Il me fixe du regard et affiche un sourire sournois.
Je l'observe et voit qu'il sort sa main vêtue d'un gant de sa poche et il pointe un revolver en direction de ma soeur.
La peur m'a littéralement envahi, tout mon corps s'est mis à trembler et lorsque je l'ai vue être sur le point d'appuyer sur la gâchette, mon coeur s'est arrêté.
Moi: NON!!!!
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J'ai courue toute ma vie vers sa direction et lui ai mis un coup avec mon sac. Il a rangé son arme et a essayer de me parler mais je lui ai écrasé le pied puis j'ai sortie ma bombe au poivre et lui ai aspergé le visage avec.
Il a poussé un cri de douleur et a mis ses mains devant son visage. J'ai continué à le frapper avec mon sac jusqu'à ce que ma soeur m'arrête en me tirant en arrière:
Elle: Naya! Qu'est-ce que tu fait?! C'est l'ami du monsieur qui demande son chemin! Oh my god!
Je regarde l'autre homme qui était encore intact, il s'est dirigé vers son collègue et la monté dans la voiture. Il s'est « excusé que son ami m'aie fait peur » et ma soeur s'est excusé auprès d'eux.
Je les regardais extrêmement mal et j'ai tiré ma soeur jusqu'à la voiture.
Une fois à l'intérieur, ma respiration n'était plus régulière j'étais entrain de faire une crise d'angoisse. Je tremblais, mes larmes coulaient et je ne lâchais plus la main de ma soeur:
Elle: Qu'est-ce qu'il t'arrive? Inspire....expire...essaye de te calmer ok? Tu est trop tendue ces derniers jours. Regarde moi.
Je la regarde
Elle: Depuis quand tu te balade avec une bombe au poivre? Je vais bien d'accord ?
Elle me prend dans ses bras et j'éclate en sanglots. J'ai eue tellement peur de perdre ma soeur. Tout ça va trop loin.
Arrivées à la maison je suis partie prendre une douche et je me suis changée puis j'ai commandé un chauffeur direction MIC CORPORATION.
[...]
Moi: Bonjour, je dois voir Mr.****** svp.
Agent d'accueil: Vous avez rendez-vous?
Moi: Non mais c'est une urgence.
Elle: Désolée je ne peut pas vous laisser entrer si vous n'avez pas de rendez-vous.
Je soupire, ce n'est pas la femme de d'habitude, celle là est reloue. Je lui dit de l'appeler et de lui dire que je suis venue à sa rencontre.
Elle l'a appelé et comme je m'en doutais il lui a donné l'autorisation. Je suis monté à son étage, une fois arrivée devant sa porte, je prend une inspiration et ouvre la porte brusquement. Il était là assis sur son fauteuil me regardant avec un grand sourire:
Lui: Bonjour Mlle.****! Vous avez fini par céder? Entrer je vous prie.
Je le regardais tellement mal et ça le faisait tellement rire. Il me rendait folle! Je m'installe sur le chaise en face de son bureau:
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Naya : Il va me rendre folle
General Fiction- Je vais les détruire comme ils nous ont détruites. Sous les menaces du patron de mon père, je dois protéger ma famille en me mariant avec son fils, avec un homme que je connais à peine?... L'amour va-t-il venir après le mariage comme on dit? À qu...
