtes contrainte me dérange, vous me voyez peut-être comme un monstre qui veut vous enfermer comme on cache un joli trésor. Dont on a le mérite et la fierté de l'avoir trouvé le premier. Mais même si l'idée de vous protéger de tout ces yeux curieux et pervers me soulagerai, j'ai compris que c'était mal de vouloir imposer ma puissance même dans votre prise de décision à mon égard.

Il termina de dire cela en me regardant profondément dans mes yeux comme si, si il cligné des yeux un instant j'allais pouvoir m'envoler loin de lui.

-C'est une blague n'est ce pas, dites moi que c'est une boutade je vous en supplie !
Je le supplia du regard en soufflant ces mots

-Comment ça une blague vous ne vous rendez donc pas compte du combat que je m'inflige à moi même pour daigné vous laisser filer entre mes doigts et c'est ce que vous trouvez de mieux à dire. Vous prenez ça tel un vulgaire jeu Mea ! VOUS AVEZ LE CHOIX, vous pouvez partir je ne vous dirais rien et personne ne viendra vous ramenez ici, alors partez vous attendez quoi ? Bon sang Mea !

𝙾𝚋𝚜𝚎𝚜𝚜𝚒𝚘𝚗  ❝𝙅𝙠 ❞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant