Quant le roi des vampires tombe amoureux d'une jeune fille humaine il obligera ses parents à la lui cédé à ça majorité
Il ne veux qu'une seule chose qu'elle sois à lui
Et il compte bien mettre toute les cartes du jeu pour l'avoir ✓
"La passion est...
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"Une lettre c'est magnifique et précieux comme un morceau d'âme." Anne Dandurand
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Mea retourna dans sa maison familiale, le cœur lourd de chagrin. Le silence pesant des lieux accentuait l'absence de ses parents, et chaque recoin de la maison semblait imprégné de souvenirs douloureux. Elle ferma la porte derrière elle et s'effondra, laissant enfin libre cours aux larmes qu'elle avait retenues si longtemps. Cette nuit-là, elle pleura jusqu'à ce que ses yeux soient trop fatigués pour pleurer davantage, jusqu'à ce que le sommeil la prenne, étouffant ses sanglots dans l'obscurité.
Les jours suivants, Mea erra dans la maison comme une âme en peine. Elle n'avait plus de but, plus de direction. Les souvenirs de son enfance semblaient se superposer à sa douleur présente, rendant chaque instant plus insupportable. Elle évitait la chambre de ses parents, refusant de confronter la réalité de leur absence. Pourtant, au fond de son cœur, elle savait qu'il restait une chose qu'elle devait faire, une dernière connexion avec eux qu'elle devait honorer.
C'est au bout du troisième jour qu'elle se décida enfin. Tremblante, elle entra dans la chambre de ses parents, ses pas lourds de résignation. Les mains tremblantes, elle l'ouvrit la lettre , ses yeux glissant sur les mots d'adieu écrits par ceux qu'elle aimait tant.
« Chère Mea,
Si tu lis cette lettre, c'est que nous ne sommes plus là pour te serrer dans nos bras une dernière fois. Nos cœurs sont lourds de ne pas pouvoir te dire au revoir en personne, mais sache que chaque mot que nous écrivons ici est imprégné de tout l'amour que nous avons pour toi.
Tu as toujours été notre lumière, notre fierté, et notre plus grande joie., même lorsque les tempêtes de la vie te poussaient dans des directions inattendues. Nous savons combien la vie a été dure pour toi ces derniers temps, et nous avons souvent prié pour que tu trouves enfin le bonheur que tu mérites tant.
Si nous devons te laisser aujourd'hui, c'est avec la certitude que tu as en toi tout ce qu'il faut pour surmonter les épreuves qui se dressent sur ton chemin. Souviens-toi, ma chère enfant, que la vie est faite de choix difficiles, mais aussi de moments précieux. Chaque décision que tu prendras te guidera vers le chemin qui te rendra heureuse, même si ce chemin n'est pas toujours celui que tu avais imaginé.
Nous te souhaitons de trouver la paix dans ton cœur, de pardonner ceux qui t'ont fait du mal, et d'accepter l'amour, sous toutes ses formes, lorsqu'il se présente à toi. N'aie jamais peur d'aimer, car l'amour est ce qui donne un sens à tout. Peut-être que le bonheur que tu cherches se trouve là où tu l'attends le moins. Peut-être que ce bonheur est plus proche que tu ne le penses. Fais confiance à ton cœur, et il te guidera là où tu dois être.
Nous serons toujours avec toi, dans chaque rayon de soleil, dans chaque brise douce, et dans chaque sourire que tu offres au monde. Vis ta vie pleinement, ma douce Mea, et n'oublie jamais combien nous t'aimons. Avec tout notre amour,
Maman et Papa »
Chaque mot qu'elle lisait perçait son cœur comme une lame. Ses parents, même dans leurs derniers instants, n'avaient pensé qu'à son bonheur. Leur amour inconditionnel, leur inquiétude pour son avenir, leur souhait de la voir trouver la paix et l'amour, tout cela transparaissait dans la lettre. Quand elle eut fini de lire, elle sentit un torrent d'émotions la submerger. Les larmes, qu'elle croyait taries, recommencèrent à couler, mais cette fois, c'était comme si tout le poids du monde s'effondrait sur elle. Elle pleura, non seulement pour la perte de ses parents, mais aussi pour la vie qu'elle avait fuie, pour les choix qu'elle avait faits, pour le futur incertain qui l'attendait. Ce soir-là, incapable de rester enfermée dans la maison qui portait maintenant trop de souvenirs, elle sortit dans le jardin. La nuit était fraîche, l'air empli du parfum des fleurs que sa mère entretenait jadis avec tant de soin. En marchant dans le jardin, son regard se posa sur la balançoire de son enfance, celle où elle passait des heures à rêver d'un avenir plein de promesses.
Sans réfléchir, elle s'approcha et s'assit doucement sur la balançoire, la corde grinçant légèrement sous son poids. Elle se balança doucement, le regard perdu dans le ciel étoilé. Les souvenirs affluèrent de nouveau, mais cette fois, ce n'étaient pas seulement ceux de son enfance. Des images du grand roi lui vinrent en tête, cet homme sévère et terrifiant qui l'avait arrachée à tout ce qu'elle connaissait, mais qui, d'une manière étrange, avait également éveillé en elle des sentiments contradictoires. Elle repensa à son regard intense, à ces rares moments où il laissait transparaître une vulnérabilité inattendue. Elle se souvenait de la façon dont il l'avait observée, comme si elle était la seule chose précieuse dans son monde sombre et austère. Elle frissonna, non seulement à cause du froid de la nuit, mais aussi à cause de la réalisation soudaine qu'il lui manquait peut-être plus qu'elle n'avait osé l'admettre.
Perdue dans ses pensées, elle sentit soudain un froid glacial lui parcourir l'échine, comme si l'air s'était brusquement refroidi autour d'elle. Elle se redressa, son regard balayant le jardin, mais elle ne vit rien de particulier. Pourtant, l'impression persistait, celle d'être observée, celle d'une présence invisible mais palpable. Son cœur accéléra, et elle se mit à murmurer, comme pour se rassurer elle-même. -Ce n'est rien, juste le vent...
Mais une petite voix à l'intérieur d'elle-même ne pouvait s'empêcher de penser autrement. Elle repensa à la puissance du grand roi, au fait qu'il soit un puissant vampire , à ce qu'il pouvait être capable de faire. Et si... ?
-ta trop regarder vampire diaries mea arrête Elle se leva de la balançoire, son souffle se condensant dans l'air frais de la nuit. L'idée qu'il puisse être là, quelque part, la frôla comme une caresse glacée, à la fois terrifiante et étrangement réconfortante. Une partie d'elle savait qu'il ne l'avait jamais vraiment quittée, que même ici, au milieu de son ancien monde, elle n'était pas complètement libre de lui.
Et à cette idée, qu'elle puisse ne pas être si seule dans ce moment si douloureux, à l'idée qu'il puisse être là, même si elle ne le voit pas la réconforta. Car même si elle le détestait, elle avait juste besoin de quelqu'un à ce moment précis.
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