Il y a des gens qui n'ouvrent pas d'yeux émus
Et d'autres qui ne les ouvriront plus.
Dans l'abîme, je voudrais oublier
Le pélerinage de mes souffrances
Ce poids s'aloudissant au fil des années
Au fil du rasoir, noctambule d'ailes piqué
Je me dois de jongler avec tous ces cerceaux
Affronter vos poids, la laideur autant que le beau.
J'enferme mes larmes dans leur tombeau
Tandis que l'autre moitié tombe en lambeaux
De pétales de chair, et le plus cher
À mon coeur, est devenu le plus mortifère.
Ces nacres bordés d'une plume étirée
Lentement se fondent dans un gisant, et sa pierre d'éternité.
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Poème commencé le 14
Terminé le 16 janvier 2022
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Au gré des émotions
PoesiaBonjour marin d'eau douce wattpadienne ! Aujourd'hui la houle est agitée, il est difficile de jeter l'ancre. Pas de panique, si tu t'ennuie ou si tu ne sais pas quoi lire, écume mon recueil de poème aussi imprévisible que la mer ! (Le thème de mon r...
